Comme un sentiment de Mal être.. [PV Muro]
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Comme un sentiment de Mal être.. [PV Muro]
Comme un sentiment de Mal être..
Un nouveau réveille triste, toujours aussi seul et incompris.. Le temps n’arrangeait encore moins les choses, un temps aussi merdique que la vie d'un bouddhiste. Il faisait lourd, humide, un ciel sombre et nuageux, le tout accompagné de petite pluie chaude et de forte température.. Le voilà réveiller, levé du pied gauche une nouvelle fois. Il se dirigeât vers la fenêtre en premier lieu pour y fumé sa première clope de la journée, il ouvra donc la fenêtre avec un peu de flemme puis pencha sa tête vers l’extérieur pour y porter un jugement sur le temps d'aujourd'hui.
«Bordel, mais qu'elle temps de merde..»
Toujours la tête plonger vers l’extérieur il essaya d'attrape son paquet qui se trouvait sur la commode tout près de la fenêtre, il eu tout de même un peu de mal mais finit par l'attraper au bout de quelque seconde. En ouvrant celui ci il se rendu compte qu'il ne lui restait plus qu'une seule cigarette, vous savez la toute dernière un peu tordu et froissé que personne n'a envie de fumé. Et voilà encore un nouveau signe, encore une journée de merde en perspective.. On senti la flemme l'envahir quand il se rendit compte qu'il aller devoir aller au tabac se fournir en clope.
Posté a sa fenêtre, cigarette a la bouche il se mit a scruter l'horizon. Le ciel puis les bâtiments en face de lui pour enfin s’intéressé a la cour bondé de monde comme toujours, un petit groupe capta son intention tout de même. Deux pauvre gars étaient entrain de se chamailler, pourquoi? Une fille surement, il se mit a rire au éclat tout seul a sa fenêtre en les regardants se foutre sur la gueule. Oh un surveillant intervint enfin, finalement il n'intervint pas si longtemps que ça un des élèves l'envoya valse d'un simple coup de poing. Et voilà qu'ils se remirent à se battre, qu'elle bande de loosers pensât-il tout haut
Lassé de les regardé se battre pour un rien, il décidât de se rentrer. Il regarda son réveil en s'asseyant sur son lit, il affichait 10h40.. Encore 15 min de répit, il s'écroula alors dans son grand lit et se mit a rêvasser de son ancienne vie de bohème et de ses chère parent. Il repensa a sa mère quand elle lui préparait son repas préféré tout les vendredis soirs quand il rentrait de l'entrainement de foot, la bonne vieille pizzolo de maman. Pizzolo pas pizza, c'est une espèce de pizza fourrée, bien copieuse qui peut être salée ou sucrée. On entendit son ventre gargouiller tellement il en raffolé de ce petit plat, elle lui manquait terriblement.. Son père aussi lui manquait énormément, se grand monsieur dont il a toujours été fasciné depuis qu'il était tout petit, son père ce héros qui c'est battu pour offrir une vie de rêve a son fils et a sa femme..
Tss, j'ai envie d'me barrer d'ici..
Que lui arrivait-il? Ce sentiment de solitude était entrain de le détruire, aucun amis et aucune fille en ligne de mire ou alors elle n'en valait pas assez la peine. Que faire pour se sortir de ce cercle vicieux? Partir, mais ou? Il réfléchi un long moment sur sa destination puis se leva brusquement pour se diriger vers la salle de bain se préparer. Il marmonnait quelque truc pendant qu'il se brossait les dents, pourquoi pas squatter le quartier riche alors histoire de se changer les idées. En sortant de la il attrapa sa valise mit quelque vêtement dedans et s'en alla. Il jeta un dernier coup d’œil vers son réveil, 11h30 et s'en alla le sourire au lèvre en claquant la porte sa valise en main..
Le voilà arriver dans le hall, tout les regards se posait sur lui.. On sentait l’incompréhension dans le regard des autres, pourquoi avait il une valise en main? Encore une fois personne ne l'interpella, il continua son chemin pour enfin arriver devant la grande porte. Il soupira un court moment, posa sa main sur la poignet puis tira la porte vers lui pour s'en aller loin de cette maudite école.. En franchissant celle ci il entendit une voix féminine derrière lui, une personne derrière lui semblait l'interpellé avant son départ et d'une façon plus qu'original d'ailleurs, elle était sur quand l’appelant de la sorte elle attirait immédiatement son intention.. Qui sa pouvait bien être, personne ne souciait de lui jusqu’à présent alors pourquoi maintenant?
«Toi là-bas ! Ouais toi, le roux, là !»
Il s’arrêta net en entendant cela, lui un roux? Jamais, il y a une différence entre les deux tout de même.. Il se retourna avec un aire assez agacer et avait bien l'intention de répondre a une tel insulte. En apercevant la personne qui se trouvait derrière lui, il marqua tout de même un petit temps d’arrêt. Cette personne lui était inconnue et il avait bien l'intention de déferlé sur elle toute la misère du monde qu'il portait..
«Qu'est que tu me veux toi encore?»
Dernière édition par Myo le Jeu 09 Juil 2015, 12:00, édité 1 fois
Re: Comme un sentiment de Mal être.. [PV Muro]
La douce odeur de bitume humide commençait à lui monter au nez. Levant la tête vers le ciel comme s'il voulait s'assurer que la pluie venait bien des nuages, Muro ferma les yeux en souriant d'extase. Les gouttelettes s'échouaient régulièrement sur la matière en laissant échapper un son plus ou moins aigu selon qu'elle finissaient leur course sur le goudron, sur le visage du jeune homme, sur le sol fleuri du parc du coin de la rue ou sur les rampes de fer du bord du trottoir. Il s'amusa un instant à penser que certains musiciens devraient prendre exemple sur le sens de la musicalité propre aux gouttes d'eau, histoire de leur emprunter quelques arpèges et un ou deux accords pour pallier leur manque de talent.
