Une invitation à parler [Revan]
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Une invitation à parler [Revan]
Rappel du premier message :
"Tic ... Tac ... Tic ... Tac ..." Les aiguilles de l'horloge avançaient si lentement ... et pourtant si vite ... Il était 13h27 et je fixais l'heure d'un regard un peu absent. J'étais assise sur le lit , les jambes croisées , jouant avec une mèche de cheveux , tirant sur un plis de ma jupe distraitement. J'avais encore un peu de temps avant de descendre pour aller à l'arrêt de bus, mais je me sentais horriblement nerveuse ... Ce n'était pas un rendez-vous amoureux alors pourquoi me m'étais-je dans cet état ... ? Je n'avais pas pu avaler grand chose à midi et j'espérais juste que plus tard mon ventre ne grognerait pas , pour me rappeler mon manque d'appétit au déjeuner ...
Je me releva , vérifiant encore une fois mes affaires rangées dans mon sac, regarda si mon téléphone était bien allumé et chargé.
En passant devant le miroir, je me demandais si je ne devais pas attacher mes cheveux ... mais après avoir commençait une tresse, je la secoua pour la défaire , préférant les laisser flotter librement sur mes épaules, leur donnant un dernier coup de brosse. Kaname n'était pas là et Haru était sortie se promener dans les jardins ... J'avais donc tout le loisir de stresser seule dans la chambre. Je réfléchissais à ce que je pourrais lui dire ... ce que nous allions devoir évoquer ... et ma gorge se resserrait encore plus ... " Aiky calme toi , enfin ! "
Afin de me calmer, je me décida à mettre mes bottes à talon, pris ma veste que je passais au dessus de mon pull blanc et déposa une goutte de parfum " Sweet Rose" derrière chaque oreille, dans le creux, juste en dessous de la pomme d'Adam et sur mes poignets. Kaname m'aurait sans doute conseillé de ma maquiller ... mais j'aimais rester au naturel et puis .. maladroite comme j'étais, je ne savais de toute façon pas tracer un trait droit d'eye-liner ou connaitre la façon de mettre du blush ou les couleurs de fard adaptés à mes yeux ... Je n'avais de toute façon pas grand chose comme matériel alors la question était vite réglée.
Je soupirais face au reflet du miroir, coinçant ma mèche rebelle derrière mon oreille (stupide tic !) et attrapa mon sac avant de sortir de la chambre. Il ne fallait pas que je flâne trop au risque d'arriver en retard et il n'y avait pas beaucoup de passage de bus le weekend.
Je marchais d'un pas vif dans le couloir et descendis l'escalier pour sortir du bâtiment et me diriger vers l'entrée de l'académie dont l'arrêt de bus était juste de l'autre côté de la grille. Je respirais profondément l'odeur de terre humide et de gazon couvert de rosé, plus calme à présent.
Mes mains cachées dans mes manches trop longues se balançaient au rythme de mes pas et je relevais la tête en voyant un oiseau s'enfuir à tire d'aile au dessus de moi. Il faisait beau, un peu frais avec un léger vent qui faisait onduler mes cheveux derrière moi, quelques rayons de soleil jouant dans le feuillage des arbres ... une belle journée pour aller se balader sans aucun doute.
Enfin, j'arrivais au niveau de la grille que j'ouvris , m'arreta à peine une seconde le temps de respirer profondément, avant de tourner la tête vers l'arrêt de bus pour y rejoindre Revan.
Une invitation à parler
"Tic ... Tac ... Tic ... Tac ..." Les aiguilles de l'horloge avançaient si lentement ... et pourtant si vite ... Il était 13h27 et je fixais l'heure d'un regard un peu absent. J'étais assise sur le lit , les jambes croisées , jouant avec une mèche de cheveux , tirant sur un plis de ma jupe distraitement. J'avais encore un peu de temps avant de descendre pour aller à l'arrêt de bus, mais je me sentais horriblement nerveuse ... Ce n'était pas un rendez-vous amoureux alors pourquoi me m'étais-je dans cet état ... ? Je n'avais pas pu avaler grand chose à midi et j'espérais juste que plus tard mon ventre ne grognerait pas , pour me rappeler mon manque d'appétit au déjeuner ...
Je me releva , vérifiant encore une fois mes affaires rangées dans mon sac, regarda si mon téléphone était bien allumé et chargé.
En passant devant le miroir, je me demandais si je ne devais pas attacher mes cheveux ... mais après avoir commençait une tresse, je la secoua pour la défaire , préférant les laisser flotter librement sur mes épaules, leur donnant un dernier coup de brosse. Kaname n'était pas là et Haru était sortie se promener dans les jardins ... J'avais donc tout le loisir de stresser seule dans la chambre. Je réfléchissais à ce que je pourrais lui dire ... ce que nous allions devoir évoquer ... et ma gorge se resserrait encore plus ... " Aiky calme toi , enfin ! "
Afin de me calmer, je me décida à mettre mes bottes à talon, pris ma veste que je passais au dessus de mon pull blanc et déposa une goutte de parfum " Sweet Rose" derrière chaque oreille, dans le creux, juste en dessous de la pomme d'Adam et sur mes poignets. Kaname m'aurait sans doute conseillé de ma maquiller ... mais j'aimais rester au naturel et puis .. maladroite comme j'étais, je ne savais de toute façon pas tracer un trait droit d'eye-liner ou connaitre la façon de mettre du blush ou les couleurs de fard adaptés à mes yeux ... Je n'avais de toute façon pas grand chose comme matériel alors la question était vite réglée.
Je soupirais face au reflet du miroir, coinçant ma mèche rebelle derrière mon oreille (stupide tic !) et attrapa mon sac avant de sortir de la chambre. Il ne fallait pas que je flâne trop au risque d'arriver en retard et il n'y avait pas beaucoup de passage de bus le weekend.
Je marchais d'un pas vif dans le couloir et descendis l'escalier pour sortir du bâtiment et me diriger vers l'entrée de l'académie dont l'arrêt de bus était juste de l'autre côté de la grille. Je respirais profondément l'odeur de terre humide et de gazon couvert de rosé, plus calme à présent.
Mes mains cachées dans mes manches trop longues se balançaient au rythme de mes pas et je relevais la tête en voyant un oiseau s'enfuir à tire d'aile au dessus de moi. Il faisait beau, un peu frais avec un léger vent qui faisait onduler mes cheveux derrière moi, quelques rayons de soleil jouant dans le feuillage des arbres ... une belle journée pour aller se balader sans aucun doute.
Enfin, j'arrivais au niveau de la grille que j'ouvris , m'arreta à peine une seconde le temps de respirer profondément, avant de tourner la tête vers l'arrêt de bus pour y rejoindre Revan.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Ce rendez-vous qui se voulait sérieux. Se change finalement en une garderie mobile, mais sans nounous. Nous sommes deux gamins qui s'amusent et se taquinent d'un rien, et rien n'est plus plaisant que de partager ce genre de moments avec les gens qu'on aime. Aïky place ses mains au niveau de mes oreilles avec des bijoux en forme de cœur rose fluo. Je la regarde d'un air curieux, elle me prononce :
" Cette couleur vous va vraiment bien au teint très cher ! "
Un peu gêner, je finis par prendre ma mine malicieuse. pour finalement lui répondre :
" M'enfin ma douce, je vous serez gré de respecter le cœur que mon âme à choisis en cachant ces odieuses babioles ! Cela ferait des jaloux~ "
Je lui sourit, puis passe mes mains sur ses joues pour déposer un furtif bisous au front.
" Il ne faudrait pas blesser votre petit cœur ~ "
Nous ricanons, et comme à son habitude elle balbutie en voilant ses joues d'un teint rose. Ce qui me fait d'autant plus sourire. Puis nous décidons de partir du magasin de vêtement, innocent comme des enfants. Là elle me pose une question plus sérieuse :
" Revan dis moi ... d'ou te viens ce cristal ? "
Je l'observe quelques instant, elle semble vouloir connaître l'histoire de ce pendentif. En réalité il n'en a pas vraiment, contrairement à ce qu'on pourrait se pensé. Mais je me dois de répondre à sa question :
" Comme les dragons, les oiseaux et les symboles ou toute sorte de fantasy. Je suis également fan de pierre précieuse. Leurs couleurs, les symboliques que les gens leurs donne. Ou leurs beauté, tout simplement. Avoir toute une pièce remplies de pierres diverses et varié aux tailles différentes, était une petite envie d'enfant, qui ne s'est jamais satisfait. En soit j'ai eu seulement droit à du cristal "soudé" à une petite plaquette en bois. Mais c'est sûrement du faux. Ceci dit ce que tu as autours du cous c'est de la Célestine, l'une de mes pierres favorite. On m'en a fait cadeau, avec la ficelle noir, même si je pense t'en offrir une de couleur grise ou blanche, pour mieux s'accorder avec tes couleurs habituel et aux couleurs de la pierre. C'est le seul pendentif que j'ai pu vraiment porter, et que j'ai longuement porter. Mais maintenant il est à toi ! "
Je lui souris tendrement. Avant de constater que nous passons près d'un magasin indécent... Je regarde la vitrine, gêner, des ustencils et tenues érotiques sont exposé. Je tousse un coup et tente d'attiré l'attention d'Aïky.
" UM Aïky euh c'est jolie par là hein tu trouves pas ? "
Ah voir si j'ai réagis trop tard...
" Cette couleur vous va vraiment bien au teint très cher ! "
Un peu gêner, je finis par prendre ma mine malicieuse. pour finalement lui répondre :
" M'enfin ma douce, je vous serez gré de respecter le cœur que mon âme à choisis en cachant ces odieuses babioles ! Cela ferait des jaloux~ "
Je lui sourit, puis passe mes mains sur ses joues pour déposer un furtif bisous au front.
" Il ne faudrait pas blesser votre petit cœur ~ "
Nous ricanons, et comme à son habitude elle balbutie en voilant ses joues d'un teint rose. Ce qui me fait d'autant plus sourire. Puis nous décidons de partir du magasin de vêtement, innocent comme des enfants. Là elle me pose une question plus sérieuse :
" Revan dis moi ... d'ou te viens ce cristal ? "
Je l'observe quelques instant, elle semble vouloir connaître l'histoire de ce pendentif. En réalité il n'en a pas vraiment, contrairement à ce qu'on pourrait se pensé. Mais je me dois de répondre à sa question :
" Comme les dragons, les oiseaux et les symboles ou toute sorte de fantasy. Je suis également fan de pierre précieuse. Leurs couleurs, les symboliques que les gens leurs donne. Ou leurs beauté, tout simplement. Avoir toute une pièce remplies de pierres diverses et varié aux tailles différentes, était une petite envie d'enfant, qui ne s'est jamais satisfait. En soit j'ai eu seulement droit à du cristal "soudé" à une petite plaquette en bois. Mais c'est sûrement du faux. Ceci dit ce que tu as autours du cous c'est de la Célestine, l'une de mes pierres favorite. On m'en a fait cadeau, avec la ficelle noir, même si je pense t'en offrir une de couleur grise ou blanche, pour mieux s'accorder avec tes couleurs habituel et aux couleurs de la pierre. C'est le seul pendentif que j'ai pu vraiment porter, et que j'ai longuement porter. Mais maintenant il est à toi ! "
Je lui souris tendrement. Avant de constater que nous passons près d'un magasin indécent... Je regarde la vitrine, gêner, des ustencils et tenues érotiques sont exposé. Je tousse un coup et tente d'attiré l'attention d'Aïky.
" UM Aïky euh c'est jolie par là hein tu trouves pas ? "
Ah voir si j'ai réagis trop tard...
