Une silhouette vêtue de noir [Libre pour 4 personnes max]

Il semblerait que j'ai trouvé la ville. Maintenant, je dois trouver cette "Académie".
C'est plus facile à dire qu'à faire. Cette ville est bien plus grande que je ne l'aurais cru.
Je n'arrive à me faire comprendre des habitants, mais dès qu'ils entendent le mot "Tsuki", ils me regardent étrangement, quand ils ne mettent pas un terme à la discussion, purement et simplement.
Je vais devoir me débrouiller toute seule, une fois de plus. Bien que ce soit moi qui ai décidé de ne pas être accompagnée, je commence à le regretter...

M'étant perdue encore une fois, je m'arrête un instant pour regarder ma carte, lorsqu'une odeur de nourriture attire mon attention. A quelques mètres de là, il y a un restaurant. Cela fait un moment que je n'ai rien mangé... Un jour, peut-être ? Ou même plus ? Qu'importe. Le professeur m'a confié des livres, la monnaie de ce pays.
Je me dirige résolument vers le restaurant, mais je sens quelque chose tomber sur ma tête.
Une. Deux. Trois. Quatre. Quelques légères gouttes de pluie, qui en un instant se transforme en averse. Le ciel devient sombre. Un orage !
Inquiète, je cherche un abri, mais rien. La rue est devenue déserte et les gens encore dehors se hâtent de rentrer chez eux. Je dois trouver cette Académie le plus vite possible.

Après m'être perdue une énième fois, je tombe sur un grand bâtiment.
Sans savoir pourquoi, je m'arrête malgré la pluie battante et plisse les yeux. Cet édifice est différent des autres.
Il est bien plus imposant que tous ceux que j'ai vu jusqu'à présent, dans cette époque en tout cas, et le style est différent. Il y a également un grand portail noir. Le symbole au-dessus me rappelle quelque chose...
Essayant d'ignorer la pluie, je me rapproche encore un peu. ... Le symbole de la lettre !
L'étoile et le croissant de lune entremêlés ! Je suis enfin arrivée.
J'ouvre les grandes portes... Enfin, j'essaie. Je suis éreintée, les portes ne bronchent pas.
Finalement, l'une des portes daignent s'ouvrir dans un grincement, mais elle se bloque aussitôt, laissant un espace à peine suffisant pour s'y faufiler.
Je me retrouve ainsi devant des portes, cette fois-ci celles du bâtiment.
Excédée, j'enfonce la porte à l'aide de mon sabre, l'ouvrant du premier coup.

C'est... sombre. Je ne vois rien. Je longe le mur à la recherche de... Ah, voilà. J'appuie sur l'interrupteur...
Et ferme aussitôt les yeux pour les protéger de la lumière trop forte.
Une fois accoutumée, j'observe la grande, très grande, salle. C'est vide. Sans doute tout le monde dort encore, vu l'heure matinale. Tant mieux. Mais, en même temps, ce silence me met mal à l'aise.
Je serre mon sabre, prête à le dégainer en cas de besoin, et continue mon exploration de l'immense hall.

Et merde ! J’étais allé dehors avec Moon ma corneille pour qu’on puisse se dégourdirent les ailes ensemble … pour une fois que j’ai un pote de vol !  Bref malheureusement on s’est fait surprendre par la pluie. Bon déjà de un on était trempé tous les deux mais ça a la limite on s’en fout ! Non par contre quand a les ailes trempé c’est beaucoup plus compliqué de volé correctement. Déjà tout simplement parce que l’eau nous alourdit, et desfois que sa vire à l’orage j’ai pas envie de passer de roides corbeaux a roi des poulets rôtie et puis voilà quoi sa tombe sous le sens enfin bref ! Je reprenais donc forme humaine près de l’entré tandis que Moon se posa sur mon épaule gauche. Je voyais une fille … style … gothique ou un délire dans le genre avec une longue crinière eben et équipé d’un sabre en mode normal. (Dis le mec qui a une corneille sur l’épaule) .Bref celle-ci essayait d’ouvrir la porte sans succès. Sans doute madame a dû perdre patience car ce fut le plus naturellement du monde qu’elle défonça l’entré à coup de sabre … ouais … ce n’est pas un petit peu expéditif comme méthode ? Moi je dis ça je dis rien …. Un stage de gestion de la colère me parait une proposition des plus … judicieuse ! Bref. Celle-ci s’engouffra à l’intérieur du bâtiment et je ne tardais pas à faire de même. Je la voyais regardé autour d’elle comme si elle découvrait les lieux. Ok je vois Le genre …

