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Biana ♦ Rubis [Terminé] [Kalth]

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Biana ♦ Rubis [Terminé] [Kalth] - Page 2 Empty Biana ♦ Rubis [Terminé] [Kalth]

Message par Biana Ven 05 Jan 2018, 17:52

Rappel du premier message :


   

       

BianaMinck


       

Maison Rubis


   

       

                   
  • Statut : Etudiante

  •                
  • Âge : 19 ans

  •                
  • Sexe :

  •                
  • Origines : Anglaises et japonaises.

  •                
  • Taille : 1m64

  •                
  • Logement : Dortoir

  •                
  • Travail : Aucun, même s'il lui arrive de faire

    quelques petits boulots par-ci, par-là

  •                
  • Pouvoir : Passe miroir

  •                
  • Avatar : OC - Ilya Kuvshinov

  •            

   

This is me...


Mental


          Biana est farceuse, moqueuse, un peu railleuse. Ce trait de caractère est sûrement un sorte de conséquence de son passé assez douloureux. Un moyen de se défendre, de se protéger des foudres des autres, dans l’espoir de les voir un peu reculer.

Biana reste pleine de vie. Elle est souriante et rieuse, et ça, c’est grâce à sa tante Juliette. En lui offrant tout son amour, en lui offrant un petit cocon de douceur et de bonheur, elle a redonné un peu de joie à la petite Biana, qui a gardé cette constante joie en elle.

Biana est très mais alors très tête en l’air. C’est une fille assez hyperactive, qui déborde constamment d’énergie, et qui est très rarement fatiguée. Alors elle est toujours en train de courir, à cause de ses oublis, ses maladresses. Son emploi du temps un peu rempli. Un peu trop même. Avec elle, il y a toujours quelque chose à oublier : ses cours de sport, ses lunettes ou ses lentilles, ses rendez-vous. Et malgré son énergie constante, elle est toujours en train de paniquer ou de stresser.

Biana, malgré sa joie, ses farces, ses railleries, reste une fille très sérieuse. Sa détermination a toujours été présente. Elle ne baisse jamais les bras, elle est travailleuse et motivée, et elle veut toujours aller au bout de ses idées, peu importe comment. Pourtant, elle reste un peu fêtarde, son envie de fête s’ajoutant à son énergie à revendre.

Biana est terriblement expressive. Elle s’exprime d’une voix claire, ajoutant à cela de grands gestes, des cris, des rires, des exclamations, des moues boudeuses. Marquée par son enfance mouvementée et dénuée d’attention, elle cherche parfois à attirer l’attention sur elle, comme dans l’espoir qu’on la remarque un tant soi peu.

Elle passionnée de sport en tout genre, mais avant tout et surtout, de théâtre. Elle a comme désespérément envie de vivre une autre vie. Envie de changer un peu la sienne. D’avoir son père auprès d’elle, une mère aimante aussi. Alors elle s’amuse. Elle se métamorphose, se transforme, pour qu’on la voit autrement, comme si au fond d’elle, plusieurs Biana se mélangeaient.

Biana n’est pas très ouverte aux autres. Pas qu’elle ne soit pas sociable. Mais elle ne parle presque jamais d’elle, ou de ses sentiments. Elle se renferme, remballe sa confiance, enfoui tous ses secrets au fond d’elle et se tait.

Mais, Biana, au contraire, est très curieuse sur les autres. En fait, au fond, elle aime aider. Savoir les problèmes des autres, puis les guider, sans vraiment le montrer. Mais elle se mêle souvent de ce qui ne la regarde pas, et, avec son caractère, elle insiste, insiste… Et cela lui attire souvent quelques ennuis.

Physique


           Au premier abord, on voit chez elle une jeune fille mignonne et innocente. Une bouille d’ange. Biana l’était, c’est vrai. Mais tout est dans le temps. Elle l’était. Biana a mûri, a grandi (juste un peu). Et elle a évolué et changé. Elle a peu à peu pris confiance en elle. Elle se tient droite, ne se cache plus des autres. Elle ne parle ni trop fort, ni trop bas, tout en fixant son interlocuteur, sans gêne, mais sans irrespect.