Re: Une invitation à parler [Revan]
- Comme les dragons, les oiseaux et les symboles ou toute sorte de fantasy. Je suis également fan de pierre précieuse. Leurs couleurs, les symboliques que les gens leurs donne. Ou leurs beauté, tout simplement. Avoir toute une pièce remplies de pierres diverses et varié aux tailles différentes, était une petite envie d'enfant, qui ne s'est jamais satisfait. En soit j'ai eu seulement droit à du cristal "soudé" à une petite plaquette en bois. Mais c'est sûrement du faux. Ceci dit ce que tu as autours du cous c'est de la Célestine, l'une de mes pierres favorite. On m'en a fait cadeau, avec la ficelle noir, même si je pense t'en offrir une de couleur grise ou blanche, pour mieux s'accorder avec tes couleurs habituel et aux couleurs de la pierre. C'est le seul pendentif que j'ai pu vraiment porter, et que j'ai longuement porter. Mais maintenant il est à toi !
Pendant qu'il me parle je ne peux m'empêcher de tourner et retourner la pierre dans la paume de ma main. C'est vrai que ça ressemble à du cristal même si la couleur est plus blanchâtre. Je lui souris, reconnaissante , notant cependant ses penchants pour les pierres et les icones fantastiques. Cela me donne une idée qui je l'espère pourra se concrétiser et ainsi , le remercier convenablement pour le cadeau qu'il m'a fait aujourd'hui.
- Merci beaucoup ... Revan ...
Je sers sa main dans la mienne et nous reprenons notre marche. J'aimerais savoir encore beaucoup de choses sur lui mais il y a aussi autre chose dont nous devons parler ... de plus sérieux.
Marchant tranquillement, tout en regardant devant moi, je laisse mon regard glissé au hasard sur les devantures des magasins, quelques fois, jetant un regard sur les vitrines. Mon regard tombe d'ailleurs sur une espèce de collier ... on dirait un collier pour chien , noir en cuir avec au bout une clochette, plutôt mignon. Une animalerie ? Je regarde la vitrine dans sa totalité ... " Rêve intimes" en nom de boutique avec une grosse fraise rouge comme logo ... avec de la chantilly qui coule tout contre ?
Je regarde la vitrine en clignant des yeux, incrédules ... qu'est ce que c'est ?
Plus haut dans la vitrine, un ensemble affriolant composé d'un haut en latex avec porte jarretelles et une sorte de harnais sur le ventre ... Des objets ... de toute sorte, des tenues ... des coffrets, des nuisettes colorées et ... décolletés ... et une boite à oeuf avec des œufs de diverses couleurs ? Mais ... je ne connaissais même pas tous ces étranges objets, même si certains avaient ... une forme ... assez ... spécifique ...
Au fur et à mesure que je compris de quoi il s'agissait ... enfin plutot quel type de boutique j'avais devant les yeux, je sentais le rouge me monter aux joues. J'entendis à peine Revan tenter de me distraire.
- UM Aïky euh c'est jolie par là hein tu trouves pas ?
Mon cerveau avait du buguer car je le regardais , clignant des yeux , les joues rouges tomates en murmurant un "euuuh ...." sans savoir quoi répondre..
Pendant qu'il me parle je ne peux m'empêcher de tourner et retourner la pierre dans la paume de ma main. C'est vrai que ça ressemble à du cristal même si la couleur est plus blanchâtre. Je lui souris, reconnaissante , notant cependant ses penchants pour les pierres et les icones fantastiques. Cela me donne une idée qui je l'espère pourra se concrétiser et ainsi , le remercier convenablement pour le cadeau qu'il m'a fait aujourd'hui.
- Merci beaucoup ... Revan ...
Je sers sa main dans la mienne et nous reprenons notre marche. J'aimerais savoir encore beaucoup de choses sur lui mais il y a aussi autre chose dont nous devons parler ... de plus sérieux.
Marchant tranquillement, tout en regardant devant moi, je laisse mon regard glissé au hasard sur les devantures des magasins, quelques fois, jetant un regard sur les vitrines. Mon regard tombe d'ailleurs sur une espèce de collier ... on dirait un collier pour chien , noir en cuir avec au bout une clochette, plutôt mignon. Une animalerie ? Je regarde la vitrine dans sa totalité ... " Rêve intimes" en nom de boutique avec une grosse fraise rouge comme logo ... avec de la chantilly qui coule tout contre ?
Je regarde la vitrine en clignant des yeux, incrédules ... qu'est ce que c'est ?
Plus haut dans la vitrine, un ensemble affriolant composé d'un haut en latex avec porte jarretelles et une sorte de harnais sur le ventre ... Des objets ... de toute sorte, des tenues ... des coffrets, des nuisettes colorées et ... décolletés ... et une boite à oeuf avec des œufs de diverses couleurs ? Mais ... je ne connaissais même pas tous ces étranges objets, même si certains avaient ... une forme ... assez ... spécifique ...
Au fur et à mesure que je compris de quoi il s'agissait ... enfin plutot quel type de boutique j'avais devant les yeux, je sentais le rouge me monter aux joues. J'entendis à peine Revan tenter de me distraire.
- UM Aïky euh c'est jolie par là hein tu trouves pas ?
Mon cerveau avait du buguer car je le regardais , clignant des yeux , les joues rouges tomates en murmurant un "euuuh ...." sans savoir quoi répondre..
Re: Une invitation à parler [Revan]
Je prend la main d'Aïky pour accélérer le pas, tentant toujours de la distraire, bien qu'il était trop tard.
" Tiens regarde il est jolie ce bâtiment ! "
Dis-je innocemment, avant de me crisper sous les ornements et le nom de l'hôtel. " Vilaine Tromperie ". Là je comprend que la belle et innocente journée nous à fais dérivé dans un univers bien plus mature. Des loves hôtel à n'en plus finir avec des couples qui entre et qui ressortent, pas toujours des couples d'ailleurs. Des magasins érotiques du plus "joueur" au plus "extrême". Des clubs de streap-tease ici et là. Je décide aussitôt de faire demi-tour avec Aïky
" Je suis désolé Aïky ! Je n'ai pas fais attention crois moi c'est pas un piège ou quoi que ce soit je veux dire jamais je n'aurais entraîner quelqu'un ici ! Puis certainement pas toi ! EH ATTEND ! BIEN SÛR TU ES CHARMANTE mais c'est pas pour ça que j'aurais essayer un stratagème bizarre pour t'inviter à faire quoi que ce soit d'indécent ! Je veux dire, je n'ai aucune pensée indécente envers toi ! Sauf peut-être une ou deux fois mais.. euh.. NON ATTEND C'EST PAS CE QUE JE VOULAIS DIRE ! CE QUE JE VOULAIS DIRE C'EST QUE CE N'EST PAS UN PLAN POUR T'INCITER A FAIRE QUOI QUE CE SOIT ! Je te demande rien ! "
Raaaah ne savant plus quoi bafouiller je l'incite seulement à courir avec moi loin de cet endroit. Je cours avec elle, et je n'ose plus affronter son regard. Qu'est-ce qu'elle va penser maintenant ? Que je suis un gros pervers qui la traîner ici pour lui dire "Oh au faîte Aïky on pourrait coucher un de ces quatre !", JE SUIS PAS UN COUREUR DE JUPONS MERDE ! On est officiellement en couple depuis ce matin à peine ! POURQUOI TOUT VA SI VITE !? D'abord le baiser qui n'avait pas lieux d'être, ensuite la série de baiser devenant presque érotique dans le bus qui confirme nos sentiments. ET MAINTENANT CUPIDON DÉCIDE DE NOUS TRAÎNER DANS UN LOVE HOTEL POUR DES CACHOTTERIES ??
Mais c'est quoi ce cirque ! On dirait un vieux film de romance foireuse surcoté et blindé de cliché avec une orgie de nana entre 13 et 30 ans qui sont à fond dedans comme des hystériques. La rencontre avec Aïky qui est digne du plus gros cliché de romance qu'on à tous vue de toute les manières possibles ! Puis là COMME PAR HASARD la dérive dans des quartiers sexuel ! Si je tenais pas la main d'Aïky, je serais entrain de broyer ma chevelure.
Tout ceci
n'a
AUCUN
PUTAIN
DE SENS !!
" Tiens regarde il est jolie ce bâtiment ! "
Dis-je innocemment, avant de me crisper sous les ornements et le nom de l'hôtel. " Vilaine Tromperie ". Là je comprend que la belle et innocente journée nous à fais dérivé dans un univers bien plus mature. Des loves hôtel à n'en plus finir avec des couples qui entre et qui ressortent, pas toujours des couples d'ailleurs. Des magasins érotiques du plus "joueur" au plus "extrême". Des clubs de streap-tease ici et là. Je décide aussitôt de faire demi-tour avec Aïky
" Je suis désolé Aïky ! Je n'ai pas fais attention crois moi c'est pas un piège ou quoi que ce soit je veux dire jamais je n'aurais entraîner quelqu'un ici ! Puis certainement pas toi ! EH ATTEND ! BIEN SÛR TU ES CHARMANTE mais c'est pas pour ça que j'aurais essayer un stratagème bizarre pour t'inviter à faire quoi que ce soit d'indécent ! Je veux dire, je n'ai aucune pensée indécente envers toi ! Sauf peut-être une ou deux fois mais.. euh.. NON ATTEND C'EST PAS CE QUE JE VOULAIS DIRE ! CE QUE JE VOULAIS DIRE C'EST QUE CE N'EST PAS UN PLAN POUR T'INCITER A FAIRE QUOI QUE CE SOIT ! Je te demande rien ! "
Raaaah ne savant plus quoi bafouiller je l'incite seulement à courir avec moi loin de cet endroit. Je cours avec elle, et je n'ose plus affronter son regard. Qu'est-ce qu'elle va penser maintenant ? Que je suis un gros pervers qui la traîner ici pour lui dire "Oh au faîte Aïky on pourrait coucher un de ces quatre !", JE SUIS PAS UN COUREUR DE JUPONS MERDE ! On est officiellement en couple depuis ce matin à peine ! POURQUOI TOUT VA SI VITE !? D'abord le baiser qui n'avait pas lieux d'être, ensuite la série de baiser devenant presque érotique dans le bus qui confirme nos sentiments. ET MAINTENANT CUPIDON DÉCIDE DE NOUS TRAÎNER DANS UN LOVE HOTEL POUR DES CACHOTTERIES ??
Mais c'est quoi ce cirque ! On dirait un vieux film de romance foireuse surcoté et blindé de cliché avec une orgie de nana entre 13 et 30 ans qui sont à fond dedans comme des hystériques. La rencontre avec Aïky qui est digne du plus gros cliché de romance qu'on à tous vue de toute les manières possibles ! Puis là COMME PAR HASARD la dérive dans des quartiers sexuel ! Si je tenais pas la main d'Aïky, je serais entrain de broyer ma chevelure.
Tout ceci
n'a
AUCUN
PUTAIN
DE SENS !!
Re: Une invitation à parler [Revan]
Bon ... résumons la situation : Nous voilà face a une vitrine ...très ... malaisante ... et avec un collier de chien à l'intérieur ... Revan qui essaye de me distraire et moi qui le regarde sans comprendre ce qu'il se passe ... Puis sa main qui se referme sur la mienne et me fait avancer , laissant la vitrine derrière nous. Des bâtiments bizarres partout, des effluves de parfums , des petites rires, des cris , des couples, des hommes qui se tiennent la main , de la musique provenant d'une porte entr'ouverte , des néons clignotants dans un brouhahaha érotiques ... Ou ... m'emmène t-il ? Pourquoi on se retrouve ici ?
Des gens qui sifflent à notre passage, des remarques salaces lancés à tout va ... Revan ?
