UNE AUDIENCE AUPRÈS DE LA REINE DU MONDE POUR... [Privé Mizu/ACELUUUUUH]

ALORS OUI ON VA ME DIRE QUE JE RACONTE MA VIE MAIS MERDE, PLEIN DE GENS FONT PAREIL ET JE SUIS LA SEULE DISCRIMINÉE. Y'en a marre, PUTAIN. J'suis dans cette académie telle une noire dans les beaux quartiers aux USA AUX UNITED STATES OF AMERICA SON OF BITCH. Oui, alors, reprenons où nous en étions "NOUS N'EN ÉTIONS NULLE PART" MAIS FERME TA GUEULE PUBLIC DE MERDE ET LAISSE-MOI DONC COMMENCER. Je disais donc, pas grand chose, du moins pour l'instant, ET OUI JE SAIS AVOIR UNE DISCUSSION AVEC SOI-MÊME C'EST PAS VRAIMENT NORMAL, cela étant dit, j'ai demandé son avis à personne alors JE PENSE, JE PENSE qu'il vaudrait mieux se contenter de ne pas donner d'avis. Sinon j'vais pas être contente et LIZZIE PAS CONTENTE C'EST DANGEREUX. Lizzie tout court c'est dangereux, tout à fait, Lizzie est un problème pour la société actuelle. Enfin, honnêtement, j'pense pas être la pire, désolée mais ici y'a DES FOUS ET DES PSYCHOPATHES, Y'A QUE ÇA, bientôt on jurerait que la normalité c'est avoir DOUZE PUTAINS DE PERSONNALITÉS DISTINCTES. OUAIS OUAIS, WAIT FOR IT WAIT FOR IT ! Stinctes. "HO OUI LIZZIE NOUS NE REGRETTONS PAS D'AVOIR ATTENDU" M'ANNONCENT EN COEUR LES VOIX DANS MA TÊTE. OUlàlà, Lizzie divague WAIT FOR IT ! ...
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VAGUE ! Oui, Lizzie divague, VAGUE. Alors, là, on se dit oui, il y a un problème, Lizzie dit tout et n'importe quoi mais finalement, ON EN EST TOUJOURS AU MÊME POINT. Très bien, très bien, j'vais raconter un truc. Racontons l'histoire de moi-même (ouais encore, en même temps j'me suis illustrée par la narration de la vie des autres PEUT-ÊTRE ? NON BORDEL DE MERDE, ALORS JE RACONTE MA VIE. Oui, ma vie donc. Alors ma vie, ma vie elle est intéressante, beaucoup même, du coup : Lizzie, disons le trente février mille neuf cent quatre-vingt quinze. NAN JE DÉCONNE (oui, car je n'étais pas née, BIEN VU UN SPECTATEUR AVERTI EN VAUT DEUX). Ok ok, reprenons à une autre date, disons le vingt mars, bah le vingt mars il s'est pas passé grand chose. À vrai dire j'm'en souviens plus bien, ça doit être l'alcool ou l'herbe ça, LA MARY JANE T'AS VU. Alors, la MARY JANE T'AS VU me fait une transition TOUTE TROUVÉE pour ce dont je voulais parler (oui je suis une stratège HORS PAIR). Donc de quoi voulais-je vous parler ? Oui, c'est la question que vous vous posez sans doute. Oui. Cela me semble logique. Oui. Tout à fait. Alors à question logique, réponse logique JE DÉCONNE. Je répondrai donc d'accord. Mais en réalité, la vérité est ailleurs (NO SHIT SHERLOCK, ON S'EN SERAIT PAS DOUTÉ PÉTASSE) JE DÉTESTE ME FAIRE INSULTER PAR UN PUTAIN DE PUBLIC À LA CON. Ouais