Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
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Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
Rappel du premier message :
« Adam Cooper. »
(PV Mlle Denarbonne)
J’ai hésité. J’ai vraiment hésité à ne pas mettre quelque chose dans son repas. Mais pour une fois, oui pour une fois, j’ai décidé d’être un tant soit peu galant avec elle. Surprenant n’est ce pas ? Evidemment l’idée qu’elle aille colporter que je cuisine mal à cause de quelques malencontreux ingrédients supplémentaires à jouer en faveur de cette décision. Mais j’estime que cela reste de la serviabilité.
J’attrape le sel et le poivre pour assaisonner mon plat. Je crois que c’est bon, tout est prêt. Et qu’elle ne vienne pas me dire que c’est mauvais où je lui fais bouffer par un autre orifice. Enfin bref, calmons nos ardeurs. J’éteins la chaîne qui est branchée sur mon émission favorite et vais ranger toutes mes précieuses, précieuses peluches de Bob l’éponge dans un coffre. Imaginez. Notre très chère enseignante tombant sur leurs bouilles affreusement mignonnes. Ma réputation serait ruinée en quelques secondes. Et comment pourrais-je encore avoir un minimum de prestance devant elle après ça ? Non c’est tout bonnement impensable.
Allez savoir pourquoi…. j’ai envie de faire les choses bien. Et de part ce faite, je dresse une table agrémentée d’une table blanche, chandelles ou ce genre d'imbécillité. Après tout on dîne chez moi, il faut que ce soit classe. En passant vers la commode où sont rangés les couverts d’argents, mes yeux tombent sur la magnifique photo de Juliette assis sur le trône en tenue de cuir. Franchement. C’est vraiment une bonne idée de collectionner mes jeux à son encontre. Pauvre Mlle Denarbonne. Que ne ferais-je pas pour vous faire chiez ?
Je regarde le travail, les mains posées sur mes hanches. Quelque chose me dérange. C’est trop parfait. Dans le sens trop parfait pour accueillir cette conne de Denarbonne. Mince, l’injure m’a échappé. Il n’empêche que ça reste le cas. Ça y est. Un nouveau jeu me vient en tête. Si l’ambiance tend au romantique, pourquoi ne pas en profiter pour se foutre de ses anciens sentiments pour moi. Un sourire se dessine sur mes lèvres. Ma petite Juliette, ce soir, je serais le parfait faux petit ami.
J’attrape le sel et le poivre pour assaisonner mon plat. Je crois que c’est bon, tout est prêt. Et qu’elle ne vienne pas me dire que c’est mauvais où je lui fais bouffer par un autre orifice. Enfin bref, calmons nos ardeurs. J’éteins la chaîne qui est branchée sur mon émission favorite et vais ranger toutes mes précieuses, précieuses peluches de Bob l’éponge dans un coffre. Imaginez. Notre très chère enseignante tombant sur leurs bouilles affreusement mignonnes. Ma réputation serait ruinée en quelques secondes. Et comment pourrais-je encore avoir un minimum de prestance devant elle après ça ? Non c’est tout bonnement impensable.
Allez savoir pourquoi…. j’ai envie de faire les choses bien. Et de part ce faite, je dresse une table agrémentée d’une table blanche, chandelles ou ce genre d'imbécillité. Après tout on dîne chez moi, il faut que ce soit classe. En passant vers la commode où sont rangés les couverts d’argents, mes yeux tombent sur la magnifique photo de Juliette assis sur le trône en tenue de cuir. Franchement. C’est vraiment une bonne idée de collectionner mes jeux à son encontre. Pauvre Mlle Denarbonne. Que ne ferais-je pas pour vous faire chiez ?
Je regarde le travail, les mains posées sur mes hanches. Quelque chose me dérange. C’est trop parfait. Dans le sens trop parfait pour accueillir cette conne de Denarbonne. Mince, l’injure m’a échappé. Il n’empêche que ça reste le cas. Ça y est. Un nouveau jeu me vient en tête. Si l’ambiance tend au romantique, pourquoi ne pas en profiter pour se foutre de ses anciens sentiments pour moi. Un sourire se dessine sur mes lèvres. Ma petite Juliette, ce soir, je serais le parfait faux petit ami.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Adam Cooper. »
(PV Mlle Denarbonne)
Pourquoi s’entête-t-elle à vouloir me repousser ? N’a-t-elle dont pas compris que je ne ferais rien de ce qu’elle voudrait ? Ses suppliques me font tout de même doucement rire.