Il avait passé une nuit complètement folle. La veille, après avoir compris au nombre de mouchoirs usagés de son voisin de lit que ses ronflements l'empêcheraient de tomber dans le sommeil, il s'était finalement faufilé hors de l'Académie avant que le portail ne ferme pour la nuit. Il avait pu attraper un bus nocturne pour rejoindre la ville et s'était rendu dans son bar préféré où Kyo, le gérant, lui avait servi son éternel verre de whisky coca. Il avait bien bu et s'était bien amusé avec une belle blonde à fossettes dont il avait oublié le nom mais dont il aurait pu redessiner la courbe des fesses les yeux fermés. Il avait eu l'honneur de finir la nuit dans son lit et s'était échappé à l'aube en lui laissant un petit mot tel le gentleman qu'il était - ne sait-on jamais s'ils se recroiseraient, autant finir en beauté! Il avait alors erré en profitant de cette douceur silencieuse propre au lever du soleil - on entend ici la métaphore, le ciel est on ne peut plus couvert -, moment qu'il affectionnait particulièrement pour laisser vagabonder ses pensées.
Bras étendus, il attendait alors le bus sous la pluie. Sa chemise blanche trempée lui collait au torse en en dessinant parfaitement les lignes. Il n'avait pourtant pas froid, l'eau ruisselante était d'une tiédeur étonnante. Alors que la ville commençait à reprendre vie, il s'embarqua vers l'Académie avec ce même sourire éclairant sans cesse son visage. On pouvait dire qu'il baignait dans une sérénité sans faille.
Comme un sentiment de bien-être
En arrivant à quelques dizaines de mètres de l'Académie, alors que la pluie semblait se calmer, il fut surpris par une tête rouquine qui s'engouffrait brutalement en direction opposée. L'étudiant n'eut pas le temps d'apercevoir Muro qu'il fit volte-face pour s'adresser à une voix qui le poursuivait. Le jeune homme secoua la tête pour impulser aux gouttelettes de sagement prendre un tour gratuit de toboggan sur ses mèches folles. Il n'arrivait pas à mettre un nom sur ce visage bien qu'il était persuadé de l'avoir déjà vu quelque part. S'étaient-ils entraînés ensemble? Peut-être avait-il pris la dernière part de tarte aux pommes un midi? Il espérait au moins qu’il n’était pas dans la même classe, question de respect.
Il s’approcha, trop ravi de prendre part aux discussions un peu électriques. A la distance à laquelle il était, aucun étudiant censé n’aurait pu distinguer le moindre mot de l’échange. Mais avec sa capacité auditive, c’était pour lui un jeu d’enfant. Commère qu’il était… Une odeur de tabac froid lui titilla les narines. Un dernier regard vers le rouquin qui devait faire quasiment sa taille. Qu’il était con. Maison Rubis, chambre au bout du couloir. Un type assez calme dont il avait déjà senti l’aura charismatique assez propre aux membres de leur Maison.
« Voyons mon ami, ce n’est pas le ton qu’on emploie quand on s’adresse aux jeunes filles. », dit-il avec un sourire en lui tapotant l’épaule. Apercevant la valise qui pendouillait au bras du rouquin, il fronça les sourcils et continua sur un air légèrement plus froid. « Attends ne me dis pas que tu lui as piqué sa valise. Il y avait plus subtil si tu voulais partir en vacances avec elle… Tu lui assures que tu as des relations pour faire le tour de l’Europe avec son groupe de rock préféré ou tu lui promets une promenade dans ta décapotable mais le coup de la valise c’est pas très clean. »
Il leva la tête quand la propriétaire de la voix féminine fut dans sa ligne de mire, ouvrit la bouche pour lancer ses plus plates excuses, la referma aussitôt version poisson hors de l’eau qui tente de respirer. Soit son comparse aimait les femmes plus mûres qui partent au quart de tour, soit ils avaient un sérieux problème. Les professeurs étaient toute suite moins faciles à gérer que les étudiantes.
« Madame vous me prenez au dépourvu. », laissa-t-il sortir en remettant ce qu’il restait de sa chemise en place. « J’ai passé un coup de fil à mon ami ici présent pour qu’il me ramène les affaires propres que j’avais laissées dans ma valise, vous savez je trouve ça plus simple de laisser dedans plutôt que ranger, ressortir, ranger, ressortir, vous comprenez là où je veux en venir ? » Noyer le poisson quand on a fait le mur, tel était sa devise. « Mais il a dû se tromper. Eh oui. Errare mutanum est, hein ? Haha, je veux dire l’erreur est mutanesque au même titre qu’on dirait l’erreur est humaine, n’est-ce pas ? » Il fit un clin d’œil et s’arrêta brusquement en pointant du doigt sa propre oreille droite « Au passage, ces boucles d’oreille vous vont à ravir, n’est-ce pas… Marl ? » Lança-t-il après hésitation en regardant le jeune rouquin. « On l’appelle Marl parce qu’il aime bien les Marlboro. » Précisa-t-il, « Ou parce qu’il les déteste, je sais même plus, ça a pas trop d’importance ! »
Il avait passé une nuit complètement folle. La veille, après avoir compris au nombre de mouchoirs usagés de son voisin de lit que ses ronflements l'empêcheraient de tomber dans le sommeil, il s'était finalement faufilé hors de l'Académie avant que le portail ne ferme pour la nuit. Il avait pu attraper un bus nocturne pour rejoindre la ville et s'était rendu dans son bar préféré où Kyo, le gérant, lui avait servi son éternel verre de whisky coca. Il avait bien bu et s'était bien amusé avec une belle blonde à fossettes dont il avait oublié le nom mais dont il aurait pu redessiner la courbe des fesses les yeux fermés. Il avait eu l'honneur de finir la nuit dans son lit et s'était échappé à l'aube en lui laissant un petit mot tel le gentleman qu'il était - ne sait-on jamais s'ils se recroiseraient, autant finir en beauté! Il avait alors erré en profitant de cette douceur silencieuse propre au lever du soleil - on entend ici la métaphore, le ciel est on ne peut plus couvert -, moment qu'il affectionnait particulièrement pour laisser vagabonder ses pensées.
Bras étendus, il attendait alors le bus sous la pluie. Sa chemise blanche trempée lui collait au torse en en dessinant parfaitement les lignes. Il n'avait pourtant pas froid, l'eau ruisselante était d'une tiédeur étonnante. Alors que la ville commençait à reprendre vie, il s'embarqua vers l'Académie avec ce même sourire éclairant sans cesse son visage. On pouvait dire qu'il baignait dans une sérénité sans faille.