_ Laisse-moi deviné … Toi ! Tu es nouvelle ! Salut moi c’est Noa (pointant mon oiseau de compagnie sur l’épaule) et je te présente Moon.

J'adore me balader en caleçon sous la pluie, c'est con à dire mais essayer un jour et vous verre pourquoi ! Ce sentiment d'intimité comme quand on se douche mélangé à un soupçon exhibitionnisme. Ajouter une pincée d'exercice visant à me rendre encore et toujours plus fort. Exercice physique et approfondissement du pouvoir, pas le temps de niaiser ! Et là vous allez vous dire que j'en fais des caisses et que je suis pas crédible mais en attendant je défonce pas des portails à coup de sabre et j'ai pas rende-vous avec un oiseau. Toujours est-il qu'un portail ça grince et que le bruit a attiré mon attention. Et puis c'est rigolo d'allez voir une petite fille quand on est nu (oui nu, enfin presque, je vous laisse deviner la couleur du caleçon et vous comprendrez LOL) .

"-Salut, moi c'est ... oh puis on s'en fout c'est déjà suffisamment chelou comme ça, je vais pas en plus me présenter comme si de rien n'était. Non mais franchement, vous sente pas le malaise là ?"

Je les regarde un à un, j'ai beau viser les yeux c'est comme si ils évitaient les miens. Enfin je crois, il fait trop noir pour être sûr. Putain si ça trouve ils ont même pas vu comment je suis habillé, meeeeeerde ! J'ai l'air fin du coup. Sauf que là BOUM orage, du coup un instant la salle est éclairé et moi aussi. Et oui les petits, c'est le karma qui me sort toujours des situations délicates. Je regarde la jeune fille.

"-Non mais c'est vrai, tu trouves pas que tu es menaçante avec ton arme ?"

Je ris, intérieurement bien sûr, parce qu'elle est pas menaçante du tout. Elle est plutôt chou en fait. Je me retourne, marche en direction d'un fauteuil et m'assied royalement dessus. Je suis obligé de prendre de la distance parce que sinon ils vont se rendre compte que je me retiens d'exploser de rire.

"-Enchanté, je suis Achille, maitre de ce domaine. Qui es-tu toi qui viens armé dans ma demeure ?"

Je continue mon exploration de la pièce sans trouver quoi que soit qui m'indiquerait où se trouve ce maudit dortoir. Je rabats mes cheveux, désordonnés et mouillés, derrière mes oreilles, de plus en plus anxieuse et perplexe. Bien que je n'ai pas prévu de rester ici très longtemps, ce lieu me paraît de plus en plus mystérieux.
Finalement, je décide de déchiffrer les affiches et panneaux se trouvant sur les murs, dans l'espoir de...
Du bruit. Derrière moi. Je me retourne tout en reculant d'un pas, prête à dégainer mon sabre, afin d'identifier la menace... et me retrouve nez à nez avec un jeune homme. Et le bruit que j'ai entendu est probablement sa voix. Maintenant que j'y pense, il y a bien quelques mots que j'ai reconnu, mais je n'y ai pas fait attention sur le moment.
Toujours un peu méfiante, je me contente d'incliner légèrement la tête en guise d'excuse, et la relève rapidement pour observer le jeune homme d'un regard impassible et méfiant et, surtout, déterminer ses intentions.