J’aime voir à quel point je l’ai rendu désespérée. Quel pur plaisir. Mon sadisme est rassasié ce soir. Je souris à cette pensée. Ce genre de chose ne peut arriver que lorsqu’elle est présente. Ce même sentiment m’étais déjà apparu auparavant. Et c’était également lorsqu’elle était avec moi. A la fac.
Elle ne veut pas s’endormir dans les bras de son agresseur. Je tente d’imaginer avec plaisir à quel point elle doit se sentir prisonnière. Je ne peux m’empêcher de murmurer mes pensées à voix basse.
Personne ne viendra te sauver ma belle. Il n’y a que toi et moi.
Quel monstre je fais ! Je suis persuadé que pour une fois mon enflure de père aurait été fière de moi.
Je regarde Juliette s’endormir contre son gré. Une fois de plus. Elle doit sans doute être mortifier à l’idée de savoir quel s’endort avec une personne tel que moi contre elle. Etre aussi vulnérable. Et à ma portée. Le simple fait de savoir la peur et l’angoisse que je génère en elle me ramène une nouvelle fois le sourire.
Je m’installe plus confortablement sur le lit, et par conséquent suis obligé de la relâcher légèrement. Je garde mes yeux sur ma proie. La voir comme ça, sans doute déjà endormie, bien plus paisible que lorsqu’elle est éveillée, me donne envie de la réveiller. Ainsi je pourrais la martyrisé un peu plus avant que je ne la laisse s’enfuir demain. Et que, bien évidemment, elle ne s’éloigne inexorablement de moi. Mais pour une fois, je vais faire preuve d’un peu de pitié et la laisser dormir. J’aurais sans doute la chance de revenir la torturer un jour. En fait, la question ne se pose pas. Je n’attendrais pas que le destin face en sorte que nous nous croisions. Si je passe une semaine sans la voir par hasard, j’irais moi même à sa rencontre. Maintenant que j’ai retrouvé ma charmante Juliette, je ne compte pas la laisser ainsi. Elle me divertit bien trop.
Mon regard est toujours posé ainsi. Je ne sais toujours pas si elle est belle et bien endormie ou si elle somnole seulement mais ses traits se sont légèrement détendus. Et j’ai maintenant tous le plaisir de l’observer. Et à vrai dire, elle est affreusement belle. En tout cas, de mon point de vue. J’aime les femmes naturelles comme elle. Peut être est-ce pour ça que c’est elle que j’ai choisi comme souffre-douleur à la fac. Ou peut être simplement parce que ses réactions sont un purs délices. J’imagine que c’est un mélange des deux.
Je me redresse légèrement. Maintenant qu’elle dort, je pense finalement à laisser dormir. J’imagine qu’elle le mérite. Ne serait-ce que pour m’avoir autant amusé durant la soirée. Je me penche sur elle et l’embrasse sur le front. Mes yeux brillent d’une lueur sauvage.
Bonne nuit Juliette. Ne me quitte jamais.
Je me lève et l’abandonne dans la chambre où elle a perdu sa virginité. La chambre de tous ses cauchemars. De toute façon, comme je l’ai déjà dit, je n’arriverais pas à trouver le sommeil ce soir.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
Juliette sait qu'il n'est pas parti. Il l'est toujours là, à ses côtés sûrement en train de se vanter de toutes les monstruosités qu'il a fait. Adam s'est légèrement détaché d'elle, Juliette a cru qu'il allait partir mais pas vraiment, plus aucun autre mouvement. La femme respire plus doucement et semble plus apaisé, mais elle garde ces quelques traits d’inquiétude. Peut-être qu'elle se sera endormie dans ses bras, mais elle espère que le lendemain, elle sera seule.
Mlle Denarbonne se réveille doucement. Le soleil caresse délicatement son visage. Certains oiseaux gazouilles ce matin. Elle se relève en gardant le drap dans les mains. C'est toujours la même chambre. C'est bien réel. La trentenaire observe le coffre à jouet de son violeur. En tant normal, elle lui aurait volé une peluche, mais elle est encore sous le choc. Celle-ci vérifie ses draps collants et humides. Oui, tout est bien vrai. Ce n'est pas qu'un cauchemar.