Je me sens pas très bien ... j'ai envie de vomir ... c'est quoi ce quartier ?
Je m’agrippe à la main de Revan sans m'en rendre compte, je ne sais plus ou regarder ... Au sol... l'étui argenté d'un ... ~
On fait demi tour vivement et je me retiens de justesse à la main de Revan
- Je suis désolé Aïky ! Je n'ai pas fais attention crois moi c'est pas un piège ou quoi que ce soit je veux dire jamais je n'aurais entraîner quelqu'un ici ! Puis certainement pas toi ! EH ATTEND ! BIEN SÛR TU ES CHARMANTE mais c'est pas pour ça que j'aurais essayer un stratagème bizarre pour t'inviter à faire quoi que ce soit d'indécent ! Je veux dire, je n'ai aucune pensée indécente envers toi ! Sauf peut-être une ou deux fois mais.. euh.. NON ATTEND C'EST PAS CE QUE JE VOULAIS DIRE ! CE QUE JE VOULAIS DIRE C'EST QUE CE N'EST PAS UN PLAN POUR T'INCITER A FAIRE QUOI QUE CE SOIT ! Je te demande rien !
- Euh ... je ... non non ... c'est rien ...
Je ne saisis pas tout ce que Revan dit , tant il parle rapidement et j'essaye de réfléchir mais les odeurs ... du quartier ... me monte à la tête. J'ai besoin de souffler ... je n'arrive même pas à réagir quand Revan parle de moi en me disant charmante ou quand au fait qu'il a déjà eu des pensées "indécentes" à mon égard.
Ce sont des choses dont je me sens tellement éloignée que je n'arrive pas à imaginer que ce soit vis à vis de moi ou même de Revan. Je reste interdite face aux flots d'informations que je viens de voir et de recevoir ... Ce n'est pas du tout dans la mentalité japonaise ... il y a bien tout l'univers hentai ou les loves hôtels, les escortes ... tout ça ... mais c'est un autre univers tout ça ....
Nous revenons enfin à une rue .... normale ... et je respire mieux, regardant autour de moi comme si je découvrais les lieux, après un cauchemar irréel. Je me tourne vers Revan et on se regarde sans trop savoir quoi dire, sans trop savoir quoi faire ... Il a une mine soucieuse et mal à l'aise , je dois avoir la même tête que lui à cet instant ...
Je réagis sans m'en rendre compte et éclate de rire ... le stress, le malaise , la peur aussi et la nervosité ... tout ça chassé, nettoyé par un éclat de rire libérateur ... un vrai fou rire qui ne s’arrête pas et étouffe les derniers bruit de cette rue sordide.
Après ce fou rire, je remarque que je tiens toujours la main de Revan. Je la sers affectueusement dans la mienne et m'approche , souriant quand je lui dis ceci.
- Au moins, avec toi , je vis de sacrés aventures !!
Des gens qui sifflent à notre passage, des remarques salaces lancés à tout va ... Revan ?
Je me sens pas très bien ... j'ai envie de vomir ... c'est quoi ce quartier ?
Je m’agrippe à la main de Revan sans m'en rendre compte, je ne sais plus ou regarder ... Au sol... l'étui argenté d'un ... ~
On fait demi tour vivement et je me retiens de justesse à la main de Revan
- Je suis désolé Aïky ! Je n'ai pas fais attention crois moi c'est pas un piège ou quoi que ce soit je veux dire jamais je n'aurais entraîner quelqu'un ici ! Puis certainement pas toi ! EH ATTEND ! BIEN SÛR TU ES CHARMANTE mais c'est pas pour ça que j'aurais essayer un stratagème bizarre pour t'inviter à faire quoi que ce soit d'indécent ! Je veux dire, je n'ai aucune pensée indécente envers toi ! Sauf peut-être une ou deux fois mais.. euh.. NON ATTEND C'EST PAS CE QUE JE VOULAIS DIRE ! CE QUE JE VOULAIS DIRE C'EST QUE CE N'EST PAS UN PLAN POUR T'INCITER A FAIRE QUOI QUE CE SOIT ! Je te demande rien !
- Euh ... je ... non non ... c'est rien ...
Je ne saisis pas tout ce que Revan dit , tant il parle rapidement et j'essaye de réfléchir mais les odeurs ... du quartier ... me monte à la tête. J'ai besoin de souffler ... je n'arrive même pas à réagir quand Revan parle de moi en me disant charmante ou quand au fait qu'il a déjà eu des pensées "indécentes" à mon égard.
Ce sont des choses dont je me sens tellement éloignée que je n'arrive pas à imaginer que ce soit vis à vis de moi ou même de Revan. Je reste interdite face aux flots d'informations que je viens de voir et de recevoir ... Ce n'est pas du tout dans la mentalité japonaise ... il y a bien tout l'univers hentai ou les loves hôtels, les escortes ... tout ça ... mais c'est un autre univers tout ça ....
Nous revenons enfin à une rue .... normale ... et je respire mieux, regardant autour de moi comme si je découvrais les lieux, après un cauchemar irréel. Je me tourne vers Revan et on se regarde sans trop savoir quoi dire, sans trop savoir quoi faire ... Il a une mine soucieuse et mal à l'aise , je dois avoir la même tête que lui à cet instant ...
Je réagis sans m'en rendre compte et éclate de rire ... le stress, le malaise , la peur aussi et la nervosité ... tout ça chassé, nettoyé par un éclat de rire libérateur ... un vrai fou rire qui ne s’arrête pas et étouffe les derniers bruit de cette rue sordide.
Après ce fou rire, je remarque que je tiens toujours la main de Revan. Je la sers affectueusement dans la mienne et m'approche , souriant quand je lui dis ceci.
- Au moins, avec toi , je vis de sacrés aventures !!
Re: Une invitation à parler [Revan]
Le moment de vérité. Nous venons de retrouver les rues paisibles et innocente, et je vois Aïky au moins autant mal à l'aise que moi. Elle va certainement me giflé ou me détester. Ou je ne sais quoi. Déjà que l'histoire avec le café n'était pas fameuse... Là on peut dire que j'ai, pour la deuxième fois, gâcher notre journée. C'est pas croyable... Sur toute les conneries que je pouvais faire, et que j'ai faîte pour l'amuser. Il fallait forcément, qu'une fois dans une vie, que quelqu'un entraîne qui que ce soit dans des quartiers " chaud ". ET QUE SUR LES SEPT MILLIARDS DE VIES SUR TERRE, IL FALLAIT QUE CELA TOMBE SUR LA MIENNE DANS UNE SITUATION FORMELLEMENT INVOLONTAIRE.
Mais finalement, ce sont des éclats de rire que j'entend. Mes yeux se rivent vers Aïky, qui au fil des secondes, rit de plus en plus fort. Je la regarde, ne comprenant pas vraiment. Est-elle devenue folle ? Ou est-ce une rire sinistre avant qu'elle ne décide de se changer en faucheuse ? Je ne sais pas, je l'observe bêtement, alors qu'elle se tourne finalement vers moi, le sourire aux lèvres, sa main toujours lié à la mienne.
" Au moins, avec toi , je vis de sacrés aventures !! "
" .. Hein ?.. "
Sa main se resserrant tendrement dans la mienne, sont sourire sincère, sont regard si tendre. Tout ceci me fait enfin comprendre... Qu'elle est simplement heureuse d'être avec moi. Je lui retourne le sourire doucement, mais celui-ci est toujours un peu crispé par le malaise et l'inquiétude.
" Je t'assures que je ne voulais absolument pas nous entraîner la dedans... Pour preuve ! Je ne connais pas la ville ! Je n'aurais jamais pu deviner ! "
Mais finalement, ce sont des éclats de rire que j'entend. Mes yeux se rivent vers Aïky, qui au fil des secondes, rit de plus en plus fort. Je la regarde, ne comprenant pas vraiment. Est-elle devenue folle ? Ou est-ce une rire sinistre avant qu'elle ne décide de se changer en faucheuse ? Je ne sais pas, je l'observe bêtement, alors qu'elle se tourne finalement vers moi, le sourire aux lèvres, sa main toujours lié à la mienne.
" Au moins, avec toi , je vis de sacrés aventures !! "
" .. Hein ?.. "
Sa main se resserrant tendrement dans la mienne, sont sourire sincère, sont regard si tendre. Tout ceci me fait enfin comprendre... Qu'elle est simplement heureuse d'être avec moi. Je lui retourne le sourire doucement, mais celui-ci est toujours un peu crispé par le malaise et l'inquiétude.
" Je t'assures que je ne voulais absolument pas nous entraîner la dedans... Pour preuve ! Je ne connais pas la ville ! Je n'aurais jamais pu deviner ! "
Re: Une invitation à parler [Revan]
Après ma remarque, Revan me regarde sans comprendre, incrédule, encore mal à l'aise à cause de notre mésaventure mais tout doucement, il se calme et finit par me sourire un peu.
- Je t'assures que je ne voulais absolument pas nous entraîner la dedans... Pour preuve ! Je ne connais pas la ville ! Je n'aurais jamais pu deviner !
Je tente de le calmer, posant ma main gauche sur celle que je tient avec mon autre main.
- Ne t'en fais pas Revan, c'était la mauvaise route ! Même moi je ne connaissais pas cet endroit ! Au moins, maintenant nous savons ou il ne faut pas aller !!
Je lui souris gentiment et le tire doucement pour le faire avancer quelques mètres avant de le faire asseoir sur un banc. Je m'assois à coté de lui et nous nous calmons enfin, laissant cela derrière nous ... plus tard , j'y repenserais probablement .... plus tard ... mais là je n'ai pas envie d'y repenser ... juste de savourer l'instant présent, l'instant plus calme. Et puis il y a toujours quelque chose qui me trotte dans la tête. Et je ne sais pas comment l'amener ...
- En tout cas ... Merci pour cette journée Revan ! C'était très drôle ! Souhaiterais-tu faire quelque chose en particulier maintenant ?
Je ne sais pas s'il veut encore faire quelque chose mais ... je pense que cela pourrait être le moment de reparler ce pourquoi nous avions décidé aussi de nous retrouver aujourd'hui ... et bien que cela me pèse, je pense qu'avant de penser à un ... avenir ... ensemble ... si tant est que Revan le veuille aussi .. il faudrait reparler de tout ça avant ...
- Je t'assures que je ne voulais absolument pas nous entraîner la dedans... Pour preuve ! Je ne connais pas la ville ! Je n'aurais jamais pu deviner !
Je tente de le calmer, posant ma main gauche sur celle que je tient avec mon autre main.
- Ne t'en fais pas Revan, c'était la mauvaise route ! Même moi je ne connaissais pas cet endroit ! Au moins, maintenant nous savons ou il ne faut pas aller !!
Je lui souris gentiment et le tire doucement pour le faire avancer quelques mètres avant de le faire asseoir sur un banc. Je m'assois à coté de lui et nous nous calmons enfin, laissant cela derrière nous ... plus tard , j'y repenserais probablement .... plus tard ... mais là je n'ai pas envie d'y repenser ... juste de savourer l'instant présent, l'instant plus calme. Et puis il y a toujours quelque chose qui me trotte dans la tête. Et je ne sais pas comment l'amener ...
- En tout cas ... Merci pour cette journée Revan ! C'était très drôle ! Souhaiterais-tu faire quelque chose en particulier maintenant ?
Je ne sais pas s'il veut encore faire quelque chose mais ... je pense que cela pourrait être le moment de reparler ce pourquoi nous avions décidé aussi de nous retrouver aujourd'hui ... et bien que cela me pèse, je pense qu'avant de penser à un ... avenir ... ensemble ... si tant est que Revan le veuille aussi .. il faudrait reparler de tout ça avant ...