ouais, J'AURAIS JUSTE À PAS ÉCRIRE CE QU'ON ME DIT DE DÉSAGRÉABLE MAIS JE SUIS MALIGNE MOI, JE LE SAIS DÉJÀ ! Mais alors... que peut cacher ce comportement ? :3333333333333333333333333333333333333333333333333333333333333333333333333333 ON NE SAIT PAS ! ON L'IGNORE ! ON N'EN A PAS CONNAISSANCE BORDEL DE MERDE ET OUI ÇA FAIT BEAUCOUP DE TROIS. Alors, là, on se dit "merde, elle dit n'importe quoi depuis des heures et elle nous fait perdre notre temps", alors, oui, ça semble même être un motif pour me casser les couilles PARCE QUE VOUS EN PRENEZ LA LIBERTÉ. La liberté, belle transition pour parler de... Mince alors, fichtre, diantre, j'avais déjà une transition mais de FIL EN AIGUILLE, j'en ai cherchée une autre. C'est dommage. Vraiment dommage. Reprenons : la Mary Jane. C'est pas bien la Mary Jane, c'est pas bien du tout, c'est pour ça que LE SOIR DONT JE VAIS VOUS PARLER (mon dieu, début de l'histoire IN COMING PUTAIN D'MERDE, ÇA FAIT SEULEMENT DIX MINUTES) je n'étais pas sous l'emprise de cette drogue. Non, aucunement, je ne sais même pas ce que c'est, ça m'est parfaitement inconnu, je ne suis même pas sûre de son existence (TOUT COMME JE NE SUIS PAS SÛRE DE CELLE DU CERVEAU DE LOYS, ET BIM, BANG BANG LA PUNCHLINE), et Loys est une transition toute trouvée pour parler d'une association que je trouve importante : handicap international NAN JE DÉCONNE C'EST PAS TRÈS GENTIL POUR LOYS. En vrai je m'en fous, c'est juste que des fois y'a des choses dont il vaut mieux éviter de parler. Surtout qu'en l'occurrence c'est pas très pertinent. Enfin, si, parler de handicap quand on parle de Loys c'est même basique, ÉLÉMENTAIRE MON CHER WATSON (ouais, Sherlock, Watson et tout, la fine équipe au complet, waow comme c'est beau). Du coup j'en étais où ? Ha oui, je devais passer une ligne pour rendre le tout plus lisible... Hé ben vous savez quoi, ça va vous étonner mais je vais pas le faire. Je vais raconter ma vie dans un putain de gros BLOC, UN PAVÉ SA MÈRE. Alors, intégrons à ce pavé mon récit : que faisais-je, seule dans la nuit ? Waow, bah j'vais pas l'expliquer ça. Nan, j'ai pas envie, et puis de toute façon TOUT LE MONDE S'Y ATTENDAIT, J'DIS JAMAIS CE QUE JE FAIS LÀ OÙ JE SUIS, mais pourquoi ? Car l'important, bordel de merde, c'est de vivre le moment. Bon, le moment, LEDIT MOMENT, disons-le, ouais ouais, j'étais dans les jardins, m'adonnant à une activité que j'avais déjà pratiqué par le passé, c'est-à-dire gueuler que je suis la reine du monde d'un point sur-élevé des jardins de l'académie. Ouais, j'ai que ça à foutre, comme écrire des lignes pour rien dire et laisser trois lignes de concrets. Parce que ouais, j'm'arrête vraiment à trois ligne de concret, FIN DU PAVÉ !