Juliette analyse une nouvelle fois la chambre. Ses sous-vêtements sont déchirés, impossible de les mettre. Juliette ne pense pas les amener avec elle, cela lui ferait encore plus de mal de les voir. Elle se lève de son lit, s'habillant comme elle peut avec ses vêtements. Juliette aurait du apporter un long manteau, elle se sent tellement mal à l'aise ainsi. Juliette laisse tomber aussi ses lunettes. Elles sont tombés dans le salon et se sont brisés. Il lui suffit juste de courir attraper le sac-à-main quinapasétéprecisédanslesrpsprécédentsmaisouielleenaapportéun et la veste. Dans la miroir, Juliette regarde son visage. Il est taché par les larmes et la souffrance. Ça fait mal de voir ça, mais elle doit se rendre présentable aux yeux du monde. De son doigt, la femme essuie le mascara qui a coulé et recoiffe correctement ses cheveux. Ils sont emmêlés et gras, par malheur, elle a égaré son élastique pendant la bataille. La française doit à présent faire vite : Elle ne veut absolument pas croiser Adam Cooper et se retrouver de nouveau entre ses mains. Juliette inspire et expire profondément, avant d'observer son visage déterminé dans la glace. Partons d'ici.
La patriote sort brusquement de la chambre en se dirigeant vers la cuisine où son sac est posé, revient finalement devant la porte d'entrée attrapant au passage ses chaussures, enfile son veston et claque violemment la porte.
Une fois en bas des escaliers, Juliette respire bruyemment, on pourrait presque penser qu'elle fait de l'hyper-ventilation. Elle ne sait pas si elle l'a croisé ou non, la française se contente juste d'être enfin parti sans l'avoir vu une dernière fois. Le temps est devenue beaucoup plus beau. Il l'a fait exprès ce con, il l'est aussi responsable de ce qui s'est passé dans l'appartement. Maintenant, il l'est tant de se diriger à la Pharmacie la plus proche.
Pharmacienne : « La pilule du lendemain ? »
Juliette : « S'il vous plaît. »
La pharmacienne va chercher dans les stocks. Juliette a prit aussi cinq test de grossesse. Certaines personnes la défigure du regard mais peu importe. Qu'ils aillent se faire foutre, ce n'est pas eux qui se sont fait violer. La demoiselle revient la voir, lui expliquant les précautions qu'il faut et comment la prendre. Juliette note tout cela dans sa mémoire et paie ce qu'il faut. Heureusement que les gens ne s'occupent pas des affaires des autres malgré ces quelques yeux interloqués. Juliette la remercie et s'en va rapidement.
Juliette claque la porte et se colle à elle. Elle est enfin rentrée. Son chat se frotte à elle alors que celle-ci reste immobile. Mlle Denarbonne repense une nouvelle fois à tout cela, en détail, même si elle ne le souhaite pas. Après avoir fait un bref bilan, la française se précipite aux toilettes pour vomir tout le repas d'Adam Cooper.
***
Mlle Denarbonne se réveille doucement. Le soleil caresse délicatement son visage. Certains oiseaux gazouilles ce matin. Elle se relève en gardant le drap dans les mains. C'est toujours la même chambre. C'est bien réel. La trentenaire observe le coffre à jouet de son violeur. En tant normal, elle lui aurait volé une peluche, mais elle est encore sous le choc. Celle-ci vérifie ses draps collants et humides. Oui, tout est bien vrai. Ce n'est pas qu'un cauchemar.
Juliette analyse une nouvelle fois la chambre. Ses sous-vêtements sont déchirés, impossible de les mettre. Juliette ne pense pas les amener avec elle, cela lui ferait encore plus de mal de les voir. Elle se lève de son lit, s'habillant comme elle peut avec ses vêtements. Juliette aurait du apporter un long manteau, elle se sent tellement mal à l'aise ainsi. Juliette laisse tomber aussi ses lunettes. Elles sont tombés dans le salon et se sont brisés. Il lui suffit juste de courir attraper le sac-à-main quinapasétéprecisédanslesrpsprécédentsmaisouielleenaapportéun et la veste. Dans la miroir, Juliette regarde son visage. Il est taché par les larmes et la souffrance. Ça fait mal de voir ça, mais elle doit se rendre présentable aux yeux du monde. De son doigt, la femme essuie le mascara qui a coulé et recoiffe correctement ses cheveux. Ils sont emmêlés et gras, par malheur, elle a égaré son élastique pendant la bataille. La française doit à présent faire vite : Elle ne veut absolument pas croiser Adam Cooper et se retrouver de nouveau entre ses mains. Juliette inspire et expire profondément, avant d'observer son visage déterminé dans la glace. Partons d'ici.