Comme un sentiment de bien-être
En arrivant à quelques dizaines de mètres de l'Académie, alors que la pluie semblait se calmer, il fut surpris par une tête rouquine qui s'engouffrait brutalement en direction opposée. L'étudiant n'eut pas le temps d'apercevoir Muro qu'il fit volte-face pour s'adresser à une voix qui le poursuivait. Le jeune homme secoua la tête pour impulser aux gouttelettes de sagement prendre un tour gratuit de toboggan sur ses mèches folles. Il n'arrivait pas à mettre un nom sur ce visage bien qu'il était persuadé de l'avoir déjà vu quelque part. S'étaient-ils entraînés ensemble? Peut-être avait-il pris la dernière part de tarte aux pommes un midi? Il espérait au moins qu’il n’était pas dans la même classe, question de respect.
Il s’approcha, trop ravi de prendre part aux discussions un peu électriques. A la distance à laquelle il était, aucun étudiant censé n’aurait pu distinguer le moindre mot de l’échange. Mais avec sa capacité auditive, c’était pour lui un jeu d’enfant. Commère qu’il était… Une odeur de tabac froid lui titilla les narines. Un dernier regard vers le rouquin qui devait faire quasiment sa taille. Qu’il était con. Maison Rubis, chambre au bout du couloir. Un type assez calme dont il avait déjà senti l’aura charismatique assez propre aux membres de leur Maison.
« Voyons mon ami, ce n’est pas le ton qu’on emploie quand on s’adresse aux jeunes filles. », dit-il avec un sourire en lui tapotant l’épaule. Apercevant la valise qui pendouillait au bras du rouquin, il fronça les sourcils et continua sur un air légèrement plus froid. « Attends ne me dis pas que tu lui as piqué sa valise. Il y avait plus subtil si tu voulais partir en vacances avec elle… Tu lui assures que tu as des relations pour faire le tour de l’Europe avec son groupe de rock préféré ou tu lui promets une promenade dans ta décapotable mais le coup de la valise c’est pas très clean. »
Il leva la tête quand la propriétaire de la voix féminine fut dans sa ligne de mire, ouvrit la bouche pour lancer ses plus plates excuses, la referma aussitôt version poisson hors de l’eau qui tente de respirer. Soit son comparse aimait les femmes plus mûres qui partent au quart de tour, soit ils avaient un sérieux problème. Les professeurs étaient toute suite moins faciles à gérer que les étudiantes.
« Madame vous me prenez au dépourvu. », laissa-t-il sortir en remettant ce qu’il restait de sa chemise en place. « J’ai passé un coup de fil à mon ami ici présent pour qu’il me ramène les affaires propres que j’avais laissées dans ma valise, vous savez je trouve ça plus simple de laisser dedans plutôt que ranger, ressortir, ranger, ressortir, vous comprenez là où je veux en venir ? » Noyer le poisson quand on a fait le mur, tel était sa devise. « Mais il a dû se tromper. Eh oui. Errare mutanum est, hein ? Haha, je veux dire l’erreur est mutanesque au même titre qu’on dirait l’erreur est humaine, n’est-ce pas ? » Il fit un clin d’œil et s’arrêta brusquement en pointant du doigt sa propre oreille droite « Au passage, ces boucles d’oreille vous vont à ravir, n’est-ce pas… Marl ? » Lança-t-il après hésitation en regardant le jeune rouquin. « On l’appelle Marl parce qu’il aime bien les Marlboro. » Précisa-t-il, « Ou parce qu’il les déteste, je sais même plus, ça a pas trop d’importance ! »
Re: Comme un sentiment de Mal être.. [PV Muro]
A peine avait-il répondu, qu'un autre jeune homme les interpella en lui tapotant l'épaule droite. Il était tout trempé, comme ci il avait passer la nuit dehors sous la pluie, quel genre de gars préférait passer la nuit dehors dans le froid plutôt que de rester dormir dans son lit douiller? Il avait surement une bonne raison de faire cela.. Il était la a faire le beau devant l'autre fille, a secouer sa tête dans tout les sens pour essayer de sécher ses si beau cheveux noir. Sur le coup il l'envia un peu, lui qu'a toujours rêvé d'avoir une couleur de cheveux normal.. Qui lui éviterait se genre de surnom débile comme le rouquin ou encore comme dans cette situation de se faire interpellé directement sur sa couleur de cheveux.. Il avait les cheveux rouge, rouge comme le sang pas orange, orange citrouille bordel!
Alors il se retourna vers lui, lui faisant face. Il le scruta de haut en bas, histoire de se faire une idée sur quel genre de personne pourrait-il être.. Un beau jeune homme, a peut près sa taille avec une certaine confiance en lui. Le genre de gars comme Myo, sur de lui et plutôt frimeur vu les remarques qu'il a fait en interpellant. La même carrure que Myo, il était fin et semblait avoir une simple musculature naturelle. Des yeux bleues, très beau d'ailleurs qui semblait avoir capté toute l'intention de la jeune fille derrière lui. Myo avait complètement oublié la fille qui venait d'interpeller plus tôt, il semblait beaucoup intrigué par le jeune homme en face de lui.
Il jeta sa main derrière lui faisant signe a la jeune fille derrière lui de s'en aller histoire de lui faire comprendre qu'elle devait laisser les grands parler entre eux, comme ci elle n’existait plus pour lui. Il jeta tout de même un dernier coup d’œil vers elle avec un air assez méprisant, pour qu'elle comprenne vraiment qu'il n'avait pas que sa a faire de perdre son temps a s'attarder sur ces conneries. Il se retourna vers l'autre garçon pour finir de se faire une petite image de lui, il avait tout de même eu le cran de lui répondre de cette manière. Alors que tout les autres s'abaissaient devant lui, lui-lui là, lui tenait tête et avait bien l'intention de chercher la confrontation..
«Tu te prend pour qui toi?» lui dit-il tout de même d'un air assez sérieux. «Respect un peu les anciens, gamin»
Malgré cette réaction un peu abusé, dans sa tête c'était la grande joie tout d'un coup il avait oublié tout les problèmes qui le chagrinaient. Comme ci le garçon en face de lui était la clef de sa remonter, le voilà qu'il se mit a rêvasser a tout les coups foireux qu'ils pourraient faire ensemble.. Car oui, Myo passait ses journées a rien foutre sur les bancs du jardin de l'école, à fumer des clopes et a imaginer toute sorte de connerie qu'il pourrait faire seul ou avec quelqu'un d'aussi rebelle que lui. Le voilà qu'il se mit a sourire bêtement devant lui, sans trop contrôler ce qu'il faisait alors que quelques seconde au paravent il venait de le réprimander sur ces propos. Il se senti bête sur le coup mais finit tout de même par relâcher la pression qu'il venait d'instaurer dans la conversation en rigolant au éclat.