Comme dit plus haut, elle aime se métamorphoser, se transformer. C’est cette terrible envie d’être plusieurs Biana à la fois qui la pousse à allonger ses cheveux avec des rajouts, à s’acheter des lentilles colorées pour remplacer ses différentes paires de lunettes. Elle cherche simplement à savoir qui elle est, qui elle peut être, qui elle veut être et pourquoi.
Biana est perdue. Sa mère l’a perdu. Si telle qu’elle est, elle n’est pas aimée par sa propre mère, dont elle recherche secrètement l’amour et la fierté, qui l’aimera ? Qui l’appréciera pour ce qu’elle est ? Elle a peur qu’on l’abandonne. Alors elle cherche à marquer les esprits, à sa façon. En étant à la fois elle-même et à la fois quelqu’un d’autre.

Pourtant, Biana ne se rend pas compte. Biana est jolie. Elle est petite, mince, à l’allure élancée et sportive. Elle a la peau étonnamment claire et douce ; des yeux bruns qui s’éclaircissent sous les rayons du soleil ; une chevelure coupée à la garçonne, brune et légèrement ondulée ; quelques formes bien placées ; un sourire, de jolies fossettes et quelques légères tâches de rousseur. Mais Biana ne se voit pas comme ça. Biana ne voit que ses défauts. Elle ne voit que des tocs inutiles ; son sourcil qui se lève à tout bout de champs ; sa lèvre supérieur qui se relève dans une grimace boudeuse ; ses stupides yeux bruns sans beauté qui cherchent toujours un point à fixer ; ses doigts trop longs et trop fins qui tapotent tout ce qu’ils touchent dans un geste de stress permanent. Elle ne trouve chez elle qu’une voix trop grave ; des cheveux sans reflets ; un corps trop plat ; un sourire forcé. Comme si sa mère était toujours là, à critiquer tout ce qu’elle voit.

Biana n’a pas vraiment de style vestimentaire particulier. Elle s’habille selon son humeur, selon le temps. Elle ne cherche jamais très loin en out cas. Un jean, un pull, des baskets. En fait, Biana n’est pas très très féminine. Elle ne porte presque jamais de robes, préférant des habits plutôt masculin, tels que de grands sweats.

Pouvoir


       Biana peut tout simplement voyager grâce aux miroirs.

En effleurant la surface d'un miroir, celle-ci se transforme pour laisser voir différentes destinations possibles. Biana doit alors en choisir une, et, surtout, bien la garder en tête. Être complètement concentrée dessus. Il lui suffit alors de plonger tête la première dans le miroir. Pendant quelques secondes, elle flottera dans une sorte d'entre-deux, avant de ressortir par un miroir se trouvant à l'endroit de sa destination. Si par malheur Biana perdait de vue le lieu de son arrivée, elle pourrait rester coincée à jamais à l'intérieur du miroir.

Biana ne peut voyager qu'entre des miroirs qui ne sont pas trop éloignés. Sa limite est pour le moment d'une bonne centaine de mètres, ce qui est déjà pas mal, mais ce qu'elle trouve bien trop peu. Elle est continuellement en train d'essayer de se rendre plus loin, en vain pour le moment. De plus, Biana ne peut voyager qu’à travers des miroirs d´une taille suffisante. Par précaution, elle voyage la plupart du temps avec des miroirs assez grands, mais le plus petit qu’elle ait essayé était de 50 cm sur 50 cm.

Biana ne peut voyager que toute seule. Elle n'a pas la possibilité d'entraîner quelqu'un avec elle. De plus, plus sa destination est éloignée de son point de départ, plus elle a besoin de concentration et d'énergie, et plus elle risque d'en souffrir à son arrivée. Elle ne peut donc pas utiliser son pouvoir plusieurs fois d'affilée. Elle doit, entre chacun de ses voyages, prendre une pause d'au minimum 2 heures. Mais, si elle insiste, elle risque d'en subir les conséquences : d'une perte de vision provisoire, à des vomissements soudains, Biana n'a pas encore découvert toutes les conséquences possibles.