Re: Une invitation à parler [Revan]
" Ne t'en fais pas Revan, c'était la mauvaise route ! Même moi je ne connaissais pas cet endroit ! Au moins, maintenant nous savons ou il ne faut pas aller !! "
Je soupire doucement, puis lui sourit tendrement. Que dire ? Elle à simplement raison. Elle tire délicatement ma main vers elle pour m'amener à un banc et nous asseoir. Nous prenons le temps de nous calmer, tout comme je prend le temps de l'observer.
" En tout cas ... Merci pour cette journée Revan ! C'était très drôle ! Souhaiterais-tu faire quelque chose en particulier maintenant ? "
Cette journée n'aurait pas été aussi belle sans elle. J'espère qu'elle le sait au fond d'elle. Bien que d'un autre côté, il est prévisible que de son côté elle se dise la même chose mais avec moi. Quoi qu'il en soit, elle est contente, et c'est tout ce qui compte. Mais sa question résonne dans ma tête, et je me surprend à n'y trouver aucune réponse. Je suis bien avec elle, et elle passe un bon moment. Que demander de plus ?
" Je ne sais pas Aïky... Te voir sourire et t'entendre rire me suffit. Je n'ai pas besoin de plus que ça. Je me sens comblé ! "
Ceci dit, à l'observer, je sens que quelque chose la tracasse. Et cela affaisse mon sourire. Qu'est-ce qu'elle à...?
" Mais toi tu sembles confuse par quelque chose... A la base on était sensé se voir pour avoir une discussion et mettre les choses au clair. Moi de mon côté je ne vois pas ce qu'il y a à dire de plus. Mais toi Aïky ? Je suis désolé j'aurais du te le demander dès le début. Mais est-ce que tu as des choses à me dire ? A me demander ? "
J'ai été égoïste. A vouloir lui offrir une belle journée, j'en ai délaissé les problèmes qu'elle pouvait éprouver, sans lui laisser la moindre occasion d'en parler. Et je compte bien me rattraper, si toutefois elle me le permet...
Je regarde Aïky tendrement dans les yeux, avec des lueurs d'inquiétudes. Elle doit comprendre qu'elle peut absolument tout me dire, que je l'écouterais et l'aiderait du mieux possible. Avec moi, elle ne doit pas jouer les japonaise timide et introvertis. Elle doit oser se confier et me parler. Sinon je ne pourrais correctement l'appuyer.
Je la regarde, je lui souris.
Fais moi confiance Aïky
Je soupire doucement, puis lui sourit tendrement. Que dire ? Elle à simplement raison. Elle tire délicatement ma main vers elle pour m'amener à un banc et nous asseoir. Nous prenons le temps de nous calmer, tout comme je prend le temps de l'observer.
" En tout cas ... Merci pour cette journée Revan ! C'était très drôle ! Souhaiterais-tu faire quelque chose en particulier maintenant ? "
Cette journée n'aurait pas été aussi belle sans elle. J'espère qu'elle le sait au fond d'elle. Bien que d'un autre côté, il est prévisible que de son côté elle se dise la même chose mais avec moi. Quoi qu'il en soit, elle est contente, et c'est tout ce qui compte. Mais sa question résonne dans ma tête, et je me surprend à n'y trouver aucune réponse. Je suis bien avec elle, et elle passe un bon moment. Que demander de plus ?
" Je ne sais pas Aïky... Te voir sourire et t'entendre rire me suffit. Je n'ai pas besoin de plus que ça. Je me sens comblé ! "
Ceci dit, à l'observer, je sens que quelque chose la tracasse. Et cela affaisse mon sourire. Qu'est-ce qu'elle à...?
" Mais toi tu sembles confuse par quelque chose... A la base on était sensé se voir pour avoir une discussion et mettre les choses au clair. Moi de mon côté je ne vois pas ce qu'il y a à dire de plus. Mais toi Aïky ? Je suis désolé j'aurais du te le demander dès le début. Mais est-ce que tu as des choses à me dire ? A me demander ? "
J'ai été égoïste. A vouloir lui offrir une belle journée, j'en ai délaissé les problèmes qu'elle pouvait éprouver, sans lui laisser la moindre occasion d'en parler. Et je compte bien me rattraper, si toutefois elle me le permet...
Je regarde Aïky tendrement dans les yeux, avec des lueurs d'inquiétudes. Elle doit comprendre qu'elle peut absolument tout me dire, que je l'écouterais et l'aiderait du mieux possible. Avec moi, elle ne doit pas jouer les japonaise timide et introvertis. Elle doit oser se confier et me parler. Sinon je ne pourrais correctement l'appuyer.
Je la regarde, je lui souris.
Fais moi confiance Aïky
Re: Une invitation à parler [Revan]
Le calme reprends tout doucement place entre nous deux et je prends le temps de respirer un peu.
Et à ma question sur les envies de Revan il réponds par la négative
- Je ne sais pas Aïky... Te voir sourire et t'entendre rire me suffit. Je n'ai pas besoin de plus que ça. Je me sens comblé !
Je rougis face à sa déclaration ! Il est vraiment chou ! Mais, plus il m'observe et plus son sourire s'efface
- Mais toi tu sembles confuse par quelque chose... A la base on était sensé se voir pour avoir une discussion et mettre les choses au clair. Moi de mon côté je ne vois pas ce qu'il y a à dire de plus. Mais toi Aïky ? Je suis désolé j'aurais du te le demander dès le début. Mais est-ce que tu as des choses à me dire ? A me demander ?
Il a perçut facilement mon léger tracas ... est ce le moment de vérité .. ?
Je triture mes doigts que j'observe ... par ou commencer ?
- Tu sais ... je voulais te dire ... par rapport à ce qu'il s'est passé la dernière fois avec les rubis et les saphirs ... Quand j'ai ... enfin quand les rubis ont voulu s'en prendre à toi et que je me suis intercalée ...
A vrai dire je ne savais même pas trop quoi lui dire ... que j'étais désolé ? Non... Que cela avait été un coup de folie qui ne se reproduira plus ... ? Cela m’étonnerais ...surtout s'il se retrouve en danger ... J'interviendrais quoi qu'il en coûte.
- Je suis désolé ... si je t'ai ... fait peur ... Je ... enfin tu vois vraiment ... quel est mon vrai visage ...à présent... Mais je te jure que je te ne blesserais pas Revan !
L'idée qu'il s'éloigne de moi ...
- Je .. ne pouvais pas les laisser te faire du mal ... Mais ... je ne veux pas que tu es peur de moi ... Parce que j'aimerais encore ... passer du temps avec toi ...
Je relève timidement mon regard vers lui ... Pourrais-je lui dire les mêmes mots qu'il m'a dit dans le bus ? Pourrait-il les entendre ?
Et à ma question sur les envies de Revan il réponds par la négative
- Je ne sais pas Aïky... Te voir sourire et t'entendre rire me suffit. Je n'ai pas besoin de plus que ça. Je me sens comblé !
Je rougis face à sa déclaration ! Il est vraiment chou ! Mais, plus il m'observe et plus son sourire s'efface
- Mais toi tu sembles confuse par quelque chose... A la base on était sensé se voir pour avoir une discussion et mettre les choses au clair. Moi de mon côté je ne vois pas ce qu'il y a à dire de plus. Mais toi Aïky ? Je suis désolé j'aurais du te le demander dès le début. Mais est-ce que tu as des choses à me dire ? A me demander ?
Il a perçut facilement mon léger tracas ... est ce le moment de vérité .. ?
Je triture mes doigts que j'observe ... par ou commencer ?
- Tu sais ... je voulais te dire ... par rapport à ce qu'il s'est passé la dernière fois avec les rubis et les saphirs ... Quand j'ai ... enfin quand les rubis ont voulu s'en prendre à toi et que je me suis intercalée ...
A vrai dire je ne savais même pas trop quoi lui dire ... que j'étais désolé ? Non... Que cela avait été un coup de folie qui ne se reproduira plus ... ? Cela m’étonnerais ...surtout s'il se retrouve en danger ... J'interviendrais quoi qu'il en coûte.
- Je suis désolé ... si je t'ai ... fait peur ... Je ... enfin tu vois vraiment ... quel est mon vrai visage ...à présent... Mais je te jure que je te ne blesserais pas Revan !
L'idée qu'il s'éloigne de moi ...
- Je .. ne pouvais pas les laisser te faire du mal ... Mais ... je ne veux pas que tu es peur de moi ... Parce que j'aimerais encore ... passer du temps avec toi ...
Je relève timidement mon regard vers lui ... Pourrais-je lui dire les mêmes mots qu'il m'a dit dans le bus ? Pourrait-il les entendre ?
Re: Une invitation à parler [Revan]
" Tu sais ... je voulais te dire ... par rapport à ce qu'il s'est passé la dernière fois avec les rubis et les saphirs ... Quand j'ai ... enfin quand les rubis ont voulu s'en prendre à toi et que je me suis intercalée ... "
C'est donc ça qui la tracasse ?... Elle à toujours peur que je la craigne ?... Je pensais que cette inquiétude s'était estompé dès l'instant où nous avions un peu dérivé dans le bus... Aïky... Il ne m'est jamais venue à l'idée de te craindre... Au contraire... Mais au moins, tu m'offres enfin l'occasion de te le dire clairement.
" Aïky... "
" Je suis désolé ... si je t'ai ... fait peur ... Je ... enfin tu vois vraiment ... quel est mon vrai visage ...à présent... Mais je te jure que je te ne blesserais pas Revan ! "
" Aïky. "
" Je .. ne pouvais pas les laisser te faire du mal ... Mais ... je ne veux pas que tu es peur de moi ... Parce que j'aimerais encore ... passer du temps avec toi ... "
" Aïky !! "
Aïky relève enfin la tête vers moi. Je soupire, glisse mes doigts entre les siens, et amène mon autre main contre sa joue.
" Aïky. Tu ne ma jamais fait peur. Oui, tu m'as surpris, mais tu ne m'as jamais fais peur. Parce que je te fais confiance, et que je sais qui tu es. Non, ça c'était pas ton vraie visage. Ton vraie visage c'est celui que tu m'as offert lors de cette journée. Lorsque tu souriais, lorsque tu riais. Ça, c'est ton vraie visage. Quand tu t'es interposer pour me protéger. J'étais heureux. Heureux de sentir que je ne me bas plus tout seul. Heureux d'avoir, après toute ces années, une alliée sur qui compter. Comment pourrais-je avoir peur de toi ? Comment pourrais-je te fuir ? Tu as fais ça pour me protéger Aïky. Tu l'as fais pour moi. "
Je caresse sa joue d'une douceur infinie, la fixant toujours dans les yeux.
" S'il te plait, ne me fais plus jamais comprendre que tu as peur que je m'en ailles pour ça Aïky. Car toi, et toi seule, est plus susceptible de me quitter. De nous deux, qui à été le plus monstrueux ? Toi tu m'as protéger, mais moi ? Moi j'ai anéantis deux des rubis et j'ai pris plaisir à le faire. C'est pas moi qui dois avoir peur de toi ou de ce que tu peux faire. Mais bien toi, qui devrait pensé à ce que moi, je suis capable de faire. Pourquoi crois-tu que l'on m'a toujours traiter comme un monstre bien avant l'apparition de mes pouvoirs ? Pourquoi crois-tu que l'on me fait mauvaise réputation et que l'on me traites de manipulateurs ? Parfois même de fous ? "
Je marque une pause, la serrant désormais contre moi, pour lui murmurer sincèrement, en y versant une discrète larme :
" Aïky. Je n'ai pas peur de toi, je t'aime. "
C'est donc ça qui la tracasse ?... Elle à toujours peur que je la craigne ?... Je pensais que cette inquiétude s'était estompé dès l'instant où nous avions un peu dérivé dans le bus... Aïky... Il ne m'est jamais venue à l'idée de te craindre... Au contraire... Mais au moins, tu m'offres enfin l'occasion de te le dire clairement.