«Ahahaha nan je déconne t'inquiète pas, au contraire je soutient l'inconscience.» lui dit-il en reprenant ses esprits «T'es un petit rigolo toi dis moi aha, je t'aime bien en fait.»
Il semblait avoir enfin trouver un compagnon de jeux dans cette école de malheur, ce gars la lui faisait pensé a un très vieille ami a lui. Warren, un très bonne ami a lui sois dit en passant avec qui il avait fait les 400 coups dans son ancien lycée. Un gars comme lui, serein complètement inconscient qui pensé qu'a une seul chose s'amusé et foutre la merde partout. Il relâcha un ouf de soulagement et espéra qu'il venait de trouver en lui la personne qu'il attendait depuis tout ce temps ici, celle qui pourra de nouveau le faire sourire et qui comblera le vide intergalactique que lui avait imposé cette académie de pacotille.
Alors il se retourna vers lui, lui faisant face. Il le scruta de haut en bas, histoire de se faire une idée sur quel genre de personne pourrait-il être.. Un beau jeune homme, a peut près sa taille avec une certaine confiance en lui. Le genre de gars comme Myo, sur de lui et plutôt frimeur vu les remarques qu'il a fait en interpellant. La même carrure que Myo, il était fin et semblait avoir une simple musculature naturelle. Des yeux bleues, très beau d'ailleurs qui semblait avoir capté toute l'intention de la jeune fille derrière lui. Myo avait complètement oublié la fille qui venait d'interpeller plus tôt, il semblait beaucoup intrigué par le jeune homme en face de lui.
Il jeta sa main derrière lui faisant signe a la jeune fille derrière lui de s'en aller histoire de lui faire comprendre qu'elle devait laisser les grands parler entre eux, comme ci elle n’existait plus pour lui. Il jeta tout de même un dernier coup d’œil vers elle avec un air assez méprisant, pour qu'elle comprenne vraiment qu'il n'avait pas que sa a faire de perdre son temps a s'attarder sur ces conneries. Il se retourna vers l'autre garçon pour finir de se faire une petite image de lui, il avait tout de même eu le cran de lui répondre de cette manière. Alors que tout les autres s'abaissaient devant lui, lui-lui là, lui tenait tête et avait bien l'intention de chercher la confrontation..
«Tu te prend pour qui toi?» lui dit-il tout de même d'un air assez sérieux. «Respect un peu les anciens, gamin»
Malgré cette réaction un peu abusé, dans sa tête c'était la grande joie tout d'un coup il avait oublié tout les problèmes qui le chagrinaient. Comme ci le garçon en face de lui était la clef de sa remonter, le voilà qu'il se mit a rêvasser a tout les coups foireux qu'ils pourraient faire ensemble.. Car oui, Myo passait ses journées a rien foutre sur les bancs du jardin de l'école, à fumer des clopes et a imaginer toute sorte de connerie qu'il pourrait faire seul ou avec quelqu'un d'aussi rebelle que lui. Le voilà qu'il se mit a sourire bêtement devant lui, sans trop contrôler ce qu'il faisait alors que quelques seconde au paravent il venait de le réprimander sur ces propos. Il se senti bête sur le coup mais finit tout de même par relâcher la pression qu'il venait d'instaurer dans la conversation en rigolant au éclat.
«Ahahaha nan je déconne t'inquiète pas, au contraire je soutient l'inconscience.» lui dit-il en reprenant ses esprits «T'es un petit rigolo toi dis moi aha, je t'aime bien en fait.»
Il semblait avoir enfin trouver un compagnon de jeux dans cette école de malheur, ce gars la lui faisait pensé a un très vieille ami a lui. Warren, un très bonne ami a lui sois dit en passant avec qui il avait fait les 400 coups dans son ancien lycée. Un gars comme lui, serein complètement inconscient qui pensé qu'a une seul chose s'amusé et foutre la merde partout. Il relâcha un ouf de soulagement et espéra qu'il venait de trouver en lui la personne qu'il attendait depuis tout ce temps ici, celle qui pourra de nouveau le faire sourire et qui comblera le vide intergalactique que lui avait imposé cette académie de pacotille.
Re: Comme un sentiment de Mal être.. [PV Muro]
Muro dévisagea le jeune homme. En l'espace d'une demie seconde, son attitude s'était métamorphosée, passant d’une morosité déprimée et bougonne à une joie surdimensionnée prête à bondir de tous les côtés. Lunatique ? Les effets d’un pouvoir incontrôlé ? Depuis qu’il avait intégré l’Académie, il y prêtait une attention particulière. La difficulté première, c’était la spécificité de chacun de ces pouvoirs. Il ne pouvait pas réduire chacune des magies à la sienne. On ne savait pas comment ça se manifestait, comment ça se déclenchait et même si c’était un déclenchement volontaire, dans quelles proportions et dans quels buts. Rester sur ses gardes et ouvrir l’œil était un comportement prudent mais nécessaire à adopter.
Celui qu’il avait surnommé Marl n’était pas le genre de type qu’il fallait sous-estimer. En quelques secondes il s’était débarrassé – de façon un peu bourrin il fallait l’avouer, mais le résultat était bien là on ne pouvait le nier – de celle qu’il essayait de se mettre habilement dans la poche, tour qui prenait apparemment trop de temps pour son comparse. Et maintenant il le fixait avec un sourire béat respirant l’amitié à dix kilomètres, le cœur battant de surexcitation. Une belle adaptation aux situations. Quoi qu’il en soit, il était bien déterminé à comprendre les raisons de cette transformation
Il entendit au loin maugréer la voix féminine, visiblement peu satisfaite de la tournure des choses, dépassée par « tous ces jeunes qui ne respectaient rien même pas le respect lui-même ! » et décidée à aller en toucher un mot à l’échelon hiérarchique supérieure.