Ce pouvoir est inspiré de celui d'Ophélie dans le livre "La Passe-miroir" de Christelle Dabos.

This is my story...



Elle pleure. Le visage enfoui dans le creux de ses bras, les doigts serrés sur son ourson en peluche.
Elle sanglote. Sa mère râle. Son père soupire tristement. Il tente de s'approcher de sa fille, mais sa femme réagit au quart de tour.

<< Laisse-la bon sang ! Ce n'est qu'une idiote. Elle n'est bonne à rien. Elle ne mérite pas ton amour ! >>

L'homme jette un regard désolé à sa fille. Un regard rempli d'amour, de pitié, de souffrance. Et surtout de fatigue. Il n'a plus la force de se battre, de résister. Il voudrait la serrer dans ses bras, la cajoler, la consoler. Lui faire des chatouilles, pour qu'une fois au moins, il l'entende rire à n'en plus pouvoir s'en arrêter.
C'est à cet instant que la petite relève la tête vers son père, pour lui offrir son plus beau cadeau : un doux sourire, chaleureux et rassurant, plein d'amour et d'espoir. Les larmes dévalent les joues de ce père au cœur massacré par les accès de colère de celle qu'il a choisi pour être sa femme. Il culpabilise. Il se dit que c'est de sa faute. S'il n'avait pas choisi cette horrible femme, sa fille, sa petite fille, ne souffrirait pas autant. Il aurait dû se douter que leurs gênes un peu particulières se retrouveraient dans celles de leur fille. Rien n'était sûr encore, mais lui savait. Il le sentait. Elle était différente. Et lui, son père, il n'avait même pas la force de lutter pour l'aider, la protéger de la haine de sa propre mère. Il n'allait pas y survivre. Il le savait. Il éclata à son tour en sanglot, surprenant à la fois sa femme et sa fille.
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Biana est assise sur la petite chaise posée à côté de la porte. Ses mains sont crispées sur ses genoux, ses dents sont serrées. Voilà 3 ans que ses parents se doutent de se qu'il se cache au fond d'elle. Elle aussi le sent. Mais cela s'est retourné contre elle, contre elle et son père. Elle n'a que 6 ans, mais elle sait ce qu'il va se passer. Les larmes lui montent aux yeux. Elle tremble de tout son corps. Le docteur ouvre la porte. Il semble dépassé par les événements. Il s'approche de la petite fille, minuscule petite chose sur sa chaise. Il pose simplement sa main sur son épaule, sans savoir quoi dire, mais elle sait. Elle pleure déjà. "Encore", dirait sa mère. D'ailleurs, la voilà qui sort de la pièce, comme indifférente à ce qu'il se passe. Elle grimace de dégoût en voyant sa misérable fille secouée de sanglots. Elle lui attrape la main sans ménagement pour la tirer à sa suite.

<< On rentre, dépêche-toi ! >>

Le docteur parait horrifié par la scène qui se déroule sous ses yeux. Biana se lève précipitamment, sans rien dire de plus, en jetant simplement un regard attristé au médecin. Elle doit survivre. Pour son père. Elle se redonne du courage avant de partir à la suite de sa mère.
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Biana inspire profondément lorsqu'elle se retrouve finalement devant les grilles de l'école. Comme tous les jours, elle pense à son père. Comme tous les jours, elle garde espoir. Comme tous les jours, elle ne baisse pas les bras. Comme tous les jours, elle se pare d'un sourire, elle se laisse plonger dans son personnage et elle avance dans la cour. Elle retrouve ses copines, avec lesquelles elle discute vivement et rigole longuement. Elle leur montre la nouvelle écharpe que sa mère vient de gentiment lui offrir en échange de ses bonnes notes. En réalité, c'est la jeune voisine de 16 ans qui lui a donné, mais Biana a l'habitude. Elle change sa réalité pour en raconter une autre. Ses amies la complimentent, et Biana se sent mieux. Au fond d'elle, elle sent quelque chose grandir, pousser, évoluer. Cette chose qui a tout provoqué. La colère, la jalousie de sa mère. Son attitude violente, et dévastatrice sur son père, entraînant sa dépression, sa maladie. Et sa mort, par-dessus tout. Biana serre les poings. Elle voudrait tant se venger, mais elle repousse l'idée de son esprit. Il faut juste qu'elle fuit. Voir sa tante. Elle sait qu'elle pourra la comprendre, elle.


