Une invitation à parler [Revan]
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Une invitation à parler [Revan]
Rappel du premier message :
"Tic ... Tac ... Tic ... Tac ..." Les aiguilles de l'horloge avançaient si lentement ... et pourtant si vite ... Il était 13h27 et je fixais l'heure d'un regard un peu absent. J'étais assise sur le lit , les jambes croisées , jouant avec une mèche de cheveux , tirant sur un plis de ma jupe distraitement. J'avais encore un peu de temps avant de descendre pour aller à l'arrêt de bus, mais je me sentais horriblement nerveuse ... Ce n'était pas un rendez-vous amoureux alors pourquoi me m'étais-je dans cet état ... ? Je n'avais pas pu avaler grand chose à midi et j'espérais juste que plus tard mon ventre ne grognerait pas , pour me rappeler mon manque d'appétit au déjeuner ...
Je me releva , vérifiant encore une fois mes affaires rangées dans mon sac, regarda si mon téléphone était bien allumé et chargé.
En passant devant le miroir, je me demandais si je ne devais pas attacher mes cheveux ... mais après avoir commençait une tresse, je la secoua pour la défaire , préférant les laisser flotter librement sur mes épaules, leur donnant un dernier coup de brosse. Kaname n'était pas là et Haru était sortie se promener dans les jardins ... J'avais donc tout le loisir de stresser seule dans la chambre. Je réfléchissais à ce que je pourrais lui dire ... ce que nous allions devoir évoquer ... et ma gorge se resserrait encore plus ... " Aiky calme toi , enfin ! "
Afin de me calmer, je me décida à mettre mes bottes à talon, pris ma veste que je passais au dessus de mon pull blanc et déposa une goutte de parfum " Sweet Rose" derrière chaque oreille, dans le creux, juste en dessous de la pomme d'Adam et sur mes poignets. Kaname m'aurait sans doute conseillé de ma maquiller ... mais j'aimais rester au naturel et puis .. maladroite comme j'étais, je ne savais de toute façon pas tracer un trait droit d'eye-liner ou connaitre la façon de mettre du blush ou les couleurs de fard adaptés à mes yeux ... Je n'avais de toute façon pas grand chose comme matériel alors la question était vite réglée.
Je soupirais face au reflet du miroir, coinçant ma mèche rebelle derrière mon oreille (stupide tic !) et attrapa mon sac avant de sortir de la chambre. Il ne fallait pas que je flâne trop au risque d'arriver en retard et il n'y avait pas beaucoup de passage de bus le weekend.
Je marchais d'un pas vif dans le couloir et descendis l'escalier pour sortir du bâtiment et me diriger vers l'entrée de l'académie dont l'arrêt de bus était juste de l'autre côté de la grille. Je respirais profondément l'odeur de terre humide et de gazon couvert de rosé, plus calme à présent.
Mes mains cachées dans mes manches trop longues se balançaient au rythme de mes pas et je relevais la tête en voyant un oiseau s'enfuir à tire d'aile au dessus de moi. Il faisait beau, un peu frais avec un léger vent qui faisait onduler mes cheveux derrière moi, quelques rayons de soleil jouant dans le feuillage des arbres ... une belle journée pour aller se balader sans aucun doute.
Enfin, j'arrivais au niveau de la grille que j'ouvris , m'arreta à peine une seconde le temps de respirer profondément, avant de tourner la tête vers l'arrêt de bus pour y rejoindre Revan.
Une invitation à parler
"Tic ... Tac ... Tic ... Tac ..." Les aiguilles de l'horloge avançaient si lentement ... et pourtant si vite ... Il était 13h27 et je fixais l'heure d'un regard un peu absent. J'étais assise sur le lit , les jambes croisées , jouant avec une mèche de cheveux , tirant sur un plis de ma jupe distraitement. J'avais encore un peu de temps avant de descendre pour aller à l'arrêt de bus, mais je me sentais horriblement nerveuse ... Ce n'était pas un rendez-vous amoureux alors pourquoi me m'étais-je dans cet état ... ? Je n'avais pas pu avaler grand chose à midi et j'espérais juste que plus tard mon ventre ne grognerait pas , pour me rappeler mon manque d'appétit au déjeuner ...
Je me releva , vérifiant encore une fois mes affaires rangées dans mon sac, regarda si mon téléphone était bien allumé et chargé.
En passant devant le miroir, je me demandais si je ne devais pas attacher mes cheveux ... mais après avoir commençait une tresse, je la secoua pour la défaire , préférant les laisser flotter librement sur mes épaules, leur donnant un dernier coup de brosse. Kaname n'était pas là et Haru était sortie se promener dans les jardins ... J'avais donc tout le loisir de stresser seule dans la chambre. Je réfléchissais à ce que je pourrais lui dire ... ce que nous allions devoir évoquer ... et ma gorge se resserrait encore plus ... " Aiky calme toi , enfin ! "
Afin de me calmer, je me décida à mettre mes bottes à talon, pris ma veste que je passais au dessus de mon pull blanc et déposa une goutte de parfum " Sweet Rose" derrière chaque oreille, dans le creux, juste en dessous de la pomme d'Adam et sur mes poignets. Kaname m'aurait sans doute conseillé de ma maquiller ... mais j'aimais rester au naturel et puis .. maladroite comme j'étais, je ne savais de toute façon pas tracer un trait droit d'eye-liner ou connaitre la façon de mettre du blush ou les couleurs de fard adaptés à mes yeux ... Je n'avais de toute façon pas grand chose comme matériel alors la question était vite réglée.
Je soupirais face au reflet du miroir, coinçant ma mèche rebelle derrière mon oreille (stupide tic !) et attrapa mon sac avant de sortir de la chambre. Il ne fallait pas que je flâne trop au risque d'arriver en retard et il n'y avait pas beaucoup de passage de bus le weekend.
Je marchais d'un pas vif dans le couloir et descendis l'escalier pour sortir du bâtiment et me diriger vers l'entrée de l'académie dont l'arrêt de bus était juste de l'autre côté de la grille. Je respirais profondément l'odeur de terre humide et de gazon couvert de rosé, plus calme à présent.
Mes mains cachées dans mes manches trop longues se balançaient au rythme de mes pas et je relevais la tête en voyant un oiseau s'enfuir à tire d'aile au dessus de moi. Il faisait beau, un peu frais avec un léger vent qui faisait onduler mes cheveux derrière moi, quelques rayons de soleil jouant dans le feuillage des arbres ... une belle journée pour aller se balader sans aucun doute.
Enfin, j'arrivais au niveau de la grille que j'ouvris , m'arreta à peine une seconde le temps de respirer profondément, avant de tourner la tête vers l'arrêt de bus pour y rejoindre Revan.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Aïky m'observe tout aussi bien que moi, avant de déposer ses mains délicates sur mes épaules pour me recoucher. Je la regarde, cet acte quelque peu dominant ne me laissent pas indifférent. Elle me sourit et rit presque innocemment avant de m'énoncer coquinement
" C'est vrai ... ce n'est ni le lieu ni le moment , mon cher Prince ... Et tout comme Cendrillon, il est l'heure de partir de la fête . Mais à défaut de vous laisser ma pantoufle de verre pour me retrouver, voici ce que je vous laisserais... "
L'une de ses mains s'agrippe à mon menton pour relever mon visage. Je me laisse gentiment faire en soupirant un léger rire amusé. Elle se penche vers moi, son souffle sucré et chaleureux parcourant une chaire plus érogène me fait bien sûr frissonner. Mais une décharge se fait ressentir lorsque ce sont ses lèvres, qui osent s'aventurer à ces zones. Sous la surprise et les sensations, un soupire presque gémissant, si ce n'est indécent, m'échappe contre l'oreille d'Aïky. Elle est un peu maladroite, mais c'est si agréable... Et sa petite langue qui me lèche timidement me rendrait presque fous... Elle achève ces ardentes provocation en suçant ma chaire pour y marquer à son tour son territoire, ce qui me fait également frémir.
" Voilà mon cher Prince. Maintenant ... c'est moi qui vous retrouverez ... ! "
Ce sourire satisfait... Ce regard provoquant... Oh oui tu as de la chances Aïky, car si nous étions dans une chambre, tu serais actuellement contre un mur...
" Croyez moi Princesse... Vous venez de réveillez une bête affamer... "
Je la défie du regard. Une guerre érotique venait d'être lancer. Elle se relève, mettant fin à ces hostilités. Mais je ne comptes pas en rester là. Je prends sur moi cette frustration qui me torture et me ferait presque mal. Pour accepter le fait que ça va vite, et que l'on devrait se calmer. Mais j'espère pour Aïky que celle-ci ne me lancera plus un tel regarde de défiance.
Parce que la prochaine fois, elle finira contre un mur en me suppliant.
" C'est vrai ... ce n'est ni le lieu ni le moment , mon cher Prince ... Et tout comme Cendrillon, il est l'heure de partir de la fête . Mais à défaut de vous laisser ma pantoufle de verre pour me retrouver, voici ce que je vous laisserais... "
L'une de ses mains s'agrippe à mon menton pour relever mon visage. Je me laisse gentiment faire en soupirant un léger rire amusé. Elle se penche vers moi, son souffle sucré et chaleureux parcourant une chaire plus érogène me fait bien sûr frissonner. Mais une décharge se fait ressentir lorsque ce sont ses lèvres, qui osent s'aventurer à ces zones. Sous la surprise et les sensations, un soupire presque gémissant, si ce n'est indécent, m'échappe contre l'oreille d'Aïky. Elle est un peu maladroite, mais c'est si agréable... Et sa petite langue qui me lèche timidement me rendrait presque fous... Elle achève ces ardentes provocation en suçant ma chaire pour y marquer à son tour son territoire, ce qui me fait également frémir.