« On est loin d’avoir gagné la guerre contre la charmante combattante que tu nous as renvoyé, Monsieur-je-t’aime-bien-en-fait-du-dortoir-du-bout-du-couloir », soupira-t-il en souriant devant l’enthousiasme affiché de la tête rousse bien qu’il ne s’était jamais fait la réflexion qu’il était « rigolo ». « Et qui était d’ailleurs pas mal du tout, tu sais quand elle n’a pas ce regard-là furieux avec un rictus effrayant », décrit-il en essayant sans résultat de mimer quelque chose. « Ouais, je suis même pas sûr qu’elle ait tenue ce visage un quart de seconde… Enfin, trêve de plaisanterie, j’aimerai éviter d’attendre gentiment qu’on vienne me chercher dans la gueule du loup, si tu vois ce que je veux dire… Question de finesse, évitons toute altercation avec l’administration, telle est ma devise ! »
Il laissa échapper un bâillement. La nuit n’avait pas été de tout repos, il fallait l’avouer. Une brise froide souffla doucement, faisant frissonner le jeune homme dans ses vêtements encore à moitié mouillés.
« Mais dis-moi, elle ne lui appartenait pas cette valise ? », demanda-t-il soudainement en montrant du doigt ledit objet. Echec de déduction Muro, décidément, on ne pourra jamais te récupérer en mathématiques, même si on se mettait à apprendre à compter en farfouillant dans la lingerie des filles. « C’est la tienne ? Tu t’en vas ? Au milieu de la semaine ? Tu pars vraiment en vacances… » Ou je me suis encore trompé d’interprétation ? « … Ou tu rentres chez toi ? »
Il était ahuri. Pour lui, l’entrée à l’Académie avait sonné comme le début de la liberté. Non pas qu’il appréciait particulièrement devoir aller en cours – c’était même plutôt le contraire – ni dormir dans la même chambre que deux autres mecs dont un qui ronflait inhumainement fort – un coup du pouvoir ça, en n’en pas douter ! – mais il se sentait indépendant. Loin de la pression et de la prison familiale. Loin du danger. Et surtout, il apprenait à gérer son pouvoir, un apprentissage pour lequel il avait beaucoup trop attendu, beaucoup trop enduré, et qui était encore très loin d’avoir atteint le niveau qu’il appréciait. Certes, il faisait le mur. Mais pour rien au monde il voudrait quitter l'Académie.
Celui qu’il avait surnommé Marl n’était pas le genre de type qu’il fallait sous-estimer. En quelques secondes il s’était débarrassé – de façon un peu bourrin il fallait l’avouer, mais le résultat était bien là on ne pouvait le nier – de celle qu’il essayait de se mettre habilement dans la poche, tour qui prenait apparemment trop de temps pour son comparse. Et maintenant il le fixait avec un sourire béat respirant l’amitié à dix kilomètres, le cœur battant de surexcitation. Une belle adaptation aux situations. Quoi qu’il en soit, il était bien déterminé à comprendre les raisons de cette transformation
Il entendit au loin maugréer la voix féminine, visiblement peu satisfaite de la tournure des choses, dépassée par « tous ces jeunes qui ne respectaient rien même pas le respect lui-même ! » et décidée à aller en toucher un mot à l’échelon hiérarchique supérieure.
« On est loin d’avoir gagné la guerre contre la charmante combattante que tu nous as renvoyé, Monsieur-je-t’aime-bien-en-fait-du-dortoir-du-bout-du-couloir », soupira-t-il en souriant devant l’enthousiasme affiché de la tête rousse bien qu’il ne s’était jamais fait la réflexion qu’il était « rigolo ». « Et qui était d’ailleurs pas mal du tout, tu sais quand elle n’a pas ce regard-là furieux avec un rictus effrayant », décrit-il en essayant sans résultat de mimer quelque chose. « Ouais, je suis même pas sûr qu’elle ait tenue ce visage un quart de seconde… Enfin, trêve de plaisanterie, j’aimerai éviter d’attendre gentiment qu’on vienne me chercher dans la gueule du loup, si tu vois ce que je veux dire… Question de finesse, évitons toute altercation avec l’administration, telle est ma devise ! »
Il laissa échapper un bâillement. La nuit n’avait pas été de tout repos, il fallait l’avouer. Une brise froide souffla doucement, faisant frissonner le jeune homme dans ses vêtements encore à moitié mouillés.
« Mais dis-moi, elle ne lui appartenait pas cette valise ? », demanda-t-il soudainement en montrant du doigt ledit objet. Echec de déduction Muro, décidément, on ne pourra jamais te récupérer en mathématiques, même si on se mettait à apprendre à compter en farfouillant dans la lingerie des filles. « C’est la tienne ? Tu t’en vas ? Au milieu de la semaine ? Tu pars vraiment en vacances… » Ou je me suis encore trompé d’interprétation ? « … Ou tu rentres chez toi ? »
Il était ahuri. Pour lui, l’entrée à l’Académie avait sonné comme le début de la liberté. Non pas qu’il appréciait particulièrement devoir aller en cours – c’était même plutôt le contraire – ni dormir dans la même chambre que deux autres mecs dont un qui ronflait inhumainement fort – un coup du pouvoir ça, en n’en pas douter ! – mais il se sentait indépendant. Loin de la pression et de la prison familiale. Loin du danger. Et surtout, il apprenait à gérer son pouvoir, un apprentissage pour lequel il avait beaucoup trop attendu, beaucoup trop enduré, et qui était encore très loin d’avoir atteint le niveau qu’il appréciait. Certes, il faisait le mur. Mais pour rien au monde il voudrait quitter l'Académie.
Re: Comme un sentiment de Mal être.. [PV Muro]
Le voilà qui se mit a lui posé des questions sur le pourquoi du comment de la valise qui se trouvait entre ses mains. Enfin quelqu'un qui s’intéressa tout de même a son départ, la question n'était pas très bien formulé d'ailleurs il ne s'agissait pas d'un simple voyage pour découvrir un peu plus le pays. Qu'est qu'il en avait a foutre de tout ça, visité les quelques trois boutiques de la ville ou encore les quelques bar un peu sympa qui se trouvait dans les quartiers branché? Non merci, c'était plus tôt pour ce ressourcer et retrouver confiance en lui.. Fallait qu'il rencontre de nouvelle personne, d'agréable personne surtout.. Il serait passer une ou deux fois au bar du coin, histoire de se sentir un peu plus fort en s'envoyant en l'aire a une ou deux jeune femme de la-bas qu'il aurait soigneusement pris le temps de charmé.
