De quel côté ? [PV Jane]

Enfin, les cours sont finis, cette journée a été éprouvante, je suis vannée. En pensant ces mots (en les pensant même un peut trop fort, car quelques camarades de classes se sont retournée dans ma direction), je sortie de la salle de classe, en mettant mes écouteurs et en écoutant de la musique (le meilleur remède après une telle journée).
Avant de rentrer dans mon dortoir, je devais passer par les toilettes du rez de chausser, j'avais oublier mon pull en y allant ce midi. J’éspèrais qu'il y été encore, et pas couvert d'urine et d'autre substance étrange, de préférence. Je descendis les marches et arriva enfin dans le hall de l'académie "Là où tout commence" pensai-je. Je me dirigea vers les toilettes, j'étais complètement ailleurs, la tête dans les étoiles, mon cerveau avais besoin de repos, et il le montrais bien.
Cependant, avant de pouvoir atteindre ma destination, quelque chose me barra la route, une tête, provenant de nulle par, vient se coller tout prêt de moi. Mon cerveau, qui était dans les vapes n'a pas aimé ce choc émotionnel et je me fit sursauté à un point où je perdis l'équilibre, ma tête venant se claquer contre un coin d’escalier. Je n'avais même pas entendu ce que cette personne me voulait mais je m'en foutais, clairement. J'essaya de me relever, avec difficulté. Ma tête me tourné, mais je ne voulais pas allez à l'infirmerie, c'est gens me font flipper. Je posa ma main à l'endroit où ma tête avait cogner, aucun saignement mais je sentis une bosse se former sous mes doigts. Comme disais ma grand-mère "Si la bosse sort, c'est que tout vas bien", alors je ne me fit aucun soucis, je voulais juste un lit et dormir, mon lit.
Une fois mes esprits retrouver, enfin presque, je regarda la personne qui à causer autant de grabuge: une jeune fille, qui semblait perdu, mince, elle à dût être choquer, elle semble nouvelle!
Je lui souris (avec mon sourire habituellement glauque) et lui demanda, en titubant un peut

  ""Plait-il ma belle?"

Je continuais de fixer la fille qui m'avais interpellé, bizarrement elle semblait aussi désorienté que moi, pourtant elle n'avais reçu aucun escalier elle! Du moins je crois...
Elle sortie une phrase incompréhensible, j’hésite entre rejeté la faute sur mon cerveau, encore endormis, ou sur les escaliers qui m'ont donnée la nausée.
Ne comprenant pas ces mots, j'avança ma tête pour la mettre à quelque centimètre de la sienne, la bouche entre-ouverte, en ayant l'air (involontairement) d'une zombie.
La jeune fille, au cheveux violacé (tient comme les miens, c'est un signe) était gênée de ma présence et entama un rire nerveux. Elle respira, tellement fort que je sentis son haleine parcourir mes narines.
Elle reprit: 

 
" Excuse-moi pour tout. Je voulais pas te faire peur. C'est un grand stress pour moi d'arriver dans un endroit qui m'est totalement inconnu et je suis désorientée. J'aurais besoin d'aide pour trouver mon dortoir."

Oh, une nouvelle. J'aurai dût m'en douter, tous les nouveaux arrivant font sont comme ça au départ, c'est vrai qu'ils ont été radin sur les indication ici. J'ai vue qu'elle avais un trousseau de clefs gigantesque avec une décoration "TSUKI Concierge". J'en revient pas, le concierge de l'académie à encore cru que c'était une nouvelle femme de ménage! Il fait ça à presque tout les nouvelles arrivantes! Je comprend pourquoi elle est encore plus embrouillé.
Pour lui faire comprendre l'erreur de cet idiot, je lui vole les clefs des mains et les jeta sur le sol, en continuant de la regarder dans les yeux. Cet action fit retourner plusieurs étudiants vers nous, ce qui semblait la rendre encore plus nerveuse.

"Déjà, crois moi, ça tu n'en a pas besoin. Il te faut qu'une seul clef, et tu es censé l'avoir. J’espère que tu as gardé la lettre de l'académie, la clef de ta chambre doit se trouver au fond de l’enveloppe. Vérifie si tu l'as toujours et un petit plastique avec une étiquette est censé être accroché avec, il indique dans quel dortoir tu es assigné  (ou chambre seule). Vérifie si tu as tout, je t’emmènerai au dortoir après".