... A première vue, il semble avoir une vingtaine d'année et ne semble pas agressif. Il paraît même plutôt amical.
Sans doute est-ce un élève de l'Académie.
D'ailleurs, bien que je ne sache pas ce que signifie "Noa", j'ai reconnu les mots "Bonjour" et "Nouvelle".
Et, vu le ton qu'il a employé, je dirais qu'il m'a posé une question, ou quelque chose dans le genre.
Il y a peu de chance qu'il comprenne si je parle en japonais. Étrange, pour une Académie nommée Tsuki. Peu importe.
Cherchant mes mots, je dis :

Oui, nouvelle. Je, hum... m'appeler Shiiro. Où... Où être...

Je suis coupée dans ma phrase, par une autre voix, elle aussi masculine. Encore un homme...
Il se met à rire, probablement de moi. Il n'est visiblement pas aussi avenant que l'autre.
Puis, il se dirige vers un fauteuil éloigné, sur lequel il s’assied de manière altière, ou plutôt arrogante et méprisante.
Je le hais déjà. Il se remet à parler, mais cette fois encore, je n'y comprends rien.
Lasse, je décide de l'ignorer et me retourne vers l'autre jeune homme et reprends :

Le... dortoir Rubis, si... s'il vous plaît.

Vu le geste de la fille avec son arme je crois bien que cette fille est sur la défensive. Pardon j’ai dis je crois ? Non enfaite j’en suis sûr et quelque chose me dit qu’elle ne maitrise pas très bien l’anglais non plus.

Oui, nouvelle. Je, hum... m'appeler Shiiro. Où... Où être...

Elle fut coupée lorsqu’une voix qui m’était familière se fit entendre.

"-Salut, moi c'est ... oh puis on s'en fout c'est déjà suffisamment chelou comme ça, je ne vais pas en plus me présenter comme si de rien n'était. Non mais franchement, vous sente pas le malaise là ?"

Perso la malaise il vient plus du mec qui se balade en caleçon dans le jardin de l’académie sous la pluie. Autant en été je veux bien mais là on est un peu en hivers quoi. Enfin bon venant d’Achille plus rien ne m’étonne en fait ce qui me surprendrais vraiment venant de lui se serais de le voir habillé. Enfin bon je ne vais pas m’en plaindre, c’est loin d’être désagréable à regarder, surtout avec son sous vêtement devenus transparent à cause de l’eau. Bref … un coup de tonnerre fit sursauté Moon qui s’envola pour ce perché en haut d’une armoire … putain je vais avoir du mal à la faire revenir … bref .

"-Non mais c'est vrai, tu trouves pas que tu es menaçante avec ton arme ?"

Et toi t’es pas menaçant avec ta …. Bon ok je me tait le mec allas s’intaller sur un fauteuil adoptant une poste de faux noble.

"-Enchanté, je suis Achille, maitre de ce domaine. Qui es-tu toi qui viens armé dans ma demeure ?"

Pardon ? c’est une blague ?.La fille ne se laissa pas déstabilisé t l’ignora purement et simplement pour se retourné vers moi.

Le... dortoir Rubis, si... s'il vous plaît.

Je ne put m’empêcher de pouffer de rire face a la situation. Je lançais donc a Archie

_ Mec je crois que tu viens de te prendre un vent magistral !

Cette fille je la connais pas mais je l’aime déjà je me tournais donc vers elle. En plus c’est une rubis en herbe !

_ Ba je vais te montrer au pire … le dortoir rubis c’est par là si tu veux bien me suivre.

Pour accompagner mes mots histoire qu’elle puisse me comprendre j’imitais le geste d’un vendeur à qui on a demandé ou se trouve un article.

Mais quel gros con ce Noa ! Toujours à en faire des caisses et à se foutre de ma gueule quand il en a l'occasion. Il a probablement un complexe d'infériorité, en plus je l'ai déjà connu plus aimable, n'est ce pas ?

"-Tu vois bien qu'elle parle pas Anglais, et comme ton vocabulaire correspond à un niveau A1 c'est normal qu'elle préfère te parler."

Et boum ! La dessus je me lève majestueusement (il me faudrait une cape qui traine derrière moi) avance vers eux à grand pas pour les rattraper. A leur niveaux je me place entre eux, pinçant les fesses de Noa de la main droite et arrêtant la marche de la jeune fille de la gauche. Elle est toute petite, genre plus que moi. Elle n'est pas très effrayante, on dirait plutôt qu'elle va faire une crise d'hypoglycémie et qu'elle ferait mieux de boire tout de suite un bol de sang. A cela elle semble avoir un visage très jeune. Mais c'est tout ce que je vois dans le noir. Je fais en sorte qu'on soit face à face et je me penche pour que ma tête à sa hauteur. Autant dire que je me penche beaucoup. Je parle aussi plus lentement et avec des phrases plus simples.

"-Excuse moi si tu n'as pas compris mais on ne sera pas copains si tu m'ignores comme ça."

Je me redresse et lui tends la main en signe d'amitié. Je tourne légèrement la tête vers Noa pour lancer un léger :

"- Et toi tu es beaucoup trop habillé, je croyais que tu dormais nu ?"

Il semblerait que j'ai réussi à me faire comprendre de mon interlocuteur. C'est déjà ça.
Néanmoins, il se retourne vers l'autre jeune homme que j'évite soigneusement de regarder et lui adresse quelques mots que je n'essaie même pas de comprendre.
J'en ai assez. Je veux juste trouver ce maudit dortoir, pas m'attirer des embrouilles dès le premier jour.
Celui-ci se met alors à me parler à grand renfort de gestes et me désigne la direction.
D'ailleurs, c'est bizarre qu'il ait un corbeau. Ou une corneille, peu importe. Les deux sont pareils.
Bien qu'il se soit envolé après l'intervention de l'autre, il était très docile juste avant.
Est-ce que ce genre d'oiseaux peuvent-être apprivoisés ? Peut-être est-ce son pouvoir ?
Bref. Je sais où se trouve le dortoir, le reste pourra attendre que je me sois installée.
Je m'apprête alors à le remercier poliment et faire le reste du chemin toute seule : je devrais quand même me débrouiller, maintenant…
Mais l'autre garçon, qui apparemment est toujours là, s'approche de moi, et, au fur et à mesure que la distance entre nous se réduit, mes craintes se confirment. Quelle horreur…

Il me parle cette fois-ci de manière plus simple et compréhensive, puis me tends la main.
Sans doute une marque de politesse de ce pays.
Mais, ne sachant comment réagir, je m'incline très bas, de sorte qu'il ne puissent voir mon visage, et reste ainsi durant moins de cinq secondes, quelques secondes où mon esprit est assailli de questions.
Il est nu. Entièrement nu. Comment cela se fait-il ? Où sont ses vêtements ? Et c'était quoi ce regard que l'autre lui a… C'est quoi ça ?!!? Il lui a… C'est obscène. Complètement déplacé.
Mais… Peut-être est-ce une de leurs coutumes ? Peut-être est-ce pour ça que les gens me regardait étrangement tout-à l'heure ?
Je regarde ma tenue. Un pantalon noir, avec de multiples poches, un treillis je crois, avec des sortes de bottines pour le bas, et un simple haut noir à manches courtes, avec un long manteau lui aussi noir et un peu trop grand par-dessus le tout.
Non, impossible que ce soit ça. Une pensée me traverse alors l'esprit.
Serait-ce à cause de son pouvoir ? Après tout, c'est bien le cas pour moi. Oui, je ne vois que ça.

Me redressant alors après ces quelques secondes, je m'efforce de reprendre mon air impassible tout en tentant un sourire crispé et dit :

« Shiiro, enchantée. Et toi ?»

Je devrais sans doute m'arrêter là et attendre sa réponse, mais poussée à la fois par une sorte de curiosité et la méfiance, je reprends:

« Cela... »

Évitant toujours de le regarder en face, je fais un geste vague pour le désigner :

« Cause… Ton pouvoir ? »

J'aurai vraiment dû mieux apprendre cette langue… J'espère qu'il comprendra.

Achille ne manqua pas de répondre ma remarque.

_"-Tu vois bien qu'elle parle pas Anglais, et comme ton vocabulaire correspond à un niveau A1 c'est normal qu'elle préfère te parler."

Ah ? Pas mal la pic il faudra que je la retienne
Pendant ce temps la jeune inconnus s’apprêta à prendre la direction que je lui avais indiqué mais Achille nous Bara la route sans manquer de me passer une main au passage et fit l’avion pour parler a la brune.

_ "-Excuse moi si tu n'as pas compris mais on ne sera pas copains si tu m'ignores comme ça."


Puis il se releva pour me parler hé tu permets ? J’étais en train de profiter du paysage !

_ "- Et toi tu es beaucoup trop habillé, je croyais que tu dormais nu ?"

Je lui répondis par un petit sourire provocateur.

_ Si ma tenus te dérange tu peux toujours essayer de me l’arracher … qui sais je me laisserais peut être faire … ou pas …

Pendant ce temps la jeune fille s’était incliné … ça manière me rappelle quelque chose … non plusieurs personnes en fait … elle est japonaise elle aussi ? Décidément on est envahi !

_ « Cela... Cause… Ton pouvoir ? »

Ah … je crois que mademoiselle est déranger par le tenus de Achille, je laisse le rubis ce démerdé pour les explications pour aller vers Moon. Je commençais par siffler, celle-ci m’accorda un regard mais ne descendis pas pour autant de son perchoir.

_ Moon ! Descend c’est qu’un orage ! En plus on est à l’intérieur t’as pas de quoi avoir peur !

Celle-ci ne se laissa pas convaincre par mes arguments … bon … il va falloir que je sorte l’arme ultime ! Je sortit de ma poche une bars de céréale granny a la pomme. Déballant lentement le paquet, lui agitant la friandise sous le nez pour finir par en croquer un morceau et fit mine de m’éloigner …. Celle-ci ne résista pas longtemps à l’appel de la gourmandise et revint rapidement sur mon épaule pour en réclamer un morceau.

Non mais, sers moi la main sinon j'ai l'air con là. C'est bien gentil de t'incliner devant moi mais le mieux serait d'arrêter de me foutre des vents. Oh puis merde. Je garde ma main pour et je penche légèrement la tête en avant pour lui rendre son salut. Je veux bien être gentil mais t'as vraiment cru que j'allais m'incliner ?

Aaah, elle veut savoir mon prénom ! Mmh, normal. Je dois sûrement déjà lui plaire. J'accepte de t'offrir la connaissance de mon MAIS HEY ! Laisse moi répondre à ta question avant de passer à autre chose sinon on pourrait croire que tu t'en fous alors que je sais qu'au fond de toi tu meurs d'envie que je te réponde ! SI ! Tu veux savoir !

Là elle fait un geste vague et je suis sûr que avec un peu plus de lumière on verrait ses joues rougirent. Coquine ! Tu veux savoir si ce corps de rêve est dû à mon pouvoir ? Je sais qu'il est surhumain mais tout de même, tu pourrais au moins avoir la décence de croire que c'est naturel.

"Achille, enchantée aussi. Et oui c'est à cause de mon pouvoir, fis-je en me désignant et souriant."

Bon sinon il fait quoi l'autre gusse derrière ? Oui on a vu que tu as un animal de compagnie original, pas la peine de faire le malin et de nous le rappeler tout le temps là, ça devient pénible à la fin. On dirait un enfant qui court partout en criant "HE REGARDE ! HE REGARDE J'AI UN CORBEAU ! REGARDE REGARDE JE SUIS COOL !" Tu cesses maintenant ! Bref oublions le et retournons à moi. Un truc m'intrigue, le sabre dans son dos. Je le désigne d'un geste aussi vague que le sien et lui demande :

"-Et cette épée, c'est pour ton pouvoir ?"

Non parce que tu risquerais de blesser quelqu'un avec ça, il fait presque ta taille. Moi je m'en bats la race mais imagine un élève lambda, il va flipper sa mère. En plus vu comme tu es causante je suis pas certain que la diplomatie soit ton fort. Bon remarque si tu es une rubis c'est normal en fait. D'ailleurs si tu le veux bien je vais t'apprendre la vie, les bars. Tu voies tout ce qui baigne dans l'ombre ? C'est mon royaume et si tu sais te montrer digne peut-être que je te laisserais le fouler. Alors, ne suis pas clément et généreux ?