Il jeta un léger coup d’œil sur sa valise pour revenir les pieds sur terre, puis sur le garçon intrigué en face de lui pour lui répondre. Répondre ses questions auquel il semblait porté tellement d'importance, lui mentir? Non cela n'aurait servit a rien autant faire preuve de sincérité dès le début si il voulait instauré une bonne amitié entre les deux. Il jeta un autre coup d’œil derrière pour voir si aucun autre surveillant venait les dérangés.
«Ouais c'est la mienne t'inquiète, j'me sentais seul ici fallait que je change d'air un peu..»lui dit-il en soupirant légèrement «J'men allais cherché de la bonne compagnie en ville, histoire de me ressourcer un peu par ce qu'ici entre les petites gamines prétentieuse et les autres folles qui se prennent pour des princesses y'a pas vraiment grand chose a se mettre sous la dent»lui dit-il finalement d'un air un peu plus moqueur
Il ouvrit sa valise et lui tendit un pull a lui, il le voyait complètement gelé sous ses vêtements trempé. «Tiens prend reste pas comme ça.» Il lui faisait un peu de peine dans cette état la, lui qui voulait séduire l'autre débile de prof je pense qu'il aurait pas fait long feu. Surtout que celle la avait l'habitude de porté énormément d’intérêt a leur tenue a l'école, en l’occurrence cette fois ci elle ne pu trop sans soucié car Myo avait réussi a la dégagé d'un simple geste de la main. Quel autorité avait-il! Même les surveillants ne faisait pas le poids face a lui.
Le jeune homme avait souligner un peu plus tôt que cette réaction allait leur causé des ennuies au près de la direction supérieur. Myo se mit a rigolé, quel genre de type pouvait faire le poids encore une fois face a la lui. L'autorité ça il ne la connaissait pas, lui qu'avait toujours fait en sorte d'instaure une sorte de supériorité face a ses supérieur hiérarchique. Les pauvres se sentaient tellement faible face a lui et sa si grande réparti, il avait finit par l’appelé monsieur je sais tout.. Alala la bonne vieille époque, celle ou il n'avait qu'a claqué des doigts pour avoir tout ce dont il avait besoin. Les filles étaient toute a ses pieds, les garçons voulaient tous devenir son amis.. Et maintenant plus rien, il le fallait absolument.. Il se devait de récupéré le titre de cette école, le fait d'avoir aucun pouvoir sur les autres de rien savoir sur les autres a ça.. Oui ça, ça le détruisait de plus en plus
Alors c'est en prenant un air plutôt confiant qu'il s'adressa au petit garçon en face de lui toujours en tenant le pull dans sa main : «T'a raison, vaudrait mieux pas que tu t'attire des emmerdes alors que tu viens juste d'arrivé.» A peine avait il finit ses mots qu'une bande de surveillant rappliqua derrière lui, pour surement venir les réprimandés enfin du moins surtout Myo pour son geste déplacé vers la jeune femme. Il regarda l'autre gars avec un sourire en coin l'air de lui dire que tout allait bien se passer avant de lui lancé ses quelques mots :
«Aller vieux, tire toi si tu veux.. On se reverra bien assez tôt t'en fais pas pour ça»
Il jeta un léger coup d’œil sur sa valise pour revenir les pieds sur terre, puis sur le garçon intrigué en face de lui pour lui répondre. Répondre ses questions auquel il semblait porté tellement d'importance, lui mentir? Non cela n'aurait servit a rien autant faire preuve de sincérité dès le début si il voulait instauré une bonne amitié entre les deux. Il jeta un autre coup d’œil derrière pour voir si aucun autre surveillant venait les dérangés.
«Ouais c'est la mienne t'inquiète, j'me sentais seul ici fallait que je change d'air un peu..»lui dit-il en soupirant légèrement «J'men allais cherché de la bonne compagnie en ville, histoire de me ressourcer un peu par ce qu'ici entre les petites gamines prétentieuse et les autres folles qui se prennent pour des princesses y'a pas vraiment grand chose a se mettre sous la dent»lui dit-il finalement d'un air un peu plus moqueur
Il ouvrit sa valise et lui tendit un pull a lui, il le voyait complètement gelé sous ses vêtements trempé. «Tiens prend reste pas comme ça.» Il lui faisait un peu de peine dans cette état la, lui qui voulait séduire l'autre débile de prof je pense qu'il aurait pas fait long feu. Surtout que celle la avait l'habitude de porté énormément d’intérêt a leur tenue a l'école, en l’occurrence cette fois ci elle ne pu trop sans soucié car Myo avait réussi a la dégagé d'un simple geste de la main. Quel autorité avait-il! Même les surveillants ne faisait pas le poids face a lui.
Le jeune homme avait souligner un peu plus tôt que cette réaction allait leur causé des ennuies au près de la direction supérieur. Myo se mit a rigolé, quel genre de type pouvait faire le poids encore une fois face a la lui. L'autorité ça il ne la connaissait pas, lui qu'avait toujours fait en sorte d'instaure une sorte de supériorité face a ses supérieur hiérarchique. Les pauvres se sentaient tellement faible face a lui et sa si grande réparti, il avait finit par l’appelé monsieur je sais tout.. Alala la bonne vieille époque, celle ou il n'avait qu'a claqué des doigts pour avoir tout ce dont il avait besoin. Les filles étaient toute a ses pieds, les garçons voulaient tous devenir son amis.. Et maintenant plus rien, il le fallait absolument.. Il se devait de récupéré le titre de cette école, le fait d'avoir aucun pouvoir sur les autres de rien savoir sur les autres a ça.. Oui ça, ça le détruisait de plus en plus
Alors c'est en prenant un air plutôt confiant qu'il s'adressa au petit garçon en face de lui toujours en tenant le pull dans sa main : «T'a raison, vaudrait mieux pas que tu t'attire des emmerdes alors que tu viens juste d'arrivé.» A peine avait il finit ses mots qu'une bande de surveillant rappliqua derrière lui, pour surement venir les réprimandés enfin du moins surtout Myo pour son geste déplacé vers la jeune femme. Il regarda l'autre gars avec un sourire en coin l'air de lui dire que tout allait bien se passer avant de lui lancé ses quelques mots :
«Aller vieux, tire toi si tu veux.. On se reverra bien assez tôt t'en fais pas pour ça»
Re: Comme un sentiment de Mal être.. [PV Muro]
Muro attrapa le pull que lui tendait le jeune homme, bien heureux de pouvoir se couvrir un peu. Il ne le paraissait pas au premier abord, mais le rouquin était plutôt quelqu’un d’attentionné. Doucement, il déboutonna un à un les boutons de sa chemise et la retira sous le regard de celui dont il ne connaissait toujours pas le nom. Joueur, Muro lui fit un clin d’œil coquin avant d’éclater de rire.
« Ne te fais pas d’illusion, ça ne serait juste pas très efficace de garder un vêtement humide sous ton pull. J’espère que tu n’es pas trop déçu… », finit-il avec un sourire.
Il passa sa tête dans le vêtement et le mit correctement en place en le regardant. Il était lui aussi parfumé au tabac. Ce n’était pas du tout le genre d’affaires qu’il avait dans son placard, mais au moins il avait bien chaud. Il rabattit la capuche du sweat sur sa tête et imita la voix de son interlocuteur.
« Alors je te rassemble ? » Il rit. Il ne se moquait pas du tout de lui, il sentait juste qu’il pouvait plaisantait avec lui, ce qui était plutôt sympa. Il retira la capuche pour libérer ses cheveux maintenant quasiment secs et attacha sa chemise froissée autour de ses épaules. Il comptait donc s’amuser un peu en ville…
« Je te trouve difficile, j’en ai repéré quelques-unes bien à mon goût… » Il ne releva pas que le jeune homme avait pris sa valise juste pour aller s’envoyer en l’air. Organisé le type… « Mais ma foi si tu ne mordilles pas sur mon terrain, ça me va ! »
Concernant les nanas, Muro était assez intransigeant. Oui, il aimait ça. Ce n’était pas forcément la drague qu’il appréciait, ni s’envoyer en l’air parce que ce n’était pas ce qui était le plus excitant de pouvoir le faire avec n’importe qui quand ça lui chantait. C’était surtout l’impression de puissance que ça donnait, cette impression qu’on peut tout obtenir par un simple regard, cette impression de contrôler quelqu’un simplement en faisant glisser ses doigts lentement le long d’un corps, et puis cette impression de plaire, de baigner dans cette aura si particulière qu’on appelle charisme. Alors non, il ne voulait pas qu’on joue sur son terrain. Pas de quartier sur ce plan-là !
« Enfin je ne m’opposerai pas à la décision des arbitres : elles choisiront. », défia-t-il avec un sourire. Tout cela sonnait d’une douce mélodie excitante.
« Muro », lança-t-il, le regard en direction de la porte de l’Académie. « C’est Muro mon prénom. »
Il entendait que ça venait par ici en renfort. Un petit groupe de cinq mais seule la propriétaire de la voix féminine de toute à l’heure était vraiment déterminée à régler cette affaire. Les quatre autres, un peu ronchons, auraient préféré finir leur café tranquillement dans la salle de pause. Rien de bien méchant les attendait sinon une petite heure de colle.
« Si je ne voulais pas m’attirer des ennuis, je n’aurais certainement pas passé la nuit à l’extérieur, tu ne crois pas ? » Malgré ça, il n’aimait pas particulièrement les confrontations directes, ni être fiché. Tout seul, il se serait effectivement discrètement faufilé en passant par-dessus la barrière à un endroit un peu moins exposé à la circulation. Mais c’était un défi, une sorte de mise à l’épreuve il l’avait senti.
Le bourrin et le parleur, hein ? Il n’avait certainement pas l’avantage dans l’affaire, mais il ne se dégonflerait pas. L’honneur masculin, on appelle ça !
« Ne te fais pas d’illusion, ça ne serait juste pas très efficace de garder un vêtement humide sous ton pull. J’espère que tu n’es pas trop déçu… », finit-il avec un sourire.
Il passa sa tête dans le vêtement et le mit correctement en place en le regardant. Il était lui aussi parfumé au tabac. Ce n’était pas du tout le genre d’affaires qu’il avait dans son placard, mais au moins il avait bien chaud. Il rabattit la capuche du sweat sur sa tête et imita la voix de son interlocuteur.
« Alors je te rassemble ? » Il rit. Il ne se moquait pas du tout de lui, il sentait juste qu’il pouvait plaisantait avec lui, ce qui était plutôt sympa. Il retira la capuche pour libérer ses cheveux maintenant quasiment secs et attacha sa chemise froissée autour de ses épaules. Il comptait donc s’amuser un peu en ville…
« Je te trouve difficile, j’en ai repéré quelques-unes bien à mon goût… » Il ne releva pas que le jeune homme avait pris sa valise juste pour aller s’envoyer en l’air. Organisé le type… « Mais ma foi si tu ne mordilles pas sur mon terrain, ça me va ! »
Concernant les nanas, Muro était assez intransigeant. Oui, il aimait ça. Ce n’était pas forcément la drague qu’il appréciait, ni s’envoyer en l’air parce que ce n’était pas ce qui était le plus excitant de pouvoir le faire avec n’importe qui quand ça lui chantait. C’était surtout l’impression de puissance que ça donnait, cette impression qu’on peut tout obtenir par un simple regard, cette impression de contrôler quelqu’un simplement en faisant glisser ses doigts lentement le long d’un corps, et puis cette impression de plaire, de baigner dans cette aura si particulière qu’on appelle charisme. Alors non, il ne voulait pas qu’on joue sur son terrain. Pas de quartier sur ce plan-là !
« Enfin je ne m’opposerai pas à la décision des arbitres : elles choisiront. », défia-t-il avec un sourire. Tout cela sonnait d’une douce mélodie excitante.
« Muro », lança-t-il, le regard en direction de la porte de l’Académie. « C’est Muro mon prénom. »
Il entendait que ça venait par ici en renfort. Un petit groupe de cinq mais seule la propriétaire de la voix féminine de toute à l’heure était vraiment déterminée à régler cette affaire. Les quatre autres, un peu ronchons, auraient préféré finir leur café tranquillement dans la salle de pause. Rien de bien méchant les attendait sinon une petite heure de colle.