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Sa mère surgit brusquement dans la cour. C'est un cauchemar. Biana pâlit brusquement, se décompose. Ses amies l'observent avec inquiétude, la questionnant avidement, alors que sa mère avance furieusement dans sa direction. Elle a découvert ce que Biana faisait. Elle était obligée. D'un côté, pour acheter des affaires, et de l'autre, pour se préparer à partir. 5 euros par jour, pas plus. Depuis combien de temps faisait-elle ça ? Elle ne sait plus. Elle a caché 50 euros dans la doublure de sa valise, mais elle a sûrement dû utiliser une bonne vingtaine d'euros pour obtenir quelques affaires. Biana se met à trembler. Sa mère se dresse brusquement face à elle, terriblement effrayante. Biana prie pour disparaître brusquement. Pour devenir invisible. Mais cela n'arrive pas. Alors, elle se contente de se faire la plus petite possible. Sa mère saisit vivement son poignet, le secouant avec violence.

<< Comment oses-tu ?! Comment oses-tu me voler, moi, ta propre mère ?! Tu es pire que ce que je ne pensais ! Tu es une idiote, une froussarde, une voleuse ! >>

Biana baisse ses yeux remplis de larmes. Dans le flou de sa tristesse, elle aperçoit les autres qui la regarde avec pitié et étonnement. Elle croit voir son maître s'approcher à son tour du petit cercle de curieux qui s'est formé. Biana pleure. Encore.
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Biana n'en revient pas. Personne ne se souvient de rien. Personne ne lui demande si sa mère a été arrêté, si le maître en a parlé. Lui-même semble avoir tout oublié. Biana pleure à nouveau, et quand on la questionne, elle s'enfuit de l'école. Ils appelleront sa mère, mais elle s'en fiche. Sa mère n'est pas sa mère. Elle ne le sera jamais. Et elle sent que ce don dont son père lui a parlé... Il arrive. Il grandissait, il l'envahissait. Mais maintenant... Il est temps, et elle le sait. Elle va rentrer chez elle, prendre ses affaires, et partir.

Elle claque la porte de la maison, en pleurs. Comme si elle a tout prévu, sa mère l'attend. Biana se fige avec horreur. Puis toutes les pièces du puzzle s'assemblent et....

<< C'est vous... C'est vous qui avez effacé leurs mémoires... >>

Sa voix est brisée. Fatiguée. Sa mère soupire en la voyant pleurer.

<< Tu n'es vraiment qu'une faible. Tu devrais apprendre à te ressaisir ! >>

Elle semble exaspérée par l'attitude de sa fille. Sa propre fille. Biana souffre. Elle souffre du peu d'amour que sa mère lui porte. Le peu d'attention, de compliments, d'aide et de conseils qu'elle lui apporte. Biana en a marre. Elle veut partir chez sa tante, et pas dans dans plusieurs jours, ou semaines ou même mois, ou encore année. Non. Elle veut partir maintenant. Elle serre les poings, et avance vers l'escalier. Sa mère se plante devant elle.

<< Où est-ce que tu crois aller comme ça, petit sotte ?! >>

Biana relève un regard noir vers sa mère, qui paraît surprise pour la première fois. Elle semble déstabilisée par le regard assassin de sa fille. Voilà 9 ans qu'elle est née, 9 ans qu'elle déteste cette petite qui n'a fait que lui pourrir la vie. 9 ans qu'elle regrette de ne pas avoir avorté. Cette enfant lui a volé l'amour de son mari, qui s'est mis à la haïr, elle, sa propre-femme.

<< Tu as tué Papa. Je te dé-tes-te ! Je te hais ! Alors je me casse ! >>

Biana hurle. Comme si cela faisait longtemps que cela la hantait. Elle contourne sa mère et monte rapidement les escaliers qui mènent à sa chambre. Elle attrape sa valise, déjà a moitié faite, et y ajoute quelques affaires avant de la fermer.
Elle attrape la poignée du bagage, mais lorsqu'elle se tourne vers la porte, quelqu'un semble l'appeler. Non, pas quelqu'un. Pas sa mère, pas les voisins. Quelque chose. La jeune fille promène son regard autour d'elle, avant de s'arrêter sur le miroir. Il l'appelle. Elle le sent. Elle se sent attirée, brusquement. Elle s'approche avec lenteur, intriguée. C'est cela. Elle le sait. Ce don que son père sentait venir en elle, le voilà. Enfin !
Biana continue de s'avancer, avant d'effleurer du bout des doigts la surface miroitante du miroir. C'est à ce moment que Biana voit défiler sous ses yeux toutes les destinations qui lui sont possibles. Le miroir de la bibliothèque, de l'école, de la mairie. Du salon de sa tante. Biana n'hésite pas. Elle n'hésite plus. Elle entend les pas de sa mère, sa voix qui lui crie de ne pas bouger de là, et, l'esprit fixé sur le salon de sa tante, elle plonge tête la première dans le miroir.

Un instant de flottement. De douceur. De calme intense. Biana est libre. Souriante. Puis elle se retrouve soudainement nez-à-nez avec sa tante, qui la regarde dans un mélange de stupeur et d'étonnement.
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Biana tient la lettre d'une main tremblante. Académie Tsuki. C'est comme si elle se doutait de ce qu'elle allait y découvrir. Elle la tend à sa tante Juliette.

<< Tu peux me la lire, s'il te plaît ? Je n'y arrive pas... >>

Juliette sourit doucement et l'ouvre. Elle lit en diagonale la petite lettre et elle finit par la lâcher pour serrer sa nièce entre ses bras.

<< Tu me manqueras beaucoup, mais tu dois y aller. Pour avoir une meilleure vie, pour te sentir moins seule. Tu ne seras plus la seule... Plus la seule différente. Et surtout... Tu n'auras pas à te cacher. Je veux que tu y ailles, tu m'as bien comprise ?! >>

Son ton est ferme, sans aucun refus possible. Et Biana fait quelque chose qu'elle n'a pas fait depuis bien longtemps... Elle se met à pleurer.

Under the mask...



Prénom ou surnom : Nanou
Anniversaire :21 février
Loisirs :Lecture, écriture et tennis
Tu aimes :J'adoooore lire, écrire, écouter de la musique, faire du tennis, manger du chocolat noir et passer du temps avec mes amies
Tu détestes :Les abeilles, les guêpes, les bourdons... Bref, plus simplement les bestioles qui font Bzzzzz dans ton oreilles et j'ai énoooormément le vertige...
Ton rêve :Devenir écrivaine ♥
Comment es tu arrivé ici  ?Je ne sais plus trop, en recherchant sur Internet je crois ^^
Des idées pour améliorer le forum ?Pour le moment, non, je le trouve tellement egobrgb *o*
Le mot de la fin :Chocolat noir, miam ♥


Dernière édition par Biana le Ven 02 Fév 2018, 16:08, édité 6 fois
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Message par Daaf Ven 02 Fév 2018, 17:29

Bienvenue :o
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Message par Narok Sam 03 Fév 2018, 20:31

Felicitation !
T'es validée !
Tu vas pouvoir enfin commencer tes activités de membre sur le forum et tu auras très prochainement ta couleur correspondant à ta maison. Pour commencer comme il se doit dans l'académie je te met les liens en dessous pour les premières choses que tu devras faire.

-  Recensement d'avatar
-  Recensement de ton pouvoir
-  Créer ton dossier
-  Créer ton casier

Pour la suite je te propose quelques liens utiles :

- Liste de demande de Rp
-  Et enfin, si tu le souhaites,  créer ton journal intime

Si tu souhaite nous rejoindre nous avons un discord également : https://discord.gg/q5Rzknb

Si tu as des questions, n'hésite pas à m'envoyer un MP.

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