" Aïky... "
" Je suis désolé ... si je t'ai ... fait peur ... Je ... enfin tu vois vraiment ... quel est mon vrai visage ...à présent... Mais je te jure que je te ne blesserais pas Revan ! "
" Aïky. "
" Je .. ne pouvais pas les laisser te faire du mal ... Mais ... je ne veux pas que tu es peur de moi ... Parce que j'aimerais encore ... passer du temps avec toi ... "
" Aïky !! "
Aïky relève enfin la tête vers moi. Je soupire, glisse mes doigts entre les siens, et amène mon autre main contre sa joue.
" Aïky. Tu ne ma jamais fait peur. Oui, tu m'as surpris, mais tu ne m'as jamais fais peur. Parce que je te fais confiance, et que je sais qui tu es. Non, ça c'était pas ton vraie visage. Ton vraie visage c'est celui que tu m'as offert lors de cette journée. Lorsque tu souriais, lorsque tu riais. Ça, c'est ton vraie visage. Quand tu t'es interposer pour me protéger. J'étais heureux. Heureux de sentir que je ne me bas plus tout seul. Heureux d'avoir, après toute ces années, une alliée sur qui compter. Comment pourrais-je avoir peur de toi ? Comment pourrais-je te fuir ? Tu as fais ça pour me protéger Aïky. Tu l'as fais pour moi. "
Je caresse sa joue d'une douceur infinie, la fixant toujours dans les yeux.
" S'il te plait, ne me fais plus jamais comprendre que tu as peur que je m'en ailles pour ça Aïky. Car toi, et toi seule, est plus susceptible de me quitter. De nous deux, qui à été le plus monstrueux ? Toi tu m'as protéger, mais moi ? Moi j'ai anéantis deux des rubis et j'ai pris plaisir à le faire. C'est pas moi qui dois avoir peur de toi ou de ce que tu peux faire. Mais bien toi, qui devrait pensé à ce que moi, je suis capable de faire. Pourquoi crois-tu que l'on m'a toujours traiter comme un monstre bien avant l'apparition de mes pouvoirs ? Pourquoi crois-tu que l'on me fait mauvaise réputation et que l'on me traites de manipulateurs ? Parfois même de fous ? "
Je marque une pause, la serrant désormais contre moi, pour lui murmurer sincèrement, en y versant une discrète larme :
" Aïky. Je n'ai pas peur de toi, je t'aime. "
Re: Une invitation à parler [Revan]
Au fur et à mesure que je parle, Revan murmure mon prénom .. encore et encore mais me laisse tout de même finir. Il soupire mais passe ses doigts entre les miens et je m'y accroche vivement. Son autre main caresse ma joue avec délicatesse et toujours sa tendresse incroyable.
- Aïky. Tu ne ma jamais fait peur. Oui, tu m'as surpris, mais tu ne m'as jamais fais peur. Parce que je te fais confiance, et que je sais qui tu es. Non, ça c'était pas ton vraie visage. Ton vraie visage c'est celui que tu m'as offert lors de cette journée. Lorsque tu souriais, lorsque tu riais. Ça, c'est ton vraie visage. Quand tu t'es interposer pour me protéger. J'étais heureux. Heureux de sentir que je ne me bas plus tout seul. Heureux d'avoir, après toute ces années, une alliée sur qui compter. Comment pourrais-je avoir peur de toi ? Comment pourrais-je te fuir ? Tu as fais ça pour me protéger Aïky. Tu l'as fais pour moi.
Son regard perce mon âme et chaque mot se grave avec force dans mon cœur. Je pourrais pleurer mais je ne peux que le regarder, gravant ses traits dans ma mémoire.
- S'il te plait, ne me fais plus jamais comprendre que tu as peur que je m'en ailles pour ça Aïky. Car toi, et toi seule, est plus susceptible de me quitter.
Le quitter ? Mais pourquoi , le voudrais-je ? Cette idée me panique plus qu'autre chose et je ne peux m’empêcher de poser ma main sur son genou, resserrant un peu mes doigts.
- De nous deux, qui à été le plus monstrueux ? Toi tu m'as protéger, mais moi ? Moi j'ai anéantis deux des rubis et j'ai pris plaisir à le faire. C'est pas moi qui dois avoir peur de toi ou de ce que tu peux faire. Mais bien toi, qui devrait pensé à ce que moi, je suis capable de faire. Pourquoi crois-tu que l'on m'a toujours traiter comme un monstre bien avant l'apparition de mes pouvoirs ? Pourquoi crois-tu que l'on me fait mauvaise réputation et que l'on me traites de manipulateurs ? Parfois même de fous ?
Il me sert contre lui et je ne résiste pas à l'envie de me blottir dans ces bras. Son murmure si doux et sincère me fait frémir et je passe ma main libre dans son dos.
- Aïky. Je n'ai pas peur de toi, je t'aime.
J'embrasse sa joue et descends sur son cou puis viens murmurer contre son oreille
- Je ne connais pas ta réputation d'avant. Pour moi ... tu n'es ni un monstre, ni un manipulateur. Tu es Revan .... drôle ... gentil... doux ... et je ... je .. je t'aime ...
Je me recule un peu pour lui faire face et dépose un tendre baiser sur ces lèvres. Puis , dans son regard j'y vois la même chose que dans le mien ... le besoin et l'incroyable tendresse que nous éprouvons l'un envers l'autre ...
- Aïky. Tu ne ma jamais fait peur. Oui, tu m'as surpris, mais tu ne m'as jamais fais peur. Parce que je te fais confiance, et que je sais qui tu es. Non, ça c'était pas ton vraie visage. Ton vraie visage c'est celui que tu m'as offert lors de cette journée. Lorsque tu souriais, lorsque tu riais. Ça, c'est ton vraie visage. Quand tu t'es interposer pour me protéger. J'étais heureux. Heureux de sentir que je ne me bas plus tout seul. Heureux d'avoir, après toute ces années, une alliée sur qui compter. Comment pourrais-je avoir peur de toi ? Comment pourrais-je te fuir ? Tu as fais ça pour me protéger Aïky. Tu l'as fais pour moi.
Son regard perce mon âme et chaque mot se grave avec force dans mon cœur. Je pourrais pleurer mais je ne peux que le regarder, gravant ses traits dans ma mémoire.
- S'il te plait, ne me fais plus jamais comprendre que tu as peur que je m'en ailles pour ça Aïky. Car toi, et toi seule, est plus susceptible de me quitter.
Le quitter ? Mais pourquoi , le voudrais-je ? Cette idée me panique plus qu'autre chose et je ne peux m’empêcher de poser ma main sur son genou, resserrant un peu mes doigts.
- De nous deux, qui à été le plus monstrueux ? Toi tu m'as protéger, mais moi ? Moi j'ai anéantis deux des rubis et j'ai pris plaisir à le faire. C'est pas moi qui dois avoir peur de toi ou de ce que tu peux faire. Mais bien toi, qui devrait pensé à ce que moi, je suis capable de faire. Pourquoi crois-tu que l'on m'a toujours traiter comme un monstre bien avant l'apparition de mes pouvoirs ? Pourquoi crois-tu que l'on me fait mauvaise réputation et que l'on me traites de manipulateurs ? Parfois même de fous ?
Il me sert contre lui et je ne résiste pas à l'envie de me blottir dans ces bras. Son murmure si doux et sincère me fait frémir et je passe ma main libre dans son dos.
- Aïky. Je n'ai pas peur de toi, je t'aime.
J'embrasse sa joue et descends sur son cou puis viens murmurer contre son oreille
- Je ne connais pas ta réputation d'avant. Pour moi ... tu n'es ni un monstre, ni un manipulateur. Tu es Revan .... drôle ... gentil... doux ... et je ... je .. je t'aime ...
Je me recule un peu pour lui faire face et dépose un tendre baiser sur ces lèvres. Puis , dans son regard j'y vois la même chose que dans le mien ... le besoin et l'incroyable tendresse que nous éprouvons l'un envers l'autre ...
Oui ... Je t'aime
Je n'ai pas peur de toi ...
Je n'ai pas peur de toi ...
Re: Une invitation à parler [Revan]
A mes mots, Aïky me fait frémir d'un baiser sur la joue, puis d'un autre au cous. Pour finalement me déposer à mon oreille, des mots si bon à entendre :
" Je ne connais pas ta réputation d'avant. Pour moi ... tu n'es ni un monstre, ni un manipulateur. Tu es Revan .... drôle ... gentil... doux ... et je ... je .. je t'aime ... "
Elle se recul pour me faire face. Je la regarde dans les yeux, mais c'est elle qui s'approche la première pour unir de nouveaux nos lèvres. J'attrape alors son visage délicatement pour l'embrasser amoureusement. Lui offrant toute la tendresse qu'elle désir et qu'elle cherche à me confier en retour. Ce besoin mutuel de dévorer la tendresse de l'autre d'une avidité inégalé. Cette envie d'amour qui nous perds au fil des baiser. Cette fois je ne peux m'empêcher de déplacer mes lèvres à ses joues et à son front. Pour finalement s'approprier son menton, puis sa mâchoire. Avant d'arriver au cous, que j'embrasse avec amour.
Mais les passant, et les voitures qui passent, me font injustement revenir à la réalité. J'étais si perdu dans cette bulle, que j'en avais oublier le regards d'autrui. Je calme donc mes gestes qui se faisait indécent, en marquant mon territoire d'un tendre suçon. Je dépose finalement mon front contre le sien tout en caressant ses joues, le sourire aux lèvres. Nous avons tout deux besoin d'un simple câlin, d'une simple preuve de tendresse. Mais ce n'est pas ici que nous pourrons partager ce genre de moment. C'est bête, mais un simple film dans les bras de l'autre, vaux toute les peines du monde. Se sentir isolé mais protéger par une chaleur protectrice. Cependant je me connais, et j'espère que les miens, ne se ferons pas trop possessif à son égard. Il n'y a plus qu'Aïky qui compte, dans cette vie et dans les prochaines. Même si ce sont des mots que toute personnes penserait aux débuts d'une relation. Avant de découvrir les défauts de l'autres, de faire des compromis, de contribuer aux disputes de couples.
J'espère qu'avec Aïky ça marchera. Et que je serais en mesure de lui offrir tout ce dont elle à besoin.
" Je ne connais pas ta réputation d'avant. Pour moi ... tu n'es ni un monstre, ni un manipulateur. Tu es Revan .... drôle ... gentil... doux ... et je ... je .. je t'aime ... "
Elle se recul pour me faire face. Je la regarde dans les yeux, mais c'est elle qui s'approche la première pour unir de nouveaux nos lèvres. J'attrape alors son visage délicatement pour l'embrasser amoureusement. Lui offrant toute la tendresse qu'elle désir et qu'elle cherche à me confier en retour. Ce besoin mutuel de dévorer la tendresse de l'autre d'une avidité inégalé. Cette envie d'amour qui nous perds au fil des baiser. Cette fois je ne peux m'empêcher de déplacer mes lèvres à ses joues et à son front. Pour finalement s'approprier son menton, puis sa mâchoire. Avant d'arriver au cous, que j'embrasse avec amour.
Mais les passant, et les voitures qui passent, me font injustement revenir à la réalité. J'étais si perdu dans cette bulle, que j'en avais oublier le regards d'autrui. Je calme donc mes gestes qui se faisait indécent, en marquant mon territoire d'un tendre suçon. Je dépose finalement mon front contre le sien tout en caressant ses joues, le sourire aux lèvres. Nous avons tout deux besoin d'un simple câlin, d'une simple preuve de tendresse. Mais ce n'est pas ici que nous pourrons partager ce genre de moment. C'est bête, mais un simple film dans les bras de l'autre, vaux toute les peines du monde. Se sentir isolé mais protéger par une chaleur protectrice. Cependant je me connais, et j'espère que les miens, ne se ferons pas trop possessif à son égard. Il n'y a plus qu'Aïky qui compte, dans cette vie et dans les prochaines. Même si ce sont des mots que toute personnes penserait aux débuts d'une relation. Avant de découvrir les défauts de l'autres, de faire des compromis, de contribuer aux disputes de couples.
J'espère qu'avec Aïky ça marchera. Et que je serais en mesure de lui offrir tout ce dont elle à besoin.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Sa bouche réclame la mienne , ses mains prennent possession de mon visage et de mon cou tandis que les miennes s'accrochent à sa nuque, ses cheveux. Je ne me lasse pas de ces baisers, de ses souffles et de son visage qui envahit mon horizon...
Sa bouche glisse sur mes joues, mon front, ma mâchoire et se dépose dans mon cou ... Ses lèvres qui suçotent doucement ma peau me fais lâcher un faible gémissement. Je sens des frissons me parcourir tout le corps ... même ... en bas ...
Mais avant que mon corps ne s'embrase, Revan se recule et appuie tendrement son front contre le mien. Nos souffles un peu irréguliers se mêlent et nos regards se cherchent. Il sourit et je ne peux faire que de même.
Nous restons ainsi quelques minutes ... heures ... plongés dans l'âme de l'autre, dans un silence tendre, ne savourant que la chaleur de l'autre. Mais doucement , les heures défilent et le ciel se teinte d'orange et de rose. La journée se termine doucement.
- Nous ferions mieux d'y aller
Je murmure doucement, appuyé contre Revan, un de ces bras autour de mes épaules , ma tête posée dans le creux de son cou et nos mains qui jouent ensemble. L'air s'est légèrement rafraîchit mais dans les bras de Revan , je n' ai plus froid ...
Nous finissons par nous lever et naturellement repartons main dans la main, sans nous pressé, comme pour faire durer encore ce moment. Nous échangeons quelques fois des clins d’œils et des petits rires, tout en reparlant de notre journée.
- J'espère que cette journée t'a plu Revan ! Même si je regrette quand même cette superbe cravate couverte de tournesol !
Sa bouche glisse sur mes joues, mon front, ma mâchoire et se dépose dans mon cou ... Ses lèvres qui suçotent doucement ma peau me fais lâcher un faible gémissement. Je sens des frissons me parcourir tout le corps ... même ... en bas ...
Mais avant que mon corps ne s'embrase, Revan se recule et appuie tendrement son front contre le mien. Nos souffles un peu irréguliers se mêlent et nos regards se cherchent. Il sourit et je ne peux faire que de même.
Nous restons ainsi quelques minutes ... heures ... plongés dans l'âme de l'autre, dans un silence tendre, ne savourant que la chaleur de l'autre. Mais doucement , les heures défilent et le ciel se teinte d'orange et de rose. La journée se termine doucement.
- Nous ferions mieux d'y aller
Je murmure doucement, appuyé contre Revan, un de ces bras autour de mes épaules , ma tête posée dans le creux de son cou et nos mains qui jouent ensemble. L'air s'est légèrement rafraîchit mais dans les bras de Revan , je n' ai plus froid ...
Nous finissons par nous lever et naturellement repartons main dans la main, sans nous pressé, comme pour faire durer encore ce moment. Nous échangeons quelques fois des clins d’œils et des petits rires, tout en reparlant de notre journée.
- J'espère que cette journée t'a plu Revan ! Même si je regrette quand même cette superbe cravate couverte de tournesol !
Re: Une invitation à parler [Revan]
Nous nous regardons naïvement quelques instant, les yeux dans les yeux, miroitant le sourire de l'autre. Finalement Aïky énonce :
" Nous ferions mieux d'y aller "
Cela m'attriste de devoir la quitter. Mais en regardant le ciel, je constate avec regret que la journée est bel et bien terminé. Gardant la main d'Aïky lié avec la mienne, nous nous relevons ensemble, et marchons lentement, tranquillement. Pour retarder les adieux.
" J'espère que cette journée t'a plu Revan ! Même si je regrette quand même cette superbe cravate couverte de tournesol ! "
" Tu crois que je ne regrette pas ce magnifique pantalon vert et orange XXL ?~ "
Je ricane avec elle avant de déposer un petit baiser contre sa tempe, puis je lui murmure plus tendrement
" Nan, cette journée m'a plus malgré quelques accidents. Mais ce que je regrette le plus, c'est de devoir te quitter. "
C'est la simple vérité. J'ai plus de dix ans de tendresses à rattraper. Mon corps à besoin d'elle, de sa présence. Et si on met de côté l'univers émotionnelle, je regrette également de mettre "en pause" toute notre naïveté. De devoir percer notre petite bulle qui s'était envolé bien au-delà de la réalité, pour retourner sur terre.
" De toute façon... Il y aura toujours nos portable pour continuer à parler, n'hésite pas. "
Cette phrase veut simplement dire " Reparle moi vite 'tit chou ". Puisque j'aimerais égoïstement éterniser nos échanges, nos conversations. La présence de l'un et l'autre en soit. Même si elle doit être épuisé, auquel cas...
" Mais pas trop tard, tu dois être exténué à force de me courir après. Donc si c'est le cas, en rentrant t'iras aussitôt te coucher "
Je lui souris tendrement. Tout en la rapprochant un peu par la taille, pour lui faire un câlin mobile, déposant ma tête contre la sienne. A regarder le ciel se coucher, j'ai toujours admirer les aubes et crépuscules. Mais je n'ai jamais pris le temps de les observer. Qui aurait crus que je me déciderais enfin d'observer un ciel orangé, avec une jeune femme formidable ?
" Nous ferions mieux d'y aller "
Cela m'attriste de devoir la quitter. Mais en regardant le ciel, je constate avec regret que la journée est bel et bien terminé. Gardant la main d'Aïky lié avec la mienne, nous nous relevons ensemble, et marchons lentement, tranquillement. Pour retarder les adieux.
" J'espère que cette journée t'a plu Revan ! Même si je regrette quand même cette superbe cravate couverte de tournesol ! "
" Tu crois que je ne regrette pas ce magnifique pantalon vert et orange XXL ?~ "
Je ricane avec elle avant de déposer un petit baiser contre sa tempe, puis je lui murmure plus tendrement
" Nan, cette journée m'a plus malgré quelques accidents. Mais ce que je regrette le plus, c'est de devoir te quitter. "
C'est la simple vérité. J'ai plus de dix ans de tendresses à rattraper. Mon corps à besoin d'elle, de sa présence. Et si on met de côté l'univers émotionnelle, je regrette également de mettre "en pause" toute notre naïveté. De devoir percer notre petite bulle qui s'était envolé bien au-delà de la réalité, pour retourner sur terre.
" De toute façon... Il y aura toujours nos portable pour continuer à parler, n'hésite pas. "
Cette phrase veut simplement dire " Reparle moi vite 'tit chou ". Puisque j'aimerais égoïstement éterniser nos échanges, nos conversations. La présence de l'un et l'autre en soit. Même si elle doit être épuisé, auquel cas...
" Mais pas trop tard, tu dois être exténué à force de me courir après. Donc si c'est le cas, en rentrant t'iras aussitôt te coucher "
Je lui souris tendrement. Tout en la rapprochant un peu par la taille, pour lui faire un câlin mobile, déposant ma tête contre la sienne. A regarder le ciel se coucher, j'ai toujours admirer les aubes et crépuscules. Mais je n'ai jamais pris le temps de les observer. Qui aurait crus que je me déciderais enfin d'observer un ciel orangé, avec une jeune femme formidable ?
Re: Une invitation à parler [Revan]
- Tu crois que je ne regrette pas ce magnifique pantalon vert et orange XXL ?~
- Mais on peut toujours retourner l'acheter si tu le veux absolument !!!
Nous ricanons , repensant aux vêtements énormes et je revois le visage de Revan , si fier en me présentant des pantalons si grand qu'on aurait dit des tentes.
Nous marchons l'un contre l'autre et il embrasse ma tempe avec douceur.
- Nan, cette journée m'a plus malgré quelques accidents. Mais ce que je regrette le plus, c'est de devoir te quitter.
"Me quitter" cette idée me sers violemment le coeur ... pourquoi l'idée de le perdre me fais tant paniquer ? Pourtant ... il m'a dit qu'il ne partirais pas ... alors ... je ne devrais pas avoir peur comme ça. Mais je ne peux m’empêcher de m'agripper à sa main. Je lui souris mais mon corps se tends vers lui. Je murmure un timide " Moi aussi ! "
- De toute façon... Il y aura toujours nos portable pour continuer à parler, n'hésite pas.
Cette phrase est plus une demande qu'une constatation et j'acquiesce en lui souriant. Je compte bien garder le contact. Je ne voudrais pas le perdre.
Mais il reprends un petit air autoritaire
- Mais pas trop tard, tu dois être exténué à force de me courir après. Donc si c'est le cas, en rentrant t'iras aussitôt te coucher
Je ris parce que du coup ça me donne une idée.
- Je crois pourtant que c'est toi qui me cours après !
Je lui fais un clin d'oeil et m'élance dans la rue en riant, courant aussi vite que je peux. Je ne pense pas le semer vu que je suis plus endurante que rapide mais je ris trop pour m'en soucier , jettant des regards derrière moi pour voir ce qu'il fait !
- Mais on peut toujours retourner l'acheter si tu le veux absolument !!!
Nous ricanons , repensant aux vêtements énormes et je revois le visage de Revan , si fier en me présentant des pantalons si grand qu'on aurait dit des tentes.
Nous marchons l'un contre l'autre et il embrasse ma tempe avec douceur.
- Nan, cette journée m'a plus malgré quelques accidents. Mais ce que je regrette le plus, c'est de devoir te quitter.
"Me quitter" cette idée me sers violemment le coeur ... pourquoi l'idée de le perdre me fais tant paniquer ? Pourtant ... il m'a dit qu'il ne partirais pas ... alors ... je ne devrais pas avoir peur comme ça. Mais je ne peux m’empêcher de m'agripper à sa main. Je lui souris mais mon corps se tends vers lui. Je murmure un timide " Moi aussi ! "
- De toute façon... Il y aura toujours nos portable pour continuer à parler, n'hésite pas.
Cette phrase est plus une demande qu'une constatation et j'acquiesce en lui souriant. Je compte bien garder le contact. Je ne voudrais pas le perdre.
Mais il reprends un petit air autoritaire
- Mais pas trop tard, tu dois être exténué à force de me courir après. Donc si c'est le cas, en rentrant t'iras aussitôt te coucher
Je ris parce que du coup ça me donne une idée.
- Je crois pourtant que c'est toi qui me cours après !
Je lui fais un clin d'oeil et m'élance dans la rue en riant, courant aussi vite que je peux. Je ne pense pas le semer vu que je suis plus endurante que rapide mais je ris trop pour m'en soucier , jettant des regards derrière moi pour voir ce qu'il fait !
Re: Une invitation à parler [Revan]
" Je crois pourtant que c'est toi qui me cours après ! "
Comment ça ? Je ne lui ais jamais courus après, de quoi veut-elle parler ?... Ne comprenant pas, je la regarde en penchant légèrement la tête sur le côté, et grimaçant sous l'incertitude.
" Comment ç- "
Oh la vilaine. Elle se détache de moi pour fuir à toute vitesse. Je la regarde quelques instants. Puis ricane bêtement en m'avançant, d'abords en marchant :
" Oh alors toi... "
Je souris bêtement, puis lui cours après
" VIENS ICI SALE GOSSE !! "
Nous rions bêtement, je vois un petit espace vert sur le côté, très petit, juste quelques arbres et un banc. Je ralentis volontairement, sans que cela ne se remarque trop. Pour la laisser atteindre ce petit espace vert.
Ma douce, tu l'auras chercher ~
Une fois qu'elle est près de l'atteindre. J'accélère pour la rattraper, et passe mes mains au niveau de ses hanches pour la faire tomber en ma direction. Moi même je me laisse tomber sur l'herbe. Ainsi, je ne fais pas bêtement mal à Aïky, puisque c'est moi qui prend tout pour elle. Aïky de son côté tombe seulement sur moi. Une fois par terre, après un petit gémissement de douleurs. Je rigole en observant Aïky qui est désormais coucher sur moi. Je caresse lentement le long de son nez avec le bout du miens, en lui murmurant malicieusement :
" Je t'ai eu ~ "
Je lui sourit tendrement. J'estompe le baiser esquimaux pour me reculer de quelques centimètres, afin de me perdre dans ses yeux, en lui caressant sa joue gauche. Après quelques minutes de doux silence, je lui murmure sur un ton joueur :
" Je regrette princesse, il est interdit de fuir le château de la sorte. Vous devez patienter l'arrivé d'un prince charmant. "
Comment ça ? Je ne lui ais jamais courus après, de quoi veut-elle parler ?... Ne comprenant pas, je la regarde en penchant légèrement la tête sur le côté, et grimaçant sous l'incertitude.
" Comment ç- "
Oh la vilaine. Elle se détache de moi pour fuir à toute vitesse. Je la regarde quelques instants. Puis ricane bêtement en m'avançant, d'abords en marchant :
" Oh alors toi... "
Je souris bêtement, puis lui cours après
" VIENS ICI SALE GOSSE !! "
Nous rions bêtement, je vois un petit espace vert sur le côté, très petit, juste quelques arbres et un banc. Je ralentis volontairement, sans que cela ne se remarque trop. Pour la laisser atteindre ce petit espace vert.
Ma douce, tu l'auras chercher ~
Une fois qu'elle est près de l'atteindre. J'accélère pour la rattraper, et passe mes mains au niveau de ses hanches pour la faire tomber en ma direction. Moi même je me laisse tomber sur l'herbe. Ainsi, je ne fais pas bêtement mal à Aïky, puisque c'est moi qui prend tout pour elle. Aïky de son côté tombe seulement sur moi. Une fois par terre, après un petit gémissement de douleurs. Je rigole en observant Aïky qui est désormais coucher sur moi. Je caresse lentement le long de son nez avec le bout du miens, en lui murmurant malicieusement :
" Je t'ai eu ~ "
Je lui sourit tendrement. J'estompe le baiser esquimaux pour me reculer de quelques centimètres, afin de me perdre dans ses yeux, en lui caressant sa joue gauche. Après quelques minutes de doux silence, je lui murmure sur un ton joueur :
" Je regrette princesse, il est interdit de fuir le château de la sorte. Vous devez patienter l'arrivé d'un prince charmant. "
Re: Une invitation à parler [Revan]
J'éclate de rire en voyant son air surpris et l'incompréhension qui se lit dans son regard après ma phrase. Puis petit à petit il réalise la situation alors que je continue de courir pour laisser une bonne distance entre nous deux. Et quand il a compris, il s'élance à son tour en criant dans mon dos.
- VIENS ICI SALE GOSSE !!
- JAMAIS TU NE M'ATTRAPERAS !!!!
Nous rions comme deux enfants et je cherche du regard un endroit ou me cacher ou au moins me mettre à l'abri ! Grimper aux arbres ? mmmh .... je ne suis pas bonne grimpeuse même avec mes griffes ? Tourner dans la rue et me cacher en espérant qu'il tombe dans le panneau ? Peu probable ... Alors que je cherche désespérément à trouver comment lui échapper , je sens deux mains m’attraper les hanches et me tirer sur le coté.
Je lâche un cri de surprise et un rire avant de me retrouver appuyée contre le torse de Revan, allongé sur le sol. Je me tourne pour lui faire face. Il sourit et je suis sur qu'il doit être content de m'avoir attrapé. Je ris et Revan se penche et fais doucement frotter son nez contre le mien en murmurant doucement.
- Je t'ai eu ~
Je rigole mais son baiser esquimau est si mignon que je lui souris, attendri.
Son regard capte le mien et tout en me caressant la joue il murmure
- Je regrette princesse, il est interdit de fuir le château de la sorte. Vous devez patienter l'arrivé d'un prince charmant.
Je dépose un baiser sur son front et murmure à mon tour :
- Oh pourtant je crois que mon prince charmant est bien arrivé ! On peut même dire qu'il m'a attrapé
Je souris à Revan et embrasse sa joue, son nez, la commissure des lèvres.
- On peut dire que vous savez faire une entrée fracassante , mon beau et cher Prince !
Je remonte à ces lèvres et l'embrasse encore, avec passion et tendresse, oubliant encore une fois ou nous sommes et les passants aux alentours !
- VIENS ICI SALE GOSSE !!
- JAMAIS TU NE M'ATTRAPERAS !!!!
Nous rions comme deux enfants et je cherche du regard un endroit ou me cacher ou au moins me mettre à l'abri ! Grimper aux arbres ? mmmh .... je ne suis pas bonne grimpeuse même avec mes griffes ? Tourner dans la rue et me cacher en espérant qu'il tombe dans le panneau ? Peu probable ... Alors que je cherche désespérément à trouver comment lui échapper , je sens deux mains m’attraper les hanches et me tirer sur le coté.
Je lâche un cri de surprise et un rire avant de me retrouver appuyée contre le torse de Revan, allongé sur le sol. Je me tourne pour lui faire face. Il sourit et je suis sur qu'il doit être content de m'avoir attrapé. Je ris et Revan se penche et fais doucement frotter son nez contre le mien en murmurant doucement.
- Je t'ai eu ~
Je rigole mais son baiser esquimau est si mignon que je lui souris, attendri.
Son regard capte le mien et tout en me caressant la joue il murmure
- Je regrette princesse, il est interdit de fuir le château de la sorte. Vous devez patienter l'arrivé d'un prince charmant.
Je dépose un baiser sur son front et murmure à mon tour :
- Oh pourtant je crois que mon prince charmant est bien arrivé ! On peut même dire qu'il m'a attrapé
Je souris à Revan et embrasse sa joue, son nez, la commissure des lèvres.
- On peut dire que vous savez faire une entrée fracassante , mon beau et cher Prince !
Je remonte à ces lèvres et l'embrasse encore, avec passion et tendresse, oubliant encore une fois ou nous sommes et les passants aux alentours !
Re: Une invitation à parler [Revan]
" Oh pourtant je crois que mon prince charmant est bien arrivé ! On peut même dire qu'il m'a attrapé "
" Allons princesses je ne suis qu'un vulgaire majordome, vous ne devriez pas avoir de telle pensées ~ "
Aïky parcours mon visage du bout de ses lèvres, ce qui provoque de plaisant frissons. Je profite de ce contact avant qu'elle ne me murmure
" On peut dire que vous savez faire une entrée fracassante , mon beau et cher Prince ! "
Je n'eu le temps de répondre. Aïky scelle de nouveau nos lèvres dans un tendre baiser, que je savoure de tout cœur. Nous déconnectant de nouveau de la réalité, pour pénétrer un monde où nous pouvons dévorer les émotions de l'autres avidement. Ses baiser se font de plus en plus passionné, ce qui ne me laisse nullement indifférent, comme à chaque fois que l'on va un peu loin dans ce contact. Mais j'en profite. Ma main droite rejoins de nouveau la joue gauche d'Aïky, pour tenir son visage tout en le caressant. Mes lèvres ne cessant d'échanger mes sentiments avec les siens. Un soupire incontrôlé énonce
" Je t'aime... "
Avant d'embrasser Aïky de plus belle, me redressant soudainement. Elle est désormais assise sur mes cuisses, et nous nous embrassons de plus en plus indécemment. Nous devrions arrêter, mais nous continuons quelques secondes, ces mêmes secondes se changeants en minutes. Je recule finalement mon visage pour regarder Aïky, nos souffles dansant ensemble plus rapidement. Je murmure timidement
" Vous ne devriez pas m'aguicher de la sorte en publique princesse "
Avant d'achever mes mots, en approchant mes lèvres afin qu'ils ne touchent à peine celles d'Aïky. Marquant un contact subtile et désirable. Mêlant l'affection de ma chaire et la sensualité de mon souffle frôlant sa peau. Il serait hypocrites de ne pas non plus parler de ce gestes, comme d'une légère provocations.
" Allons princesses je ne suis qu'un vulgaire majordome, vous ne devriez pas avoir de telle pensées ~ "
Aïky parcours mon visage du bout de ses lèvres, ce qui provoque de plaisant frissons. Je profite de ce contact avant qu'elle ne me murmure
" On peut dire que vous savez faire une entrée fracassante , mon beau et cher Prince ! "
Je n'eu le temps de répondre. Aïky scelle de nouveau nos lèvres dans un tendre baiser, que je savoure de tout cœur. Nous déconnectant de nouveau de la réalité, pour pénétrer un monde où nous pouvons dévorer les émotions de l'autres avidement. Ses baiser se font de plus en plus passionné, ce qui ne me laisse nullement indifférent, comme à chaque fois que l'on va un peu loin dans ce contact. Mais j'en profite. Ma main droite rejoins de nouveau la joue gauche d'Aïky, pour tenir son visage tout en le caressant. Mes lèvres ne cessant d'échanger mes sentiments avec les siens. Un soupire incontrôlé énonce
" Je t'aime... "
Avant d'embrasser Aïky de plus belle, me redressant soudainement. Elle est désormais assise sur mes cuisses, et nous nous embrassons de plus en plus indécemment. Nous devrions arrêter, mais nous continuons quelques secondes, ces mêmes secondes se changeants en minutes. Je recule finalement mon visage pour regarder Aïky, nos souffles dansant ensemble plus rapidement. Je murmure timidement
" Vous ne devriez pas m'aguicher de la sorte en publique princesse "
Avant d'achever mes mots, en approchant mes lèvres afin qu'ils ne touchent à peine celles d'Aïky. Marquant un contact subtile et désirable. Mêlant l'affection de ma chaire et la sensualité de mon souffle frôlant sa peau. Il serait hypocrites de ne pas non plus parler de ce gestes, comme d'une légère provocations.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Son corps tout comme son cœur me murmure un "Je t'aime" salvateur et libérateur. J'empoigne sa nuque entre mes doigts, ma tendresse se fait passion, désir et envie brute ... Nos souffles se mélangent, nos corps se tendent contre l'autre, allongés contre ce tapis d'herbe.
Revan recule un peu son visage et cela me frustre ... mais il se redresse , me plaquant contre son torse finement musclé, me retrouvant ainsi sur ces cuisses. Cette position est indécente ... mais aussi ... étrangement ... excitante ... et nous reprenons nos baisers, savourant les lèvres de l'autre.
Mon cœur bat dans ma poitrine et ma respiration est un peu saccadée quand enfin nous nous reculons, observant l'autre comme un miroir de nos sentiments et de notre envie viscérale de l'autre. Je pourrais plonger mon regard dans ces pupilles sans m'en lasser , caressant sa joue avec une douceur infinie .... j'aimerais ... passer ma langue sur la forme de sa mâchoire ... descendre le long de son cou ... jusqu'à sa pomme d'Adam ... Ces pensées m'effraient tout comme elles m'attirent et mon regard se fait brûlant dans celui de Revan.
- Vous ne devriez pas m'aguicher de la sorte en publique princesse
A peine finit-il ces mots que ses lèvres frôlent si subtilement les miennes que je pourrais croire à un rêve si je ne voyais pas son sourire légèrement ... provocateur sur son visage ... c'est si ... intime comme baiser mais tout aussi frustrant car il amplifie un désir ... profond chez moi ... quelque chose que je ne connais pas ...
- Oh ... pourquoi ? Cela fonctionne t-il ?
Je pose la question avec un air innocent mais ma voix d'un coup plus chaude, dénote avec l’intonation utilisé. Je pose le bout de mon doigt contre mes lèvres entr'ouvertes et le mordille lentement en observant la bouche de Revan ... Je ne sais pas à quoi je joue ... mais ... j'ai l'impression que du feu se répands dans mes veines ... et que mon corps a prit quelques degrés supplémentaires ... alors que le soir commence à obscurcir le ciel ...
Revan recule un peu son visage et cela me frustre ... mais il se redresse , me plaquant contre son torse finement musclé, me retrouvant ainsi sur ces cuisses. Cette position est indécente ... mais aussi ... étrangement ... excitante ... et nous reprenons nos baisers, savourant les lèvres de l'autre.
Mon cœur bat dans ma poitrine et ma respiration est un peu saccadée quand enfin nous nous reculons, observant l'autre comme un miroir de nos sentiments et de notre envie viscérale de l'autre. Je pourrais plonger mon regard dans ces pupilles sans m'en lasser , caressant sa joue avec une douceur infinie .... j'aimerais ... passer ma langue sur la forme de sa mâchoire ... descendre le long de son cou ... jusqu'à sa pomme d'Adam ... Ces pensées m'effraient tout comme elles m'attirent et mon regard se fait brûlant dans celui de Revan.
- Vous ne devriez pas m'aguicher de la sorte en publique princesse
A peine finit-il ces mots que ses lèvres frôlent si subtilement les miennes que je pourrais croire à un rêve si je ne voyais pas son sourire légèrement ... provocateur sur son visage ... c'est si ... intime comme baiser mais tout aussi frustrant car il amplifie un désir ... profond chez moi ... quelque chose que je ne connais pas ...
- Oh ... pourquoi ? Cela fonctionne t-il ?
Je pose la question avec un air innocent mais ma voix d'un coup plus chaude, dénote avec l’intonation utilisé. Je pose le bout de mon doigt contre mes lèvres entr'ouvertes et le mordille lentement en observant la bouche de Revan ... Je ne sais pas à quoi je joue ... mais ... j'ai l'impression que du feu se répands dans mes veines ... et que mon corps a prit quelques degrés supplémentaires ... alors que le soir commence à obscurcir le ciel ...
Re: Une invitation à parler [Revan]
" Oh ... pourquoi ? Cela fonctionne t-il ? "
Aïky prend une mine et une posture plus coquine, et sa tonalité innocente est presque provocante. Ses yeux remplies de braises me laissent pensé que tout comme moi elle brûle d'une envie intime. Je l'observes comme toujours, mes lèvres à quelques centimètres des siennes. Je lui murmures d'un voix à peine audible, mais si indécente...
" Peut-être bien... oui... "
Mais mon caractère joueur fait de nouveau apparition, dessinant un sensuel mais provoquant sourire malicieux, décoré d'un intense regard. Pour finalement lui annoncer irroniquement
" Quel dommage... Vous ne pourrez vous satisfaire en ces lieux... Princesse ~ "
Je ne sais plus vraiment ce que je dis. Je suis corrompus par cette envie que mon cœur tambourine et que mon sang boue avec vigueur. Nous jouons tout deux comme des enfants, mais lorsqu'il s'agit de sentiments, il semblerait que nous prenons formes d'animaux matures cherchant à satisfaire leurs faims par tout les moyens... Nos sentiments semblent si intense qu'un rien nous ferait dérivé dans un univers mêlant intimité et folie. J'observes Aïky dans les yeux avec désirs. Me demandant comment elle va réagir. Va t-elle laisser son caractère timide et introvertie reprendre le dessus pour nous séparer. Ou bien choisira t-elle de se laisser aller vers des instants plus passionnants ? Dans tout les cas Aïky à passer un cap qui ne me laissera plus indifférent. Elle était jusqu'ici si pure et si adorable que je ne pouvais éprouver de désir indécents. Mais elle cache en elle un fougueux caractère qui lui donne un visage... Excitant. Je suis certain qu'en cet instant, elle et moi sentons l'envie de l'autres, et qu'un simple fil nous retiens de passer une étape de non retour. Celle où on unirait nos corps, tout en prenant possession de celui de l'autres...
Aïky prend une mine et une posture plus coquine, et sa tonalité innocente est presque provocante. Ses yeux remplies de braises me laissent pensé que tout comme moi elle brûle d'une envie intime. Je l'observes comme toujours, mes lèvres à quelques centimètres des siennes. Je lui murmures d'un voix à peine audible, mais si indécente...
" Peut-être bien... oui... "
Mais mon caractère joueur fait de nouveau apparition, dessinant un sensuel mais provoquant sourire malicieux, décoré d'un intense regard. Pour finalement lui annoncer irroniquement
" Quel dommage... Vous ne pourrez vous satisfaire en ces lieux... Princesse ~ "
Je ne sais plus vraiment ce que je dis. Je suis corrompus par cette envie que mon cœur tambourine et que mon sang boue avec vigueur. Nous jouons tout deux comme des enfants, mais lorsqu'il s'agit de sentiments, il semblerait que nous prenons formes d'animaux matures cherchant à satisfaire leurs faims par tout les moyens... Nos sentiments semblent si intense qu'un rien nous ferait dérivé dans un univers mêlant intimité et folie. J'observes Aïky dans les yeux avec désirs. Me demandant comment elle va réagir. Va t-elle laisser son caractère timide et introvertie reprendre le dessus pour nous séparer. Ou bien choisira t-elle de se laisser aller vers des instants plus passionnants ? Dans tout les cas Aïky à passer un cap qui ne me laissera plus indifférent. Elle était jusqu'ici si pure et si adorable que je ne pouvais éprouver de désir indécents. Mais elle cache en elle un fougueux caractère qui lui donne un visage... Excitant. Je suis certain qu'en cet instant, elle et moi sentons l'envie de l'autres, et qu'un simple fil nous retiens de passer une étape de non retour. Celle où on unirait nos corps, tout en prenant possession de celui de l'autres...
Re: Une invitation à parler [Revan]
Son souffle sur mes lèvres entr'ouvertes me fait frissonner ... et c'est comme une caresse interdite qui glisse le long de mon ventre pour descendre en des lieux indécents ... je pourrais boire son souffle comme un élixir irrésistible
- Peut-être bien... oui...
Ses pupilles ont pris des éclats ... torrides ... c'est si ... sexy ...
Cet inconnu là ... me laisse figé dans l'appréhension ... mais au plus profond de moi ... s'éveille ... l'envie ... la curiosité ...
Et le sourire de Revan ... provocant ... tentateur ... ne fait que renforcer la chaleur qui se répands dans mon corps
Sa petite phrase ironique , murmuré comme un secret me fait frémir.
- Quel dommage... Vous ne pourrez vous satisfaire en ces lieux... Princesse ~
L'évidence même du lieu ou nous nous trouvons me tombe dessus quand je regarde qu'en effet nous sommes toujours assis sur notre petit carré d'herbe , quelques passants qui se promènent et les lampadaires qui s'allument.
Mais en reportant mon attention sur Revan, je me surprends à avoir une dernière envie joueuse ... une envie de ne pas lui donner entièrement raison ...
Je pose mes mains sur ses épaules et le refait tomber au sol en riant presque innocemment. Je veille à ne pas lui faire mal même si je ne pense pas être bien lourde.
- C'est vrai ... ce n'est ni le lieu ni le moment , mon cher Prince ... Et tout comme Cendrillon, il est l'heure de partir de la fête . Mais à défaut de vous laisser ma pantoufle de verre pour me retrouver, voici ce que je vous laisserais...
Avec une de mes mains, j’attrape doucement son menton et lui fais relever la tête en arrière, m'offrant ainsi un accès à son cou. Il pourrait facilement riposter mais il semble accepter ces marques d'autorité de ma part et j'en profite donc pour me pencher contre lui, ma bouche au dessus de son cou. Mon souffle caresse sa peau nue et malgré mon inexpérience totale, je pose délicatement ma bouche sur son cou, léchant subtilement la cambrure de son cou avant de tourner un peu mon visage et attrape sa peau entre mes lèvres pour venir la suçoter et ainsi y laisser mon premier suçon sur sa peau claire.
Je prends mon temps, savourant la chaleur de sa chair et son odeur virile jusqu'à ce que je lui laisse une jolie marque foncée ... réponse au suçon qu'il m'avait fait plus tôt.
Je me relève enfin non sans un sourire plutôt fier , riant doucement en lui jetant un regard provocateur.
- Voilà mon cher Prince. Maintenant ... c'est moi qui vous retrouverez ... !
Je lui tire la langue et me redresse
- Peut-être bien... oui...
Ses pupilles ont pris des éclats ... torrides ... c'est si ... sexy ...
Cet inconnu là ... me laisse figé dans l'appréhension ... mais au plus profond de moi ... s'éveille ... l'envie ... la curiosité ...
Et le sourire de Revan ... provocant ... tentateur ... ne fait que renforcer la chaleur qui se répands dans mon corps
Sa petite phrase ironique , murmuré comme un secret me fait frémir.
- Quel dommage... Vous ne pourrez vous satisfaire en ces lieux... Princesse ~
L'évidence même du lieu ou nous nous trouvons me tombe dessus quand je regarde qu'en effet nous sommes toujours assis sur notre petit carré d'herbe , quelques passants qui se promènent et les lampadaires qui s'allument.
Mais en reportant mon attention sur Revan, je me surprends à avoir une dernière envie joueuse ... une envie de ne pas lui donner entièrement raison ...
Je pose mes mains sur ses épaules et le refait tomber au sol en riant presque innocemment. Je veille à ne pas lui faire mal même si je ne pense pas être bien lourde.
- C'est vrai ... ce n'est ni le lieu ni le moment , mon cher Prince ... Et tout comme Cendrillon, il est l'heure de partir de la fête . Mais à défaut de vous laisser ma pantoufle de verre pour me retrouver, voici ce que je vous laisserais...
Avec une de mes mains, j’attrape doucement son menton et lui fais relever la tête en arrière, m'offrant ainsi un accès à son cou. Il pourrait facilement riposter mais il semble accepter ces marques d'autorité de ma part et j'en profite donc pour me pencher contre lui, ma bouche au dessus de son cou. Mon souffle caresse sa peau nue et malgré mon inexpérience totale, je pose délicatement ma bouche sur son cou, léchant subtilement la cambrure de son cou avant de tourner un peu mon visage et attrape sa peau entre mes lèvres pour venir la suçoter et ainsi y laisser mon premier suçon sur sa peau claire.
Je prends mon temps, savourant la chaleur de sa chair et son odeur virile jusqu'à ce que je lui laisse une jolie marque foncée ... réponse au suçon qu'il m'avait fait plus tôt.
Je me relève enfin non sans un sourire plutôt fier , riant doucement en lui jetant un regard provocateur.
- Voilà mon cher Prince. Maintenant ... c'est moi qui vous retrouverez ... !
Je lui tire la langue et me redresse
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