rqegvq:

WEEEE ARE THE WAARIOOORS THAT BUIILT THIIS TOOOOOWN!!
J'étais donc en train d'écouter ma musique tranquillement, me baladant dans les coins sombres et reculés de l'académie (les jardins!).
Et là, soudainement, contre toute attente, me prenant par le plus grand des désarrois, j'entendis une voix tellement aigüe et insupportable qu'elle pouvait atteindre mes oreilles malgré les 100 décibels projetés à toute VIOLEEENCE vitesse tout droit dans mes oreilles.
L'adrénaline du moment prends le dessus sur moi, désolée. Non pas du tout en fait.

Je retira donc mon casque pour localiser la brèche vers les enfers source du bruit. Pas difficile, vu son intensité. Je veux pas être rabat-joie mais si ça gueule comme ça, on va se faire griller par les profs. Ce serait con pour mon premier grillage de couvre-feu, mais au pire je me cache derrière la grille... Non, il n'y a pas de grille, je disais juste ça pour la répétition.
Je vis finalement une fille, Rubis sans l'ombre d'un doute, qui s'amusait à dire qu'elle était la reine du monde. Un monde fou, comme sa reine, donc. Elle avait visiblement dépassé l'âge pour ces conneries, mais après tout c'est une Rubis, rappelez-vous.
Je m'approcha et, fatiguée à la fois de ma journée et des Rubis en général, oublia mon sang-froid et ma politesse légendaire pour gueuler encore plus fort qu'elle:

- TA GUEUUUULE! Amicalement.

Ouais, amicalement, parce que j'aime pas me faire d'ennemis. Et puis, c'était probablement la seule manière d'engager la conversation.
Je m'approcha encore un peu d'elle, sortant de l'ombre des arbres pour laisser la lumière de la lune éclairer ma douce silhouette et la couleur resplendissante de mes divins cheveux.

Mizu nocturne:

"Ta gueule" "Ta gueule" Franchement, JURÉ WALLAH T'AS DES GENS QUI S'PRENNENT POUR J'SAIS PAS QUI. SALOPE DE TES MORTS MIZU J'TE BAISE, JAMAIS TU M'CAUSES MAL COMME AÇ, par d'ssus l'chémar Mizu t'es une vieille SAPHIR. SAPHIR BORDEL DE MERDE, TU T'PRENDS PAS POUR J'SAIS PAS QUI QUAND T'AS L'ÉTIQUETTE "VICTIME" SUR TA GUEULE. Bref, il me fallait quelque chose pour lui répondre, quelque chose de brutal, de sincère, de rude, de dur, d'inattendu, de sauvage, de bref, de rapide, de puissant ET LÀ J'AI EU L'IDÉE, quelle idée ? Là est tout le mystère, laissez-moi tout vous raconter depuis le début. Au début, il n'y avait rien (oui oui, on note la phrase toute faite et en plus déjà citée par moi-même, mince, j'en ai presque quelque chose à foutre). Alors là LE MONDE NE PEUT S'EMPÊCHER DE SE DEMANDER CE QUE JE LUI AI RÉPONDU, oui, je le comprends. Je lui ai répondu très précisément "MNACORDE CAPITALIST", enfin, c'est difficile de traduire fidèlement la phonétique d'un mot dans un autre alphabet que celui où il a été conçu, certes, j'admets, seulement dans la vie, il faut faire des choix, comme ta mère quand elle a fait le choix de te garder, choix qui, bien sûr, était le mauvais des deux. Enfin, en admettant qu'il n'y en aurait eu que deux ET OUI ON NOTE À NOUVEAU LA PUNCLINE DÉJÀ SORTIE. Peut-on parler de punchline ici ? Oui, non, peut-être, moi je pense surtout une chose : C'EST RELATIF. Owi Mizu tu es très relative. Bref, amicalement sinon HEIN COMME ON DIT, POUFIASSE. Wow, on m'a dit de faire du concret, alors c'est ce que je fais, DU MOINS J'ESSAIE. Et finalement, je pense que c'est le plus important. Alors que rajouter, oui, faisons une liste :
-Je lui ai crié "MNACORDE CAPITALIST", même si le mot ne se prononce pas vraiment comme je l'ai écrit.
-J'ai sauté de mon squat pour rejoindre la plèbe, en l'occurrence la plébéienne.
-J'ai tenté de lui sauter au cou.
POURQUOI "TENTÉ" ME DIREZ-VOUS ? Parce que peut-être qu'elle m'a repoussée, peut-être que non, on ne sait pas, on l'ignore entièrement. Ce que l'on ignore pas, c'est que je lui ai susurré des doux mots à l'oreille comme "Mizu, tu m'as tant manquée..." ET LÀ, LÀ on se demande comment je connais son nom. Bah j'ai un pouvoir, BIM, RÉVÉLATION MON GARS J'SUIS PLUS BALÈZE QUE TOUS LES X-MEN MAMEN (C'ÉTAIT POUR LA RÉPÉTITION BORDEL DE MERDE !) Huhu reprenons. Ho, où en étais-je ? HA OUAIS J'EN AI FINI. Du moins... pour l'instant.

