La prochaine fois, j'espère que vous préviendrez. [PV Aiden, Clive, Elisan, Ren']
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La prochaine fois, j'espère que vous préviendrez. [PV Aiden, Clive, Elisan, Ren']
La matinée s'était plutôt bien déroulée, j'avais eu une petite réunion avec quelques personnes de bonnes figures pour financer quelques projets que j'avais mis en oeuvre pour l'académie. La commission semblait apprécier la réception et je dirais même que la négociation s'est suffisamment bien passée pour que je sois confiant quant à la réussite des projets. C'était une bonne journée pour le moment. Je m'étais permis de me balader dans les couloirs vident de tout élève durant les heures de cours. J'ai même pris le temps d'aller admirer le travail hivernal si bien réaliser par les horticulteurs dans le parc.
Installé dans mon bureau depuis ce début d'après midi, je contemplais la cour avant depuis ma fenêtre, confortablement assis dans ce magnifique fauteuil mis à ma disposition depuis mon entrée en fonction ici. Une tasse d'un thé très raffiné dans la main, je me perdais dans mes pensées. Je pensais à ma vie avant cet établissement, tout ce qui s'est passé. Comment ai-je réussi à en arriver la ? C'est une prouesse hors norme alors qu'au début rien ne me vouait à me retrouver dans cet pièce et du bon coté du bureau qui plus est. Je pensais aussi à mes deux fils, je n'ai plus de nouvelles depuis un moment. Surement en train de sauver quelqu'un je ne sais où dans le monde. Je ne pouvais qu’être fier d'eux, s'engager dans une carrière humanitaire pour voyager tout autour du globe au rythme des guerres et des catastrophes naturelles. Tout était une franche réussite jusqu'à maintenant.
Nous y sommes, c'est l'heure d'accueillir deux petits récidivistes en herbe. Je reprenais mes notes, feuilletant le carnet pour retrouver la page concernant les faits de la baignade nocturne. J'avais déjà remplis de nombreuses feuilles entre temps, mais je tombais rapidement dessus. Redressant mes lunettes, je relisais succinctement ce que j'avais écris lorsque quelqu'un frappa à la porte.
Entrez je vous pris !
Installé dans mon bureau depuis ce début d'après midi, je contemplais la cour avant depuis ma fenêtre, confortablement assis dans ce magnifique fauteuil mis à ma disposition depuis mon entrée en fonction ici. Une tasse d'un thé très raffiné dans la main, je me perdais dans mes pensées. Je pensais à ma vie avant cet établissement, tout ce qui s'est passé. Comment ai-je réussi à en arriver la ? C'est une prouesse hors norme alors qu'au début rien ne me vouait à me retrouver dans cet pièce et du bon coté du bureau qui plus est. Je pensais aussi à mes deux fils, je n'ai plus de nouvelles depuis un moment. Surement en train de sauver quelqu'un je ne sais où dans le monde. Je ne pouvais qu’être fier d'eux, s'engager dans une carrière humanitaire pour voyager tout autour du globe au rythme des guerres et des catastrophes naturelles. Tout était une franche réussite jusqu'à maintenant.
Nous y sommes, c'est l'heure d'accueillir deux petits récidivistes en herbe. Je reprenais mes notes, feuilletant le carnet pour retrouver la page concernant les faits de la baignade nocturne. J'avais déjà remplis de nombreuses feuilles entre temps, mais je tombais rapidement dessus. Redressant mes lunettes, je relisais succinctement ce que j'avais écris lorsque quelqu'un frappa à la porte.
Entrez je vous pris !
Re: La prochaine fois, j'espère que vous préviendrez. [PV Aiden, Clive, Elisan, Ren']
Hi guys ! Oh wait..it's not a party ?.
Fin de semaine.
D'une humeur taquine.
Au détour d'un couloir, mains dans le dos, s'amusant à faire craquer ses doigts pour effrayer quelques timides, Aiden sourit. Oui, la piscine est un endroit vraiment sympa. Surtout quand la chair s'en mêle, et que quelques paroles s'échappent.
Avec ça, elle pourrait tenir deux ou trois semaines.
Ou moins.
Non elle n'avait pas nagé, oui, elle avait fait ce qu'elle voulait, ce que bon lui semblait. Personne n'avait la main mise sur elle.
Elle était comme un grain de sable. Quand on essayait de l'attraper, pfft, elle s'envolait. Il en valait de même pour l'autorité. Appart son séjour de huit ans en hosto psy', aucune lois n'avait transformé son cerveau en petit mouton de la société.
Et ce n'est pas prêt de s'arrêter !
En passant devant les casiers, la Rubis pose le vermillon sur sa boîte. Tiens, ça fait longtemps qu'elle n'as pas regardé. Peut être que des membres de son fan club l'ont harcelés, en prévision de la St Valentin.
Son gant glisse sur le métal, et à sa grande surprise, une enveloppe trône fièrement.
Un gloussement émane de sa gorge, accompagné d'un rire malsain. Le contenu l'amuse d'autant plus, un sourire presque douloureux qui écorche les joues et brode une espièglerie certaine.
- Oh, même le directeur ne peut résister au charme des psycopathes dans mon genre ? Chouette !
Sa remarque se veut ironique, Aiden a conscience que ce n'est pas pour son joli p'tit minois que le grand chef demande sa présence. Le message datait de la vieille, lui informant qu'elle devait se rendre dans son bureau cette après-midi.
Avec un peu de retard.
Elle consulta son téléphone.
- Les hommes se doivent d'attendre haha !
Aiden glissa le mot dans sa poche, et trottina jusqu'au bureau de l'intéressé. Que lui vaut cette convocation ? Elle repensa en grimaçant, à l'incident dans la salle de classe.
La crise, les paroles, la main qui a dérapé.
Elle soupira.
- C'était un accident, c'était pas moi, c'était pas moi..
Légèrement contrarié d'y avoir repensé, elle finit enfin par s'échouer devant le bureau du grand manitou. En parlant du Loup, l'onyx la scrute, non pas mécontent d'être accompagné d'une présence familière. Elle comprend tout de suite que lui aussi, devait être de la partie.
Un sourire en coin, elle vient écraser ses lèvres sur les siennes un court instant, avant de s'écarter en rigolant comme une gamine.
- Hi ! Mince, désolé, je suis maladroite. Oh, en faite, je m'enfiche. Que nous vaut l'honneur d'être ici ? A mon avis, il devait y avoir des espions dans la salle.
Elle emboîte le pas du brun, et s'engouffre vers une obligation dont elle n'avait aucune idée de la nature.
En y repensant, Aiden ne s'étonne même pas de le voir ici. Il doit avoir l'habitude de ce genre d'endroit, c'est comme sa deuxième maison ; c'est ce qui arrive, quand on suit les traces du Joker.
La Rubis esquissa un rire silencieux, avant que ses yeux ne fasse la mise au point sur l'homme grisonnant.
- Bonjour Monsieur !
L'enfant n'as jamais eu l'occasion de lui parler, elle suppose qu'il doit être indirectement, une genre de figure paternel pour tout le monde dans cet Enfer.
La tignasse rose ondule. Non, pas commencer à penser à ce genre de choses.
Ce n'est ni le lieu, ni le moment.
Les mains jointes dans son dos, elle attend le verdict.
AIDEN
Fin de semaine.
D'une humeur taquine.
Au détour d'un couloir, mains dans le dos, s'amusant à faire craquer ses doigts pour effrayer quelques timides, Aiden sourit. Oui, la piscine est un endroit vraiment sympa. Surtout quand la chair s'en mêle, et que quelques paroles s'échappent.
Avec ça, elle pourrait tenir deux ou trois semaines.
Ou moins.
Non elle n'avait pas nagé, oui, elle avait fait ce qu'elle voulait, ce que bon lui semblait. Personne n'avait la main mise sur elle.
Elle était comme un grain de sable. Quand on essayait de l'attraper, pfft, elle s'envolait. Il en valait de même pour l'autorité. Appart son séjour de huit ans en hosto psy', aucune lois n'avait transformé son cerveau en petit mouton de la société.
Et ce n'est pas prêt de s'arrêter !
En passant devant les casiers, la Rubis pose le vermillon sur sa boîte. Tiens, ça fait longtemps qu'elle n'as pas regardé. Peut être que des membres de son fan club l'ont harcelés, en prévision de la St Valentin.
Son gant glisse sur le métal, et à sa grande surprise, une enveloppe trône fièrement.
Un gloussement émane de sa gorge, accompagné d'un rire malsain. Le contenu l'amuse d'autant plus, un sourire presque douloureux qui écorche les joues et brode une espièglerie certaine.
- Oh, même le directeur ne peut résister au charme des psycopathes dans mon genre ? Chouette !
Sa remarque se veut ironique, Aiden a conscience que ce n'est pas pour son joli p'tit minois que le grand chef demande sa présence. Le message datait de la vieille, lui informant qu'elle devait se rendre dans son bureau cette après-midi.
Avec un peu de retard.
Elle consulta son téléphone.
- Les hommes se doivent d'attendre haha !
Aiden glissa le mot dans sa poche, et trottina jusqu'au bureau de l'intéressé. Que lui vaut cette convocation ? Elle repensa en grimaçant, à l'incident dans la salle de classe.
La crise, les paroles, la main qui a dérapé.
Elle soupira.
- C'était un accident, c'était pas moi, c'était pas moi..
Légèrement contrarié d'y avoir repensé, elle finit enfin par s'échouer devant le bureau du grand manitou. En parlant du Loup, l'onyx la scrute, non pas mécontent d'être accompagné d'une présence familière. Elle comprend tout de suite que lui aussi, devait être de la partie.
Un sourire en coin, elle vient écraser ses lèvres sur les siennes un court instant, avant de s'écarter en rigolant comme une gamine.
- Hi ! Mince, désolé, je suis maladroite. Oh, en faite, je m'enfiche. Que nous vaut l'honneur d'être ici ? A mon avis, il devait y avoir des espions dans la salle.
Elle emboîte le pas du brun, et s'engouffre vers une obligation dont elle n'avait aucune idée de la nature.
En y repensant, Aiden ne s'étonne même pas de le voir ici. Il doit avoir l'habitude de ce genre d'endroit, c'est comme sa deuxième maison ; c'est ce qui arrive, quand on suit les traces du Joker.
La Rubis esquissa un rire silencieux, avant que ses yeux ne fasse la mise au point sur l'homme grisonnant.
- Bonjour Monsieur !
L'enfant n'as jamais eu l'occasion de lui parler, elle suppose qu'il doit être indirectement, une genre de figure paternel pour tout le monde dans cet Enfer.
La tignasse rose ondule. Non, pas commencer à penser à ce genre de choses.
Ce n'est ni le lieu, ni le moment.
Les mains jointes dans son dos, elle attend le verdict.
Fiche de liens (c) Miss Yellow
Re: La prochaine fois, j'espère que vous préviendrez. [PV Aiden, Clive, Elisan, Ren']
Convoqué un vendredi aprem chez le directeur, c'est moche ça... C'est un coup à pourrir mon week end. Je ne sais pas ce qu'il me veut, il me semble que j'ai tout fait à peu près correctement, et en plus le vendredi aprem c'est quand je fous rien, que je me balade, que je prend du bon temps. Y a-t-il une véritable justice en ce bas monde ?... Dans un grand soupire, je m'habillais correctement, vérifiais bien sous chaque angle que rien n'était de travers, et une fois présentable, je prenais mon petit carnet, mon stylo et me mettait en marche vers le bureau de l'entité suprême de l'établissement.
Une fois devant le bureau, je glissais ma main dans ma poche pour en sortir mon portable. 15H02, pas de nouveau message, rien d'urgent, je ne peux pas reculer. Bon, je rangeais mon portable dans ma poche, me raclais un peu la gorge et toquais doucement à la porte qui résonnait. J'entrais ensuite dans le bureau qui commençait doucement à m’être familier. Deux jeunes se trouvaient déjà dedans, dont une de chez nous... Qu'est ce que c'est que ce rassemblement ?... Y a un truc louche, je ne le sens pas du tout ce coup là.
Je m'approchais du grand bureau massif. Bonjour Directeur, vous m'avez fait demander ? Je me tournais vers les deux autres que j'avais déjà vu, tendant une main à l'autre qui m'était inconnu Bonjour Aiden. Je m'appelle Ren', enchanté Monsieur ?...
Je prenais ensuite un siège attendant les commanditions de l'empereur trônant sur son grand fauteuil. L'ambiance semblait un poil tendue, mais pour l'instant, rien d'inquiétant. Je croisais mes jambes, joignais mes mains, et gardais un léger sourire pour ne pas paraître trop froid.
Une fois devant le bureau, je glissais ma main dans ma poche pour en sortir mon portable. 15H02, pas de nouveau message, rien d'urgent, je ne peux pas reculer. Bon, je rangeais mon portable dans ma poche, me raclais un peu la gorge et toquais doucement à la porte qui résonnait. J'entrais ensuite dans le bureau qui commençait doucement à m’être familier. Deux jeunes se trouvaient déjà dedans, dont une de chez nous... Qu'est ce que c'est que ce rassemblement ?... Y a un truc louche, je ne le sens pas du tout ce coup là.
Je m'approchais du grand bureau massif. Bonjour Directeur, vous m'avez fait demander ? Je me tournais vers les deux autres que j'avais déjà vu, tendant une main à l'autre qui m'était inconnu Bonjour Aiden. Je m'appelle Ren', enchanté Monsieur ?...
Je prenais ensuite un siège attendant les commanditions de l'empereur trônant sur son grand fauteuil. L'ambiance semblait un poil tendue, mais pour l'instant, rien d'inquiétant. Je croisais mes jambes, joignais mes mains, et gardais un léger sourire pour ne pas paraître trop froid.
Re: La prochaine fois, j'espère que vous préviendrez. [PV Aiden, Clive, Elisan, Ren']
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Re: La prochaine fois, j'espère que vous préviendrez. [PV Aiden, Clive, Elisan, Ren']
La porte s'ouvrit tranquillement, une tête masculine apparue suivit d'une jeune femme. Monsieur Evans ainsi que mademoiselle Underwood.
" Bonjour M'sieur Kazamuki! J'espère qu'on est pas en r'tard ahah!"
- Bonjour Monsieur !
Bonjour à vous. Asseyez vous, ne soyez pas timides. Nous attendons encore deux invités avant de commencer.
Je m'étais levé un instant pour les saluer et leur indiquer leurs place respectives, lorsque la porte résonna à nouveau et s'ouvrit avant même que je ne le permette, exactement comme la dernière fois. Ce qui faisait que je ne me retrouvais surpris de voir apparaître le représentant des rubis à l'entrée de mon bureau.
Bonjour Directeur, vous m'avez fait demander ?
Bonjour Monsieur Kyouran'. Prenez un fauteuil vous aussi, nous attendons encore Elisan qui ne devrait pas tarder.
Après que chacun ne ce soit installé, un silence de plomb régnait. C'était parfait, l'ambiance pesante allait peut-être leur faire prendre conscience qu'ils n'étaient ici pour recevoir les honneurs.
Quelques longues minutes passèrent, de brefs petits coups se firent entendre à la porte et mademoiselle Sweeta parue avec un peu de retard, mais rien d'alarmant.
" Bonjour Monsieur ! Excusez-moi de mon retard, la secrétaire avait besoin absolument d’une feuille et... Je suppose que je ne suis pas ici à cause de l’administration... "
Bonjour Elisan. N'ayez pas d'inquiétude à ce sujet, nous savons tout deux à quel point notre administration est débordée, et vous vous débrouillez à merveille. Prenez un siège, nous pourrons commencer le rendez-vous.
J'attendais qu'elle s'assoit, j'en profitais pour regarder l'un après l'autre les deux protagonistes de cette convocation. Ils n'avaient pas l'air de se soucier de quoi que ce soit. Il fallait que je les remette dans le droit chemin.
Monsieur Kyouran', Elisan, si j'ai fais appel à vous aujourd'hui, c'est bien pour Monsieur Evans et Mademoiselle Underwood ici présents, élèves de vos deux maisons respectives. En effet, comme tout élève devrait le savoir, le règlement s'applique dans l'enceinte de l'académie, mais aussi en dehors, contrairement à de nombreux établissements où il ne s'applique que de l'enceinte de ces derniers. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de vous rappeler que vous êtes tous très particuliers. Vous détenez chacun un pouvoir unique. Cela fait de vous des êtres différents. Seulement, en ce bas monde où nous vivons, nous ne sommes pas seuls, et l'Agence ainsi que moi-même veillons à votre sécurité. Nous savons pertinemment que des individus vous cherchent, vous surveillent, vous traquent, dans un but que nous ne connaissons pas encore malheureusement. Au delà de ce problème majeur, revenons en au fait que par ce détail, le règlement s'applique en dehors de l'établissement. Ainsi, j'en viens à ce qui vous vaut d’être convoqué ici. J'ai pu assister, suite à une petite fête pour laquelle j'étais bien sur au courant, à votre isolement à la piscine municipale. Il s'agit d'un lieu publique où vous avez commis quelques fautes, comme l'entrée par effraction, l'utilisation des locaux en dehors des horaires d'ouverture, et donc, sans payer, la baignade dans les bassins sans surveillance compétente, et enfin, en être venu à des ébats d'un genre très intime.
Je m'étais levé, faisant une pause dans mon discours, regardant par la fenêtre, les mains jointent dans mon dos.
Pour ce qui est de la question, évidemment, j'ai été jeune à une époque, j'ai eu votre age, et j'ai moi aussi désobéi aux règles. Je sais ce que c'est que le désir, l'envie de l'autre et ce que donnent ces pulsions passionnelles. Malheureusement, vous vous trouvez dans l'exception à cause de vos pouvoirs, et vous ne pouvez vous adonner à ce genre de pratique n'importe où je dirais. Sans compter qu'il s'agit d'un manquement au règlement, il s'agit d'un lieu publique, bien qu'il soit régulièrement nettoyé, pour votre santé et pour l'hygiène de ceux qui se rendront dans cet endroit par la suite, il n'était pas très judicieux d'aller la-bas. J'aurais préféré vous savoir déroger à cette règle dans un dortoir plutôt qu'à l'extérieur vous savez.
Je prenais une grande inspiration avant de me retourner vers les deux représentants de maison.
En tant que représentants de maison, je vous somme de faire en sorte que Monsieur Evans et Mademoiselle Underwood ne puissent se voir pour la semaine qui vient, ce sera leur punition pour avoir manqué au règlement. Ça ne m'enchante guère de prendre ce genre de décision, mais il est nécessaire de donner un exemple et de bien vous faire comprendre qu'il y a un enjeu pour vous. Ha ! Et comme Mlle Shizuka vient de reprendre ses fonctions, vous serez invité à une heure de colle, tous les deux ensemble avec elle Samedi prochain. Elle décidera du travail à vous donner. Je ne suis pas chien, je vous laisse vous retrouver à la fin de la semaine. Elisan, Ren'bo, est ce que je peux avoir confiance en vous ?
Je trouvais la sentence plutôt sévère en connaissant mon propre passé, mais je ne suis plus dans la même situation, je connais maintenant les tenants et les aboutissants de tout ce manège.
" Bonjour M'sieur Kazamuki! J'espère qu'on est pas en r'tard ahah!"
- Bonjour Monsieur !
Bonjour à vous. Asseyez vous, ne soyez pas timides. Nous attendons encore deux invités avant de commencer.
Je m'étais levé un instant pour les saluer et leur indiquer leurs place respectives, lorsque la porte résonna à nouveau et s'ouvrit avant même que je ne le permette, exactement comme la dernière fois. Ce qui faisait que je ne me retrouvais surpris de voir apparaître le représentant des rubis à l'entrée de mon bureau.
Bonjour Directeur, vous m'avez fait demander ?
Bonjour Monsieur Kyouran'. Prenez un fauteuil vous aussi, nous attendons encore Elisan qui ne devrait pas tarder.
Après que chacun ne ce soit installé, un silence de plomb régnait. C'était parfait, l'ambiance pesante allait peut-être leur faire prendre conscience qu'ils n'étaient ici pour recevoir les honneurs.
Quelques longues minutes passèrent, de brefs petits coups se firent entendre à la porte et mademoiselle Sweeta parue avec un peu de retard, mais rien d'alarmant.
" Bonjour Monsieur ! Excusez-moi de mon retard, la secrétaire avait besoin absolument d’une feuille et... Je suppose que je ne suis pas ici à cause de l’administration... "
Bonjour Elisan. N'ayez pas d'inquiétude à ce sujet, nous savons tout deux à quel point notre administration est débordée, et vous vous débrouillez à merveille. Prenez un siège, nous pourrons commencer le rendez-vous.
J'attendais qu'elle s'assoit, j'en profitais pour regarder l'un après l'autre les deux protagonistes de cette convocation. Ils n'avaient pas l'air de se soucier de quoi que ce soit. Il fallait que je les remette dans le droit chemin.
Monsieur Kyouran', Elisan, si j'ai fais appel à vous aujourd'hui, c'est bien pour Monsieur Evans et Mademoiselle Underwood ici présents, élèves de vos deux maisons respectives. En effet, comme tout élève devrait le savoir, le règlement s'applique dans l'enceinte de l'académie, mais aussi en dehors, contrairement à de nombreux établissements où il ne s'applique que de l'enceinte de ces derniers. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de vous rappeler que vous êtes tous très particuliers. Vous détenez chacun un pouvoir unique. Cela fait de vous des êtres différents. Seulement, en ce bas monde où nous vivons, nous ne sommes pas seuls, et l'Agence ainsi que moi-même veillons à votre sécurité. Nous savons pertinemment que des individus vous cherchent, vous surveillent, vous traquent, dans un but que nous ne connaissons pas encore malheureusement. Au delà de ce problème majeur, revenons en au fait que par ce détail, le règlement s'applique en dehors de l'établissement. Ainsi, j'en viens à ce qui vous vaut d’être convoqué ici. J'ai pu assister, suite à une petite fête pour laquelle j'étais bien sur au courant, à votre isolement à la piscine municipale. Il s'agit d'un lieu publique où vous avez commis quelques fautes, comme l'entrée par effraction, l'utilisation des locaux en dehors des horaires d'ouverture, et donc, sans payer, la baignade dans les bassins sans surveillance compétente, et enfin, en être venu à des ébats d'un genre très intime.
Je m'étais levé, faisant une pause dans mon discours, regardant par la fenêtre, les mains jointent dans mon dos.
Pour ce qui est de la question, évidemment, j'ai été jeune à une époque, j'ai eu votre age, et j'ai moi aussi désobéi aux règles. Je sais ce que c'est que le désir, l'envie de l'autre et ce que donnent ces pulsions passionnelles. Malheureusement, vous vous trouvez dans l'exception à cause de vos pouvoirs, et vous ne pouvez vous adonner à ce genre de pratique n'importe où je dirais. Sans compter qu'il s'agit d'un manquement au règlement, il s'agit d'un lieu publique, bien qu'il soit régulièrement nettoyé, pour votre santé et pour l'hygiène de ceux qui se rendront dans cet endroit par la suite, il n'était pas très judicieux d'aller la-bas. J'aurais préféré vous savoir déroger à cette règle dans un dortoir plutôt qu'à l'extérieur vous savez.
Je prenais une grande inspiration avant de me retourner vers les deux représentants de maison.
En tant que représentants de maison, je vous somme de faire en sorte que Monsieur Evans et Mademoiselle Underwood ne puissent se voir pour la semaine qui vient, ce sera leur punition pour avoir manqué au règlement. Ça ne m'enchante guère de prendre ce genre de décision, mais il est nécessaire de donner un exemple et de bien vous faire comprendre qu'il y a un enjeu pour vous. Ha ! Et comme Mlle Shizuka vient de reprendre ses fonctions, vous serez invité à une heure de colle, tous les deux ensemble avec elle Samedi prochain. Elle décidera du travail à vous donner. Je ne suis pas chien, je vous laisse vous retrouver à la fin de la semaine. Elisan, Ren'bo, est ce que je peux avoir confiance en vous ?
Je trouvais la sentence plutôt sévère en connaissant mon propre passé, mais je ne suis plus dans la même situation, je connais maintenant les tenants et les aboutissants de tout ce manège.
Re: La prochaine fois, j'espère que vous préviendrez. [PV Aiden, Clive, Elisan, Ren']
Hi guys ! Oh wait..it's not a party ?
Plongée dans une attente, chose qu'elle a horreur de faire, une distraction se fait entendre. Un grand gars aux cheveux blonds. Il lui semblait que c'était un Rubis. Ah ! Enfin ! Il y aura donc une once de justice en ce bas monde, la jeune fille ne serait pas la seule de la Maison au caractère bien trempée.
Un rictus en coin.
- Salut Ren !
Pas besoin de formalités, ni de diplomatie. Elle n'allait tout de même pas faire la révérence. Elle n'en avait jamais fait, ce n'était pas devant un garçon qu'elle allait commencer. Elle prit le temps de l'observer un peu, avant que la patience, ou plutôt, l'impatience, reprenne le dessus. Elle n'était pas stressée, loin de là. Mais on avait piqué sa curiosité, on lui avait tendu le fruit défendu, pour lui interdire de croquer dedans, lui informant d'un danger.
Alors évidemment, la fourberie du Directeur était à son apogée, et il devait savoir parfaitement comment manier cet art.
Intéressant.
La porte s'ouvrit à nouveau, la tignasse rose ne bougea pas. Elle n'allait quand même pas se dévisser la nuque juste pour regarder la nouvelle animation de foire dans le grand bureau. Quand une masse rouge arriva à sa hauteur, les vermillons s'écarquillèrent. Oh, mais elle la connaissait celle là !
Enfin, connaissait.
C'était un bien grand mot, mais plusieurs Rubis murmurait à son sujet. Aiden ricana entre ses gants. Oh Darling, je t'en prie, ne te donne pas cet air là.
Personne n'y croit.
En attendant que son fou rire silencieux se calme, elle installa ses fesses sur l'une des chaises, et attendit, les mains entre les genoux, que le Directeur déclare enfin la raison de cette petite fête - qui n'en était pas une - improvisée.
A moins que c'était l'heure du thé.
Quand la voix grave et un brin âgée s'éleva dans l'albâtre, Aiden plissait les yeux à chaque fins de phrases. Elle ne savait pas vraiment quelle réaction adopter, balançait entre le rire, et l'envie de se lever violemment, claquer les paumes sur la table. S'en aller.
En espérant qu'une crise, n'allait pas surgir.
Elle ne comprenait pas. Il y avait un problème dans son raisonnement. Comment pouvait-il faire l'apologie de la puissance de nos pouvoirs, et néanmoins, envoyez des petits chiens à sa botte, pour nous suivre ? Puisque si il savait, c'était que soit ses yeux, soit d'autres prunelles, avaient admirés la scène.
Elle serra ses poing, ce qui fit craquer doucement la matière du gant.
C'était horrible, ignore, infect. Comment avait-il osé ? Comment avait-il osé s'immiscer comme ça, dans la vie privée des gens ? Non ! Dans LEURS vies privées.
Le grand bonhomme se leva et continua son speech.
Des pulsions passionnelles ? Et allez, c'est reparti. Foutez donc la paix à Freud deux minutes. Aiden n'avait jamais été informée que c'était un lieu public. Il était situé entre le réfectoire et la forêt, et elle n'avait pas le souvenir de faire un pèlerinage pour aller remplir son estomac.
Déroger cette règle dans le dortoir. Le discours aurait été le même, le son de cloche n'aurait pas différé de l'actuel. Il y aurait eu d'autres bonnes raisons.
Une bouffée d'air, elle craignait le pire, ne savait pas combien de temps, elle allait pouvoir contenir sa rage.
Pourtant, elle ne cilla pas.
Elle se contenta de rigoler, d'une façon malsaine, comme ça lui prenait souvent. La Rubis se leva doucement, plongea ses yeux dans celui du Directeur.
- Ais-je bien entendue Monsieur ? Il y a eu atteinte à la vie privée ? Vous venez donc de dire, l'air de rien, qu'on nous as observés ? Et ça ne vous choque pas, ça ne choque personne ici ? Excusez moi de ma potentielle grossièreté, mais je trouve ça tout bonnement ignoble. Et je ne vais pas raser les murs pour évitez Monsieur Evans. Quand à mon pouvoir, relisez mon dossier, relisez attentivement bien où j'ai grandi. Ce n'est pas ce qu'on a fait le danger.
C'est ce qu'il y a dans notre corps, le vrai danger. Alors si il n'est même plus possible de tenter d'y échapper, deux minutes, un instant, alors je préfère retourner dans cette Asile que de vivre entre quatre murs qui ont la prétention de m'apporter aide et amélioration.
Elle avait des particules de larmes qui roulaient.
- Pardonnez mon insolence, j'irais à l'heure de colle. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser, je dois y aller.
Et elle disparue.
De la même manière qu'elle était entrée.
AIDEN
Plongée dans une attente, chose qu'elle a horreur de faire, une distraction se fait entendre. Un grand gars aux cheveux blonds. Il lui semblait que c'était un Rubis. Ah ! Enfin ! Il y aura donc une once de justice en ce bas monde, la jeune fille ne serait pas la seule de la Maison au caractère bien trempée.
Un rictus en coin.
- Salut Ren !
Pas besoin de formalités, ni de diplomatie. Elle n'allait tout de même pas faire la révérence. Elle n'en avait jamais fait, ce n'était pas devant un garçon qu'elle allait commencer. Elle prit le temps de l'observer un peu, avant que la patience, ou plutôt, l'impatience, reprenne le dessus. Elle n'était pas stressée, loin de là. Mais on avait piqué sa curiosité, on lui avait tendu le fruit défendu, pour lui interdire de croquer dedans, lui informant d'un danger.
Alors évidemment, la fourberie du Directeur était à son apogée, et il devait savoir parfaitement comment manier cet art.
Intéressant.
La porte s'ouvrit à nouveau, la tignasse rose ne bougea pas. Elle n'allait quand même pas se dévisser la nuque juste pour regarder la nouvelle animation de foire dans le grand bureau. Quand une masse rouge arriva à sa hauteur, les vermillons s'écarquillèrent. Oh, mais elle la connaissait celle là !
Enfin, connaissait.
C'était un bien grand mot, mais plusieurs Rubis murmurait à son sujet. Aiden ricana entre ses gants. Oh Darling, je t'en prie, ne te donne pas cet air là.
Personne n'y croit.
En attendant que son fou rire silencieux se calme, elle installa ses fesses sur l'une des chaises, et attendit, les mains entre les genoux, que le Directeur déclare enfin la raison de cette petite fête - qui n'en était pas une - improvisée.
A moins que c'était l'heure du thé.
Quand la voix grave et un brin âgée s'éleva dans l'albâtre, Aiden plissait les yeux à chaque fins de phrases. Elle ne savait pas vraiment quelle réaction adopter, balançait entre le rire, et l'envie de se lever violemment, claquer les paumes sur la table. S'en aller.
En espérant qu'une crise, n'allait pas surgir.
Elle ne comprenait pas. Il y avait un problème dans son raisonnement. Comment pouvait-il faire l'apologie de la puissance de nos pouvoirs, et néanmoins, envoyez des petits chiens à sa botte, pour nous suivre ? Puisque si il savait, c'était que soit ses yeux, soit d'autres prunelles, avaient admirés la scène.
Elle serra ses poing, ce qui fit craquer doucement la matière du gant.
C'était horrible, ignore, infect. Comment avait-il osé ? Comment avait-il osé s'immiscer comme ça, dans la vie privée des gens ? Non ! Dans LEURS vies privées.
Le grand bonhomme se leva et continua son speech.
Des pulsions passionnelles ? Et allez, c'est reparti. Foutez donc la paix à Freud deux minutes. Aiden n'avait jamais été informée que c'était un lieu public. Il était situé entre le réfectoire et la forêt, et elle n'avait pas le souvenir de faire un pèlerinage pour aller remplir son estomac.
Déroger cette règle dans le dortoir. Le discours aurait été le même, le son de cloche n'aurait pas différé de l'actuel. Il y aurait eu d'autres bonnes raisons.
Une bouffée d'air, elle craignait le pire, ne savait pas combien de temps, elle allait pouvoir contenir sa rage.
Pourtant, elle ne cilla pas.
Elle se contenta de rigoler, d'une façon malsaine, comme ça lui prenait souvent. La Rubis se leva doucement, plongea ses yeux dans celui du Directeur.
- Ais-je bien entendue Monsieur ? Il y a eu atteinte à la vie privée ? Vous venez donc de dire, l'air de rien, qu'on nous as observés ? Et ça ne vous choque pas, ça ne choque personne ici ? Excusez moi de ma potentielle grossièreté, mais je trouve ça tout bonnement ignoble. Et je ne vais pas raser les murs pour évitez Monsieur Evans. Quand à mon pouvoir, relisez mon dossier, relisez attentivement bien où j'ai grandi. Ce n'est pas ce qu'on a fait le danger.
C'est ce qu'il y a dans notre corps, le vrai danger. Alors si il n'est même plus possible de tenter d'y échapper, deux minutes, un instant, alors je préfère retourner dans cette Asile que de vivre entre quatre murs qui ont la prétention de m'apporter aide et amélioration.
Elle avait des particules de larmes qui roulaient.
- Pardonnez mon insolence, j'irais à l'heure de colle. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser, je dois y aller.
Et elle disparue.
De la même manière qu'elle était entrée.
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Re: La prochaine fois, j'espère que vous préviendrez. [PV Aiden, Clive, Elisan, Ren']
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