" Voilà mon cher Prince. Maintenant ... c'est moi qui vous retrouverez ... ! "
Ce sourire satisfait... Ce regard provoquant... Oh oui tu as de la chances Aïky, car si nous étions dans une chambre, tu serais actuellement contre un mur...
" Croyez moi Princesse... Vous venez de réveillez une bête affamer... "
Je la défie du regard. Une guerre érotique venait d'être lancer. Elle se relève, mettant fin à ces hostilités. Mais je ne comptes pas en rester là. Je prends sur moi cette frustration qui me torture et me ferait presque mal. Pour accepter le fait que ça va vite, et que l'on devrait se calmer. Mais j'espère pour Aïky que celle-ci ne me lancera plus un tel regarde de défiance.
Parce que la prochaine fois, elle finira contre un mur en me suppliant.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Ce jeu est plaisant mais ... dangereux aussi et si je continue, je vais finir sur une pente glissante pour laquelle je ne pense pas être prête encore .. Mais le regard de Revan , sa bouche avec son petit sourire provocateur me fait oublier ma timidité pour réveiller une chose plus ... bestiale en moi ... comme si j'étais une espèce de tigresse sans que mes griffes est un rapport avec cela ...
Et Revan semble ressentir aussi cela car sa phrase prouve mes pensées.
- Croyez moi Princesse... Vous venez de réveillez une bête affamer...
Cette petite phrase me fait me mordiller ma lèvre ... cette envie quasi bestiale ... qui fait éclater des bulles de chaleur dans tout mon corps ...
Je pourrais continuer sur ma lancée ... ce genre de jeu ... je n'en connais pas les règles et les limites ... Nos baisers passionnés ... pour moi sont déjà indécents ... Et ... sur ce domaine là ... Revan a t-il plus d'expérience ?
Cette idée et les pensées que cela amène me fais rougir ... Je vais trop vite ... et il faudrait calmer ce jeu là entre nous deux ... et puis ... si l'envie prends le dessus sur la raison et que nous venons à ... faire plus ... comment cela pourrait-il se passer ?
Des choses totalement inconnus ... dont je n'ai aucune réponse ... qui titille ma curiosité mais augmente aussi cette peur et cette envie de cacher mon torse avec mes bras.
- Si vous avez faim, nous devrions nous dépêcher de rentrer à l'académie pour pouvoir nous nourrir à la cantine ... ?
Je sais que je détourne sa phrase ... et surement pas comme il le voudrait ... mais toute cette intensité et ces ... pulsions ... me sont totalement étrangères et me ramènent à ma timidité innocente. C'est surement idiot ... mais mon inexpérience m'handicape et m'effraie ... si ce que je faisais n'était pas comme il faut ? Si je dépassais les limites ?
Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai jamais eu le besoin de me poser la question mais aujourd'hui ... cette envie ... de femme ... me laisse tétanisée. Même si j'aimerais l'exprimer avec toi, Revan ...
Et Revan semble ressentir aussi cela car sa phrase prouve mes pensées.
- Croyez moi Princesse... Vous venez de réveillez une bête affamer...
Cette petite phrase me fait me mordiller ma lèvre ... cette envie quasi bestiale ... qui fait éclater des bulles de chaleur dans tout mon corps ...
Je pourrais continuer sur ma lancée ... ce genre de jeu ... je n'en connais pas les règles et les limites ... Nos baisers passionnés ... pour moi sont déjà indécents ... Et ... sur ce domaine là ... Revan a t-il plus d'expérience ?
Cette idée et les pensées que cela amène me fais rougir ... Je vais trop vite ... et il faudrait calmer ce jeu là entre nous deux ... et puis ... si l'envie prends le dessus sur la raison et que nous venons à ... faire plus ... comment cela pourrait-il se passer ?
Des choses totalement inconnus ... dont je n'ai aucune réponse ... qui titille ma curiosité mais augmente aussi cette peur et cette envie de cacher mon torse avec mes bras.
- Si vous avez faim, nous devrions nous dépêcher de rentrer à l'académie pour pouvoir nous nourrir à la cantine ... ?
Je sais que je détourne sa phrase ... et surement pas comme il le voudrait ... mais toute cette intensité et ces ... pulsions ... me sont totalement étrangères et me ramènent à ma timidité innocente. C'est surement idiot ... mais mon inexpérience m'handicape et m'effraie ... si ce que je faisais n'était pas comme il faut ? Si je dépassais les limites ?
Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai jamais eu le besoin de me poser la question mais aujourd'hui ... cette envie ... de femme ... me laisse tétanisée. Même si j'aimerais l'exprimer avec toi, Revan ...
Re: Une invitation à parler [Revan]
" Si vous avez faim, nous devrions nous dépêcher de rentrer à l'académie pour pouvoir nous nourrir à la cantine ... ? "
FRIENDZONE
Comme ça fait mal de se prendre une gifle pareil. C'est tellement frustrant...
Je soupire, déçus et frustré, même si je sais qu'elle à fait le bon choix. J'aurais aimer que ce soit juste un peu plus doux... Quoi que je ne sais pas. Trop doux aurait pu être considérer comme un " Arrête " qui cache "Continus..." , mais quoi qu'il en soit, elle m'a bien fait comprendre qu'on devait en rester là. Cela me frustre énormément, mais c'est ce qu'il fallait faire. Aïky elle, reprend ses aspects timide et innocents, marquant définitivement la fin de ces jeux d'adultes. Je me relève alors avec elle, et m'efforce de lui sourire :
" Vous avez raisons Princesse. Rentrons chez nous "
Je passe devant pour nous mener jusqu'à l'arrêt de bus. Je ne sais plus vraiment quoi dire, je suis extrêmement gêner. Pour qu'elle arrête tout de la sorte, j'ai du faire quelque chose qui l'a freiner et déplus. Voire repousser. Et je n'ose imaginer quoi. Je lui lance quelques regards incertains et craintif, et lorsqu'elle croise mes yeux, les miens sont détourné aussitôt ailleurs. Mes mains plonger dans les poches de ma vestes, la trifouillant discrètement pour essayer de me détendre.
Le bus arrive, et marque la fin de cette journée, qui à été mauvaise dans beaucoup de points, mais la plus belle dans beaucoup d'autres. Je ne sais pas ce qu'Aïky conclura de cette journée, et de ce qu'on à fait un peu plus tôt. J'espère qu'elle n'est pas déçus, et que je ne l'ai pas repousser. Je monte avec elle, la laissant passer devant et choisir la place qu'il lui plaira. Fuyant son regard et son jugement. Une fois assis avec elle, je me perds dans mes pensées.
FRIENDZONE
Comme ça fait mal de se prendre une gifle pareil. C'est tellement frustrant...
Je soupire, déçus et frustré, même si je sais qu'elle à fait le bon choix. J'aurais aimer que ce soit juste un peu plus doux... Quoi que je ne sais pas. Trop doux aurait pu être considérer comme un " Arrête " qui cache "Continus..." , mais quoi qu'il en soit, elle m'a bien fait comprendre qu'on devait en rester là. Cela me frustre énormément, mais c'est ce qu'il fallait faire. Aïky elle, reprend ses aspects timide et innocents, marquant définitivement la fin de ces jeux d'adultes. Je me relève alors avec elle, et m'efforce de lui sourire :
" Vous avez raisons Princesse. Rentrons chez nous "
Je passe devant pour nous mener jusqu'à l'arrêt de bus. Je ne sais plus vraiment quoi dire, je suis extrêmement gêner. Pour qu'elle arrête tout de la sorte, j'ai du faire quelque chose qui l'a freiner et déplus. Voire repousser. Et je n'ose imaginer quoi. Je lui lance quelques regards incertains et craintif, et lorsqu'elle croise mes yeux, les miens sont détourné aussitôt ailleurs. Mes mains plonger dans les poches de ma vestes, la trifouillant discrètement pour essayer de me détendre.
Le bus arrive, et marque la fin de cette journée, qui à été mauvaise dans beaucoup de points, mais la plus belle dans beaucoup d'autres. Je ne sais pas ce qu'Aïky conclura de cette journée, et de ce qu'on à fait un peu plus tôt. J'espère qu'elle n'est pas déçus, et que je ne l'ai pas repousser. Je monte avec elle, la laissant passer devant et choisir la place qu'il lui plaira. Fuyant son regard et son jugement. Une fois assis avec elle, je me perds dans mes pensées.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Quand Revan se relève, son expression a changé et il est plus froid quand il me réponds malgré le sourire qu'il s'efforce de faire ...
- Vous avez raisons Princesse. Rentrons chez nous
Mon coeur se sert brusquement , risquant de me laisser à bout de souffle .... Je l'ai blessé ? Qu'a t-il compris ?
je regrette mes mots , me mordant la lèvre avec crainte. Revan passe devant moi et se dirige vers l'arrêt de bus, les épaules basses.
Je suis entrain de ruiner notre journée à cause de ma stupide timidité ... Je marche en silence derrière Revan... réfléchissant au moyen de lui expliquer ... Je ... rougis de devoir lui avouer ma totale inexpérience dans ce domaine ... mais .. comprendrait-il ?
Je cherche à me justifier ... car de voir sa frustration me blesse ... J'aurais du ... lui expliquer .. je l'ai aguicher et me suis rétracté finalement ..
Je sers les poings et ma gorge se serre ... Pourquoi n'ai je pas réfléchis. Et vois ces regards qui croisent le mien et l'évite précipitamment m'attriste d'autant plus.
Nous n'avons même pas l'occasion de nous arrêter à l’Arrêt de bus pour que je puisse lui parler que déjà notre véhicule arrive.
Il me laisse passer devant et quand je m'assois, j'ai peur qu'il m'évite et s'assoit ailleurs. Mais finalement il finit par se poser à coté de moi, en continuant à éviter mon regard.
Une sorte de tension s'installe entre nous ... et nous nous rapprochons de l'académie à chaque instant .. je ne veux pas que cette journée s'arrête comme ça. je ne veux pas qu'il soit déçu par moi. Je ne veux pas ... gâcher cette journée ...
Je n'ose même pas le toucher , de peur qu'il me repousse ... mais je ne peux pas rester silencieuse
je regarde mes genoux, la tête basse , cachée derrière mes cheveux.
- Revan ... je ...
Je ne sais même pas comment lui expliquer ... ma voix est un murmure légèrement rauque par ma gorge trop serrée...
- Je suis désolé pour tout à l'heure ... je ... je n'ai jamais eu de ... petit ami [ je dis ces deux mots presque de manière inaudible tant l'idée qu'il se braque à cette idée m'effraie] ... je n'ai jamais été proche d'un homme avant toi ... et encore moins .... dans l'intimité ...
Avant ... nous deux ... c'était troublant ... et je ... j'ai ... beaucoup aimé ça ... Je me suis sentie .. femme ... et ... désirable ... pour la première fois de ma vie ... et j'aurais eu envie ... de ... découvrir cette partie là chez moi que je ne connaissais pas du tout ... avec toi ... J'ai confiance en toi ... et je sais ... que avec toi ... je .. pourrais ... le faire
Je ferme les yeux, mes joues rouges de honte de devoir parler de ces envies que j'ai eu ... et que j'ai encore mais je continue de parler , mes poings crispés sur mes genoux que j'ai resserrés.
- Je ne voulais pas te blesser ... j'aurais du ... enfin ... peut être n'aurais-je pas du t'aguicher comme je l'ai fait ... je n'ai pas réfléchi ... je me suis laissée aller ... tu as tendance à me faire oublier ce qu'il y a autour ...et quand ... je me suis rendu compte qu'on était ... au milieu de la rue ... j'ai pensé que ce n'était ... peut être pas ... le bon endroit.
Je ...voudrais répondre à tes attentes mais j'ai eu peur ... de ne pas être à la hauteur ou de faire mal les choses ... je suis totalement débutante dans la relation de ... couple ...
Je sentis quelque chose d'humide glisser contre mes poings fermés. Je rouvrais les yeux. Quelque chose gouttait de mes yeux
- Je suis désolé Revan ... je ne voulais pas te blesser ... pardon ..
- Vous avez raisons Princesse. Rentrons chez nous
Mon coeur se sert brusquement , risquant de me laisser à bout de souffle .... Je l'ai blessé ? Qu'a t-il compris ?
je regrette mes mots , me mordant la lèvre avec crainte. Revan passe devant moi et se dirige vers l'arrêt de bus, les épaules basses.
Je suis entrain de ruiner notre journée à cause de ma stupide timidité ... Je marche en silence derrière Revan... réfléchissant au moyen de lui expliquer ... Je ... rougis de devoir lui avouer ma totale inexpérience dans ce domaine ... mais .. comprendrait-il ?
Je cherche à me justifier ... car de voir sa frustration me blesse ... J'aurais du ... lui expliquer .. je l'ai aguicher et me suis rétracté finalement ..
Je sers les poings et ma gorge se serre ... Pourquoi n'ai je pas réfléchis. Et vois ces regards qui croisent le mien et l'évite précipitamment m'attriste d'autant plus.
Nous n'avons même pas l'occasion de nous arrêter à l’Arrêt de bus pour que je puisse lui parler que déjà notre véhicule arrive.
Il me laisse passer devant et quand je m'assois, j'ai peur qu'il m'évite et s'assoit ailleurs. Mais finalement il finit par se poser à coté de moi, en continuant à éviter mon regard.
Une sorte de tension s'installe entre nous ... et nous nous rapprochons de l'académie à chaque instant .. je ne veux pas que cette journée s'arrête comme ça. je ne veux pas qu'il soit déçu par moi. Je ne veux pas ... gâcher cette journée ...
Je n'ose même pas le toucher , de peur qu'il me repousse ... mais je ne peux pas rester silencieuse
je regarde mes genoux, la tête basse , cachée derrière mes cheveux.
- Revan ... je ...
Je ne sais même pas comment lui expliquer ... ma voix est un murmure légèrement rauque par ma gorge trop serrée...
- Je suis désolé pour tout à l'heure ... je ... je n'ai jamais eu de ... petit ami [ je dis ces deux mots presque de manière inaudible tant l'idée qu'il se braque à cette idée m'effraie] ... je n'ai jamais été proche d'un homme avant toi ... et encore moins .... dans l'intimité ...
Avant ... nous deux ... c'était troublant ... et je ... j'ai ... beaucoup aimé ça ... Je me suis sentie .. femme ... et ... désirable ... pour la première fois de ma vie ... et j'aurais eu envie ... de ... découvrir cette partie là chez moi que je ne connaissais pas du tout ... avec toi ... J'ai confiance en toi ... et je sais ... que avec toi ... je .. pourrais ... le faire
Je ferme les yeux, mes joues rouges de honte de devoir parler de ces envies que j'ai eu ... et que j'ai encore mais je continue de parler , mes poings crispés sur mes genoux que j'ai resserrés.
- Je ne voulais pas te blesser ... j'aurais du ... enfin ... peut être n'aurais-je pas du t'aguicher comme je l'ai fait ... je n'ai pas réfléchi ... je me suis laissée aller ... tu as tendance à me faire oublier ce qu'il y a autour ...et quand ... je me suis rendu compte qu'on était ... au milieu de la rue ... j'ai pensé que ce n'était ... peut être pas ... le bon endroit.
Je ...voudrais répondre à tes attentes mais j'ai eu peur ... de ne pas être à la hauteur ou de faire mal les choses ... je suis totalement débutante dans la relation de ... couple ...
Je sentis quelque chose d'humide glisser contre mes poings fermés. Je rouvrais les yeux. Quelque chose gouttait de mes yeux
- Je suis désolé Revan ... je ne voulais pas te blesser ... pardon ..
Re: Une invitation à parler [Revan]
" Revan ... je ... "
J'observe Aïky un peu plus, et me rend compte qu'elle s'en veut terriblement. Alors qu'elle n'a pas à l'être. Elle à fait le bon choix, c'est moi qui ait cette frustration égoïste, et qui est par conséquent, le seul fautif.
" Je suis désolé pour tout à l'heure ... je ... je n'ai jamais eu de ... petit ami [ je dis ces deux mots presque de manière inaudible tant l'idée qu'il se braque à cette idée m'effraie] ... je n'ai jamais été proche d'un homme avant toi ... et encore moins .... dans l'intimité ...
Avant ... nous deux ... c'était troublant ... et je ... j'ai ... beaucoup aimé ça ... Je me suis sentie .. femme ... et ... désirable ... pour la première fois de ma vie ... et j'aurais eu envie ... de ... découvrir cette partie là chez moi que je ne connaissais pas du tout ... avec toi ... J'ai confiance en toi ... et je sais ... que avec toi ... je .. pourrais ... le faire "
" Aïky... "
" Je ne voulais pas te blesser ... j'aurais du ... enfin ... peut être n'aurais-je pas du t'aguicher comme je l'ai fait ... je n'ai pas réfléchi ... je me suis laissée aller ... tu as tendance à me faire oublier ce qu'il y a autour ...et quand ... je me suis rendu compte qu'on était ... au milieu de la rue ... j'ai pensé que ce n'était ... peut être pas ... le bon endroit.
Je ...voudrais répondre à tes attentes mais j'ai eu peur ... de ne pas être à la hauteur ou de faire mal les choses ... je suis totalement débutante dans la relation de ... couple ... "
Je m'approche pour la serrer dans mes bras. Elle n'a pas à me dire tout ça...
" Je suis désolé Revan ... je ne voulais pas te blesser ... pardon .. "
" Aïky... Ce n'est pas toi qui a tords, mais moi... C'est moi qui suis égoïste d'être frustré... Tu es une personne, pas un objet. Tout n'est question que de TES décisions. Tu n'as pas à t'en vouloir, surtout que tu as eu raisons. C'est moi qui suis aller trop loin, il fallait calmer les choses et tu la fait. C'est toi qui a eu raison dans cette histoire, et pas moi. Alors ce n'est pas à toi de t'excuser, mais à moi. Je suis désolé de t'avoir fait de la peine pour rien, je suis désolé de t'avoir mit dans cet état. Tu n'as rien fait de mal, je t'assure... "
Je la serre un peu plus contre moi, avec douceur et bienveillance, papouillant l'arrière de sa tête
" Et que tu n'ais jamais eu d'expérience n'est pas une honte Aïky... Au contraire ça me flatte d'être le premier à t'approcher... Mais je ne veux pas te brusquer, te faire aller trop vite, te blesser. Je veux être à ton rythme, te respecter et t'admirer pour ce que tu es. Prendre soin de toi comme il le faut. Je t'aime Aïky, et ça ça changera pas quoi qu'il arrive. "
Je dépose finalement mes lèvres sur son front. Pour encrer mon désir de protection et de bienveillance. Elle est si adorable... Je m'en veux terriblement de l'avoir mit dans un tel état... D'autant plus que ce n'est pas elle qui est en tords, mais moi, et moi seul.
" Pardonne moi... 'tit chou... "
J'observe Aïky un peu plus, et me rend compte qu'elle s'en veut terriblement. Alors qu'elle n'a pas à l'être. Elle à fait le bon choix, c'est moi qui ait cette frustration égoïste, et qui est par conséquent, le seul fautif.
" Je suis désolé pour tout à l'heure ... je ... je n'ai jamais eu de ... petit ami [ je dis ces deux mots presque de manière inaudible tant l'idée qu'il se braque à cette idée m'effraie] ... je n'ai jamais été proche d'un homme avant toi ... et encore moins .... dans l'intimité ...
Avant ... nous deux ... c'était troublant ... et je ... j'ai ... beaucoup aimé ça ... Je me suis sentie .. femme ... et ... désirable ... pour la première fois de ma vie ... et j'aurais eu envie ... de ... découvrir cette partie là chez moi que je ne connaissais pas du tout ... avec toi ... J'ai confiance en toi ... et je sais ... que avec toi ... je .. pourrais ... le faire "
" Aïky... "
" Je ne voulais pas te blesser ... j'aurais du ... enfin ... peut être n'aurais-je pas du t'aguicher comme je l'ai fait ... je n'ai pas réfléchi ... je me suis laissée aller ... tu as tendance à me faire oublier ce qu'il y a autour ...et quand ... je me suis rendu compte qu'on était ... au milieu de la rue ... j'ai pensé que ce n'était ... peut être pas ... le bon endroit.
Je ...voudrais répondre à tes attentes mais j'ai eu peur ... de ne pas être à la hauteur ou de faire mal les choses ... je suis totalement débutante dans la relation de ... couple ... "
Je m'approche pour la serrer dans mes bras. Elle n'a pas à me dire tout ça...
" Je suis désolé Revan ... je ne voulais pas te blesser ... pardon .. "
" Aïky... Ce n'est pas toi qui a tords, mais moi... C'est moi qui suis égoïste d'être frustré... Tu es une personne, pas un objet. Tout n'est question que de TES décisions. Tu n'as pas à t'en vouloir, surtout que tu as eu raisons. C'est moi qui suis aller trop loin, il fallait calmer les choses et tu la fait. C'est toi qui a eu raison dans cette histoire, et pas moi. Alors ce n'est pas à toi de t'excuser, mais à moi. Je suis désolé de t'avoir fait de la peine pour rien, je suis désolé de t'avoir mit dans cet état. Tu n'as rien fait de mal, je t'assure... "
Je la serre un peu plus contre moi, avec douceur et bienveillance, papouillant l'arrière de sa tête
" Et que tu n'ais jamais eu d'expérience n'est pas une honte Aïky... Au contraire ça me flatte d'être le premier à t'approcher... Mais je ne veux pas te brusquer, te faire aller trop vite, te blesser. Je veux être à ton rythme, te respecter et t'admirer pour ce que tu es. Prendre soin de toi comme il le faut. Je t'aime Aïky, et ça ça changera pas quoi qu'il arrive. "
Je dépose finalement mes lèvres sur son front. Pour encrer mon désir de protection et de bienveillance. Elle est si adorable... Je m'en veux terriblement de l'avoir mit dans un tel état... D'autant plus que ce n'est pas elle qui est en tords, mais moi, et moi seul.
" Pardonne moi... 'tit chou... "
Re: Une invitation à parler [Revan]
Je me sens coupable et j'ai pas envie qu'il soit fâché contre moi. Je me mords la lèvre fort, en attendant qu'il me réponde.
- Aïky... Ce n'est pas toi qui a tords, mais moi... C'est moi qui suis égoïste d'être frustré... Tu es une personne, pas un objet. Tout n'est question que de TES décisions. Tu n'as pas à t'en vouloir, surtout que tu as eu raisons. C'est moi qui suis aller trop loin, il fallait calmer les choses et tu la fait. C'est toi qui a eu raison dans cette histoire, et pas moi. Alors ce n'est pas à toi de t'excuser, mais à moi. Je suis désolé de t'avoir fait de la peine pour rien, je suis désolé de t'avoir mit dans cet état. Tu n'as rien fait de mal, je t'assure...
Il me prends dans ces bras et je retiens un hoquet de sanglot. j'avais tellement peur qu'il me rejette ... d'avoir fait quelque chose de mal et d'irréparable ... mais encore une fois Revan me console, ses bras m'entourent protecteur et rassurant.
Il carresse l'arrière de ma tête et je me blottis contre lui, ravalant mes larmes amères
- Et que tu n'ais jamais eu d'expérience n'est pas une honte Aïky... Au contraire ça me flatte d'être le premier à t'approcher... Mais je ne veux pas te brusquer, te faire aller trop vite, te blesser. Je veux être à ton rythme, te respecter et t'admirer pour ce que tu es. Prendre soin de toi comme il le faut. Je t'aime Aïky, et ça ça changera pas quoi qu'il arrive.
J'ai tellement envie d'y croire ... non ... j'ai besoin d'y croire.
Je murmure un " Je t'aime ..." dans un sanglot ettoufé contre sa veste, essuyant mes larmes sur son t-shirt.
Il me fais doucement reculer et m'observe quelques secondes avant d'embrasser mon front avec ferveur et tendresse. Ce geste si beau et pur m'apaise enfin. J'agrippe ses hanches faisant tout de même attention à ces pansements mais aucun instant je ne veux le lâcher.
- Pardonne moi... 'tit chou...
Je ne résiste pas et m'accroche à son cou , laissant son prénom s'échapper dans un gémissement apaisé et heureux.
- Tu es tout pardonné ... Revan ...
Nous restons l'un contre l'autre , assis dans le bus qui nous ramène vers Tsuki, dans le réconfort de la présence de l'autre ...
On dit que l'amour se nourrit d'amour et d'eau fraîche ... Moi c'est de ton odeur et de ta chaleur que je veux me nourrir à présent.
- Aïky... Ce n'est pas toi qui a tords, mais moi... C'est moi qui suis égoïste d'être frustré... Tu es une personne, pas un objet. Tout n'est question que de TES décisions. Tu n'as pas à t'en vouloir, surtout que tu as eu raisons. C'est moi qui suis aller trop loin, il fallait calmer les choses et tu la fait. C'est toi qui a eu raison dans cette histoire, et pas moi. Alors ce n'est pas à toi de t'excuser, mais à moi. Je suis désolé de t'avoir fait de la peine pour rien, je suis désolé de t'avoir mit dans cet état. Tu n'as rien fait de mal, je t'assure...
Il me prends dans ces bras et je retiens un hoquet de sanglot. j'avais tellement peur qu'il me rejette ... d'avoir fait quelque chose de mal et d'irréparable ... mais encore une fois Revan me console, ses bras m'entourent protecteur et rassurant.
Il carresse l'arrière de ma tête et je me blottis contre lui, ravalant mes larmes amères
- Et que tu n'ais jamais eu d'expérience n'est pas une honte Aïky... Au contraire ça me flatte d'être le premier à t'approcher... Mais je ne veux pas te brusquer, te faire aller trop vite, te blesser. Je veux être à ton rythme, te respecter et t'admirer pour ce que tu es. Prendre soin de toi comme il le faut. Je t'aime Aïky, et ça ça changera pas quoi qu'il arrive.
J'ai tellement envie d'y croire ... non ... j'ai besoin d'y croire.
Je murmure un " Je t'aime ..." dans un sanglot ettoufé contre sa veste, essuyant mes larmes sur son t-shirt.
Il me fais doucement reculer et m'observe quelques secondes avant d'embrasser mon front avec ferveur et tendresse. Ce geste si beau et pur m'apaise enfin. J'agrippe ses hanches faisant tout de même attention à ces pansements mais aucun instant je ne veux le lâcher.
- Pardonne moi... 'tit chou...
Je ne résiste pas et m'accroche à son cou , laissant son prénom s'échapper dans un gémissement apaisé et heureux.
- Tu es tout pardonné ... Revan ...
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On dit que l'amour se nourrit d'amour et d'eau fraîche ... Moi c'est de ton odeur et de ta chaleur que je veux me nourrir à présent.
Re: Une invitation à parler [Revan]
- HRP:
- Aucune réponse ne me vient en tête, la tienne est très bien pour clore ce rp
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