« Si je ne voulais pas m’attirer des ennuis, je n’aurais certainement pas passé la nuit à l’extérieur, tu ne crois pas ? » Malgré ça, il n’aimait pas particulièrement les confrontations directes, ni être fiché. Tout seul, il se serait effectivement discrètement faufilé en passant par-dessus la barrière à un endroit un peu moins exposé à la circulation. Mais c’était un défi, une sorte de mise à l’épreuve il l’avait senti.
Le bourrin et le parleur, hein ? Il n’avait certainement pas l’avantage dans l’affaire, mais il ne se dégonflerait pas. L’honneur masculin, on appelle ça !
- HRP:
- Muro n’est PAS un « petit garçon ». Lance ça tout haut et j’te marave !
Re: Comme un sentiment de Mal être.. [PV Muro]
On sentait tout de même une certaine complicité entre les deux, le voilà qu'il se met a le taquiner comme s'il se connaissait depuis un bon bout de temps. Le petit garçon en face de lui prit la même posture que lui en enfilant le pull que Myo lui avait tendu un peu plutôt, qui ne semblait pas si différente que sa de la sienne. En voyant cela Myo se mit a rire naturellement, un rire de joie et surtout de soulagement.. Cela faisait un bout de temps maintenant que le rouquin n'avait pas autant sourie dans une journée, il semblait beaucoup moins sous pression et avait l'air de mettre ses problème de côté pour profité du moment présent.
Muro ce prénommait-il, assez bizarre comme prénom.. Encore un japonnais ou quelque chose dans le genre surement. Myo le regarda alors, droit dans les yeux avant de lui tendre son poing l'air de lui faire comprendre qu'il avait l'honneur de faire parti de son petit cercle d'amis proche. Car oui c'est vrai qu'on va pas ce le caché, qu'un gars comme lui n'arrive pas vraiment a s'attacher au autres, pour lui l'amitié n'est qu'un plus. Le genre de chose qui l'aiderait dans sa vie futur, rien d'autre.. Il n'avait eu qu'un seul ami, ce bon vieux Warren.. Qu'il avait malheureusement laisser seul, la-bas au Etat-Unis après s’être fait amener ici de force par ce type bizarre. Enfin bref tout ça pour dire que Muro, avait réussi a gagner sa confiance.
«Myo» lui dit-il alors sereinement
Il se retournât ensuite vers la porte d'entré en regardant avec insistance les 5 surveillants qui s'approchaient d'eux avec un air assez contrarié, comme si on venait de les tirés de leur sommeil. Les voilà qu'ils se ramenaient toujours avec leur air supérieur décidé de jetés tout leur dévolu sur nous pour se venger de la surveillante générale qui était venu les déranger. Mais quel bande de branleur pensa tout haut Myo, leur travail semblait largement plus facile que d'assister au cours. Il ne foutait rien, il passait le plus clair de leur temps dans la salle des professeurs a ce raconter leur vie ennuyante et a se buté a la caféine.
«Regarde les ces petits rigolos, ils ne nous feront rien ici c'est nous qui commandons aha» Dit-il en se mettant a glousser.
Les voila qu'ils arrivèrent devant eux, Myo s’avançât naturellement vers eux avec son air protecteur... L'air de dire que tout était de sa faut et que Muro n'avait rien avoir la dedans, il prit alors encore une fois les devants en les regardant de haut en éclatant de rire et se mettant a leur parlé comme des moins que rien. On pouvait les voir complètement impuissant devant une t'elle présence et cela en devenait ridicule, des surveillants se faisait mal mené devant seulement deux gars alors qu'est ce que ça serait si tout le monde se rebellaient..
«Hé bien, voilà qui confirme a quel point les membres de la direction son des lâches. Cinq surveillant pour venir réprimandé seulement deux élèves..» Dit-il alors en secouant la tête de désespoir. «Vous êtes pathétique.»
Muro ce prénommait-il, assez bizarre comme prénom.. Encore un japonnais ou quelque chose dans le genre surement. Myo le regarda alors, droit dans les yeux avant de lui tendre son poing l'air de lui faire comprendre qu'il avait l'honneur de faire parti de son petit cercle d'amis proche. Car oui c'est vrai qu'on va pas ce le caché, qu'un gars comme lui n'arrive pas vraiment a s'attacher au autres, pour lui l'amitié n'est qu'un plus. Le genre de chose qui l'aiderait dans sa vie futur, rien d'autre.. Il n'avait eu qu'un seul ami, ce bon vieux Warren.. Qu'il avait malheureusement laisser seul, la-bas au Etat-Unis après s’être fait amener ici de force par ce type bizarre. Enfin bref tout ça pour dire que Muro, avait réussi a gagner sa confiance.
«Myo» lui dit-il alors sereinement
Il se retournât ensuite vers la porte d'entré en regardant avec insistance les 5 surveillants qui s'approchaient d'eux avec un air assez contrarié, comme si on venait de les tirés de leur sommeil. Les voilà qu'ils se ramenaient toujours avec leur air supérieur décidé de jetés tout leur dévolu sur nous pour se venger de la surveillante générale qui était venu les déranger. Mais quel bande de branleur pensa tout haut Myo, leur travail semblait largement plus facile que d'assister au cours. Il ne foutait rien, il passait le plus clair de leur temps dans la salle des professeurs a ce raconter leur vie ennuyante et a se buté a la caféine.
«Regarde les ces petits rigolos, ils ne nous feront rien ici c'est nous qui commandons aha» Dit-il en se mettant a glousser.
Les voila qu'ils arrivèrent devant eux, Myo s’avançât naturellement vers eux avec son air protecteur... L'air de dire que tout était de sa faut et que Muro n'avait rien avoir la dedans, il prit alors encore une fois les devants en les regardant de haut en éclatant de rire et se mettant a leur parlé comme des moins que rien. On pouvait les voir complètement impuissant devant une t'elle présence et cela en devenait ridicule, des surveillants se faisait mal mené devant seulement deux gars alors qu'est ce que ça serait si tout le monde se rebellaient..
«Hé bien, voilà qui confirme a quel point les membres de la direction son des lâches. Cinq surveillant pour venir réprimandé seulement deux élèves..» Dit-il alors en secouant la tête de désespoir. «Vous êtes pathétique.»
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