- MNACORDE CAPITALIST!

Pas la peine de me demander, non je ne sais pas pourquoi elle dit ça, et non je ne sais pas ce que ça veut dire.
Elle sauta ensuite de son squat. J'eus juste de temps de mettre un pied en arrière pour ne pas tomber qu'elle était pendue à mon cou et me chuchotait:

- Mizu, tu m'as tant manquée...

Uh?Wait...
Non, je suis sûre de le l'avoir jamais vue. Serait-ce une amie d'un ami? Peut-être Daft... Peut-être qu'elle a entendu quelqu'un m'appeler une fois... Peut être qu'elle a lu mon prénom quelque part... Pas de panique, elle veut juste me tourmenter.
Essayant de garder le même ton neutre que pour mon "amicalement", je lui tint à peu près ce langage:

- Maître corbeau, On se connait?


Je pourrai déterminer ses intentions en fonction de sa réponse. Je la laisse pendre à mon cou, un câlin ça ne fait de mal à personne. Et puisqu'elle n'a pas l'air de savoir, je lui passe l'information:

- Le couvre-feu est passé, si tu crie comme ça tu vas attirer des profs. Ils sont peut-être même déjà avertis, perso je vais me cacher.

Enfin, si elle daigne me lâcher. Sinon, je serai obligé de retirer l'étreinte moi-même. Et j'ai la flemme. Oui, ma flemme est grande. Je traine mon regard un peu partout autour de nous pour vérifier qu'aucun prof n'approche, et repère les cachettes proches. il y en a beaucoup, dans les jardins. On pourrait jouer à chat. J'avais presque envie de le proposer à la demoiselle qui se balançait à mon cou. Et puis, qu'est-ce qu'elle fout là, au juste? Non, pas à mon cou, je veux dire dans les jardins.

Mdr ça y est ça commence à faire sa victime PUTAIN DE SAPHIR DE MES DEUX, PUTAIN DE SAPHIR DE MES DEUX. Bref, alors, ADMETTONS que nous soyons dans une situation où un prof pourrait arriver, que pourrait-il nous arriver ? MIZU, TOI ET MOI ON RÈGNE SUR LE MONDE, QUE PEUT-IL NOUS ARRIVER DE PIRE ? De mieux ? Au pire la précision c'est facultatif (et relatif, BITCH), la preuve en est que WAOW, j'ai dit "on" alors que MOI et MOI SEULE gouverne le monde. Enfin, je le mériterais au moins MAIS, car OUI, il y a un "MAIS" putain, ça serait sans doute très pénible. J'préfère ma petite vie posée oklm comme on dit. BREF, revenons-en à Mizu parce que sinon ASKIP J'DIS RIEN DE CONCRET. HA OUAIS MOI J'DIS RIEN DE CONCRET OUAIS OUAIS D'ACCORD. Alors Mizu, que dire, que dire que faire ? Je ne le sais pas. Elle voulait se cacher. Bordel de merde ELLE VOULAIT SE CACHER. Mais mon dieu, c'est nul. C'est très nul. C'est très SAPHIR, OUPS BLAGUE SURFAITE. Putain. En même temps insulter les saphirs c'est presque devenu UNE PUTAIN DE CONVENTION ici, alors, hein, on va pas me jeter la pierre parce que je le fais. Putain.
Alors HO MON DIEU EST-CE QUE JE VIENS DE PASSER UNE LIGNE ? Ho, il semblerait que oui oui oui. Alors j'ai passé une ligne, mon dieu, c'est donc ça... LA ACH QUINTESSENCE DE L'ÉCRITURE ! Bon, bon, revenons-en AU CONCRET. Le concret oui. Alors, qu'en était-il de MIZU ME DEMANDEREZ VOUS ! Hé bien la question se pose, oui, la question peut LÉGITIMEMENT être posée. Alors je vais en donner la réponse : peut-être. En vérité, c'est pas DU TOUT mon genre de donner la réponse comme ça. Du coup j'vais faire patienter un peu le monde. Oui. Oui. Alors, j'vais raconter un truc... Mais je ne sais pas quoi, là est tout le PUTAIN de problème me direz-vous. Aussi j'attendrais de vous une autre question, "PUTAIN POURQUOI TU DIS EN PERMANENCE DES GROSSIÈRETÉS SALE PUTE ?" et bien que la question soit légitime, je ne vais pas y répondre. (pck g pa envi) ALORS où en étais-je ? Ben je sais plus, figurez-vous : JE NE SAIS PLUS. Alors j'imagine que c'est une raison suffisante pour retourner à MIZUUUUUUUUUUUUUU. Oui, Mizu. Alors, Mizu, elle a à peine peur MAIS t'sais quoi, oké, j'la lâche, oké, tout ça, on va se cacher, très bien, j'suis sûre qu'AUCUN adulte passera ici (et quand bien même ON LUI PÈTE LES G'NOUX. OUAIS OUAIS, FAIS PAS L'MALIN AVEC MOI. Donc, oui, Mizu et moi nous nous cachâmes naguère sa mère. Alors, où nous étions cachées ÇA C'EST LA QUESTION, question sans réponse ça va de soi (allez vous faire foutre si vous voulez une réponse, JE LA DONNERAI PAS. JAMAIS.) "Cachons-nous donc !" furent mes derniers mots avant qu'elle et moi-même NE DISPARAISSIONS dans les ténèbres (waow trop d4rk). Tout ce que je lui ai dit ensuite, faisant fi d'un éventuel prof ici, était : "Mizu, ne te souviens-tu vraiment pas de moi ? J'ai pourtant erré dans ces couloirs tant d'heures, n'espérant qu'un sourire, QU'UN REGARD émanent de toi... Mais toi, toi, Mizu, as-tu tout oublié ? Non, je ne peux le croire, ton cœur a battu naguère, il a oublié sa leçon, mais nous revoilà, réunies, toi et moi... Pourrais-tu seulement imaginer attribuer ces retrouvailles au hasard ?" FIN, BIM !