La patriote sort brusquement de la chambre en se dirigeant vers la cuisine où son sac est posé, revient finalement devant la porte d'entrée attrapant au passage ses chaussures, enfile son veston et claque violemment la porte.
Une fois en bas des escaliers, Juliette respire bruyemment, on pourrait presque penser qu'elle fait de l'hyper-ventilation. Elle ne sait pas si elle l'a croisé ou non, la française se contente juste d'être enfin parti sans l'avoir vu une dernière fois. Le temps est devenue beaucoup plus beau. Il l'a fait exprès ce con, il l'est aussi responsable de ce qui s'est passé dans l'appartement. Maintenant, il l'est tant de se diriger à la Pharmacie la plus proche.
Pharmacienne : « La pilule du lendemain ? »
Juliette : « S'il vous plaît. »
La pharmacienne va chercher dans les stocks. Juliette a prit aussi cinq test de grossesse. Certaines personnes la défigure du regard mais peu importe. Qu'ils aillent se faire foutre, ce n'est pas eux qui se sont fait violer. La demoiselle revient la voir, lui expliquant les précautions qu'il faut et comment la prendre. Juliette note tout cela dans sa mémoire et paie ce qu'il faut. Heureusement que les gens ne s'occupent pas des affaires des autres malgré ces quelques yeux interloqués. Juliette la remercie et s'en va rapidement.
Juliette claque la porte et se colle à elle. Elle est enfin rentrée. Son chat se frotte à elle alors que celle-ci reste immobile. Mlle Denarbonne repense une nouvelle fois à tout cela, en détail, même si elle ne le souhaite pas. Après avoir fait un bref bilan, la française se précipite aux toilettes pour vomir tout le repas d'Adam Cooper.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Adam Cooper. »
(PV Mlle Denarbonne)
La télé est restée allumé sur Bob l’éponge le plus claire de la nuit. Maintenant que Juliette est au courant, il m’importe peu qu’elle voit que je suis en train de le regarder ou non. Quoique remarquer son violeur absorbé par un dessin animé, ça doit être franchement étrange. ...Raison de plus pour laisser la télé allumée.
Mon visionnage est interrompu par des bruits provenant de la chambre. J’observe l’heure. C’est sans doute Juliette qui se réveille. Je me lève et me dirige vers le seuil du salon. A ce que j’entends, je peux deviner qu’elle est paniquée. Ou, dans tous les cas, pressée de quitter cet endroit. Ma belle, je peux te promettre que tu reviendras ici un jour ou l’autre. Je n’ai pas fini de m’amuser avec toi.
Enfin, la porte de ma chambre s’ouvre violemment dévoilant ma magnifique Juliette, pressée et superbement terrifiée. Elle traverse le couloir sans même me voir. Sans doute est-elle fixée sur son objectif de sortir d’ici. J’hésite un moment à la retenir. Mais finalement je me convaincs de seulement la regarder faire. Dans la nuit, j’ai décidé que j’allais la laisser tranquille quelques jours pour qu’elle soit en meilleur forme quand je reviendrais jouer. J’observe donc, sans réagir, ma belle créature prendre ses affaires et partir en claquant la porte. La voilà libérée quelques instants de l’antre du diable. Mais n’espère pas que ce soit pour bien longtemps. Je reviendrais te chercher.
Je fixe plusieurs secondes la porte par laquelle est s’est échappé puis enfin reviens dans le salon. Je remarque ses lunettes brisées au sol. Je me penche pour les ramasser et les observe un moment. J’affiche un sourire léger et prend la direction de ma chambre. Arrivé à celle-ci, mes yeux se glissent sur les sous-vêtements déchirés de Juliette. De la manière, je vais les prendre. J’ai toujours eu pour objectif de rembourser ce que je cassais ou abimais. Je me demande si je devrais le faire avec les affaires de Mlle Denarbonne. J’affiche un petit sourire. Ca pourrait être amusant. J’irais donc faire réparer ses lunettes. ...Et lui racheter des sous-vêtements. Pour une fois que je suis généreux, elle devrait accepter !
Je garde ça avec moi et retourne devant Bob l’éponge avec une seule hâte : retrouver ma Juliette.
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