"Cachons-nous donc !"

...Sont les derniers mots qu je pus entendre avant qu'elle prenne elle-même l'initiative de partir nous cacher. Je la suivis, jusqu'à ce qu'on soit à l'abri des regards derrière un gros buisson taillé. Elle reprit aussitôt la parole pourme chuchoter:

"Mizu, ne te souviens-tu vraiment pas de moi ? J'ai pourtant erré dans ces couloirs tant d'heures, n'espérant qu'un sourire, QU'UN REGARD émanent de toi... Mais toi, toi, Mizu, as-tu tout oublié ? Non, je ne peux le croire, ton cœur a battu naguère, il a oublié sa leçon, mais nous revoilà, réunies, toi et moi... Pourrais-tu seulement imaginer attribuer ces retrouvailles au hasard ?"

A quoi joue-t-elle? Suis-je sensée me souvenir d'elle? Elle avait simplement l'air folle, et peut-être que je devais m'arrêter à ça. OH! (une ampoule s'allume par dessus la tête de Mizu) Moi, grande actrice que je suis, n'ai peut-être rien de mieux à faire que de jouer le rôle? Ce sera encore plus amusant que de jouer à chat!
Je lui répondis sans plus attendre, dévoilant un sourire presque flippant:

- Mais bien sûr. Comment ais-je pu oublier la fille qui me hante depuis si longtemps... Quel hasard, n'est-ce pas?
Et maintenant, que désires-tu faire?

Je me sens toute... Spéciale? C'est le mot. Le mot pour dire qu'il n'y a pas de mot. Je me sens bien avec elle... Non, pas bien, spéciale. Mais je l'aime bien. Parce qu'elle est spéciale. Comme moi... Comment vais-je l'appeler? Mes amis doivent avoir un nom.

- Quel est ton nom?

Je lui soutires des informations!
Non, je dois être sympa avec mes amies.
Quand commençons-nous l'agitation?
Sans avoir de but, nous n'aurions pas été réunies.
Maintenant j'ai besoin de ton approbation,
Alors dis moi ton nom, sois gentille!

Spoiler: